18 janvier 2013
François Hollande : un chef de guerre normal !
On ne s'improvise pas chef de guerre et il est évident que le pantalon de treillis est beaucoup trop large pour François le Normal. Certes, l'homme a besoin de "sa" guerre pour détourner les regards citoyens de sa désastreuse gestion et des sombres perspectives d'avenir : hausses des prélèvements fiscaux, augmentation des prix de l'énergie (edf gdf ) et des transports (sncf qui hausse ses tarifs au-delà de l'inflation), baisse de rapport du Livret A, accroissement prévue du chômage, budget de l'Etat gravement obéré...austérité, matracage fiscal, misère ! Ajoutons à cela l'inconséquente obstination du Normal à imposer une scandaleuse réforme sociétale qui révulse tant la majorité silencieuse qu'une part notable de celle-ci (consistante a même lancé Hollande) s'est mobilisée contre elle et va continuer à le faire.
C'est une stratégie fort classique : François le Normal avait tout intérêt à lancer nos soldats dans une sale guerre destinée officiellement à aider un "roi nègre" à combattre le "terrorisme", en l'occurence le terrorisme islamiste, en réalité manoeuvre de diversion pour sa politique intérieure. Là où il y a problème, c'est que d'une part les rebelles maliens sont fort bien équipés gràce aux armements envoyés - notamment par la France et l'Union Européenne- à tout va en Lybie pour contrer Khadafi et qui sont à leur disposition, d'autre part que ces rebelles connaissent parfaitement le terrain et la façon d'y opérer style razzias très mobiles et enfin qu'ils ne pratiquent pas la guerre en dentelle et ne répugnent ni à la prise d'otages ni aux attentats contre des objectifs civils. Bref, nos soldats quittent l'Afghanistan pour aller se faire tuer en Afrique de l'Ouest et nos compatriotes risquent à nouveau des représailles aveugles, sur notre territoire et partout dans le monde.
D'autant hélas que l'islamisme - arrivé chez nous dans les fourgons d'une immigration allogène incontrôlée- constitue déjà une menace dans notre pays. On vient hélas de le constater en Algérie où l'incompétence crasse des soldats de Boutéflika a entraîné la mort de 30 civils ( + 22 disparus ) mais a aussi révélé la présence d'un "français" parmi les 11 islamistes tués. On savait déjà que de nombreux "jeunes" partent se former au combat djihadiste, ce qui accrédite la thèse selon laquelle les "quartiers" constitueraient un vivier de futurs insurgés islamistes en France, d'autant que les faits divers révèlent régulièrement la découverte fortuite de caches d'armes de guerre dans ces zones désormais étrangères sur notre sol. C'est pourtant une évidence, l'islamisme doit être d'abord combattu en France et en Europe. Notre pitoyable "chef des armées" ne semble pas en avoir plus conscience que n'en avaient ses prédécesseurs.
12:06 Publié dans France | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : france, immigration, islamisme, armée française, algérie, mali
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