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06 octobre 2010

Papy Galinier reste en prison parce qu' il est de souche !

magistrat peinard.jpgAu moins cette fois c' est net ! La demande de remise en liberté du septuagénaire a été rejetée aux motifs - outre le traditionnel et fumeux "trouble à l' ordre public" - que cela risquerait bien de " susciter l' incompréhension dans l' ethnie d' origine des victimes " et faire craindre des représailles à l' égard du mis en examen "

Nous assistons là à une ahurissante inversion des valeurs !

 L' ordre public ? Quel "public" ? Celui des millions de citoyen(nes) français qui aspirent à vivre en paix de leur travail ou de leur retraite, sans avoir à craindre d' être volés, agressés, violentés, torturés, assassinés; tous ces français(es) dits "moyens" qui ont le front d' aspirer à la sécurité de leur personne et de leurs biens et qui - faute de mieux - entendent bien se préserver eux-mêmes ? Où le "public" des malfaisants que des politiques moralement asservis et des robins militants considèrent comme de soit-disantes victimes perpétuelles de notre société et de notre civilisation, des " ayants-droit" sur les gaulois en quelque sorte ?

L' ethnie des victimes ? D' abord la victime, c' est René Galinier, surpris dans son sommeil par deux cambrioleurs qu' il a chevrotinisés à bon droit de légitime défense et si les agresseurs se sont trouvés être des versions féminisées de la racaille étrangère itinérante et il n' en peut mais. Bel aveu de militantisme juridique ! On en déduit que le vieil homme est en prison, non pour s' être défendu, mais pour s' être défendu contre des allogènes !

La crainte de représailles ? De qui se moque t-on ? S' il y a menaces, elles proviennent des parents et amis des deux nuisibles; il y aurait donc lieu d' éloigner la tribu, de neutraliser les menaçants et éventuellement de protéger René Galinier, chez lui, pas en prison ! 

Papy Galinier a le grand tort d' être un de ces souchiens tant méprisé des robins d' essence soixante-huitarde, un vieux souchien qui a eu le culot impensable de ne pas se laisser dépouiller - voire égorgé - par des racailles, qui plus est, allogènes. En fait, ils ont la frousse ces robins militants - qui emprisonnent les honnêtes gens et libèrent des brutes assassines - la frousse que demain ou après-demain les gaulois, en masse, décident de prendre leur destin en main et finissent par leur demander des comptes ! On y viendra !

Yves Darchicourt       

  

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