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09 février 2012

Les paillettes du CRIF, Hollande et Sarközy !


Les vestiaires du très chic pavillon d'Armenonville devaient croûler sous les visons, alpagas et autres zibelines. C'est que n'importe qui ne participe pas au raoult annuel du CRIF ( Conseil Représentatif des Institutions Juives de France ) où n'évolue que la Haute du très mondain milieu politico-affairo-artistico-médiatique. Jadis des courtisans auraient tué pour tenir la chandelle au petit coucher du Roy ou lui passer le linge sur le postérieur; de nos jours il faut être vu au dîner du CRIF ! C'est pourquoi les politiciens du Système s'empressent d'aller recevoir l'onction du politiquement correct dans ce que l'Express qualifie de "grand'messe" où -pétrifiés en statues dégoulinantes d'obséquiosité- ils écoutent pieusement les injonctions du Président de la chose, grand-maître d'un lobby qui n'existe pourtant pas et quasi ambassadeur permanent de l'Etat Hébreu en France.

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Pour rien au monde Hollande et Sarközy n'auraient manqué cet élégant pince-fesse communautariste où on a pu les voir, copains comme casher cochons, se serrer la pince -sous le regard aigu de l'ex-ministre de l'avortement- comme pour affirmer, qu'au-delà de leurs (petites) différences, ils seront les pourfendeurs de l'antisémitisme rampant ou avéré et les sourcilleux garants de "la sécurité d'Israël " à qui on demande humblement pour faire bonne mesure d'accepter un "Etat Palestinien viable" (prison ouverte avec trois repas par jour ?) 

Il paraît, qu'outre de considérables moyens de pression, le CRIF pèserait quelques 400000 voix et que pour les candidats à la Présidentielles,  "les votes de la communauté juive se répartissent à peu près comme que dans le reste du pays, exception faite de Marine Le Pen"  Comme quoi les courbettes ne sont pas toujours payantes ! 

  

 

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