12 décembre 2006
Augusto: la dernière pirouette!
Photo révélatrice! Le regard énamouré du leader minimo au leader maximo! C'est de celà et de ses conséquences dont un jour les chiliens n'ont plus voulu!
Dans la catégorie "l'Histoire à l'endroit" ce blog déjà évoqué la chute de Salvador Allende, l'admirateur éperdu du dictateur cubain. Le petit bonhomme aujourd'hui encensé par le politiquement correct et les médias était pourtant un extrémiste marxiste de la pire espèce, un minoritaire porté au pouvoir par ruse, conforté dans sa position gràce à l'appui de "brigades internationales" regroupant tout un monde interlope (qui décampera à la première pétarade ) encadré par des milliers de "conseillers militaires" étrangers, des cubains surtout. Le malheureux Chili était devenu un champ d'expérience pour les dangereuses utopies du "compañero présidente", lui-même véritable pantin manipulé par les cubains.En trois ans, Allende avait complètement ruiné un Chili abandonné aux exactions de groupes gauchistes incontrôlés qui multipliaient assassinats et spoliations et où les produits de première nécessité manquaient cruellement aux plus démunis...il faut rappeler que c'est le Parlement chilien qui finira par demander à l'Armée d' intervenir. C'est Augusto Pinochet qui sera chargé de l'opération salutaire: terré dans son Palais, Allende préfèrera se donner la mort...avec une arme offerte par Castro portant l'inscription" à mon ami, Fidel"!
Le général Pinochet a sauvé son pays de l'anarchie et de l'emprise castriste, il a su s'entourer de responsables qui ont redressé l'économie, développé la croissance, fait reculer l'analphabétisation et ont porté l'espérance de vie de 63 à 74 ans! Il a certes gouverné sans complaisance aucune à l'égard des tenants de la subversion marxiste mais, que cela plaise ou non, avec le soutien du peuple chilien et c'est volontairement qu'il remettra le pouvoir entre les mains des civils en 1990, comme il l'avait promis, une fois son oeuvre achevée.
Depuis les roquets du "droitdlhommesque sélectif" ont aboyé à ses basques sans parvenir à le mordre et ils se sont acharnés jusqu'au bout. Dédaigneux, le général s'en est allé dans une ultime pirouette et n'a eu de comptes à rendre qu'à lui-même. Castro lui continue de régner sénilement sur un peuple asservi et un pays exsangue, adulé par les mêmes qui aujourd'hui crachent sur la dépouille du général Augusto Pinochet. Combien de ces "bonnes consciences" se sont fait un devoir d'aller visiter le Fidel sanguinaire? Ce qui me fait invariablement penser au texte d'un dessin humoristique célèbre: " tous les connards vont à Cuba, pourquoi pas vous?" Salut et bon vent, général! YD
09:55 Publié dans L' Histoire à l'endroit | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : Politique, droite, france, pinochet, chili, histoire, front national
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