15 mars 2015
Europe: les collabos de l'invasion migratoire dans l'Union "Européenne"!
« L’initiative stratégique concernant la situation en Méditerranée et la nécessité d’une approche globale de l’immigration dans l’UE» auront Cécile Kyenge pour co-rapporteur (avec le Maltais Roberta Metsola), a décidé le Parlement européen.
Cécile Kashetu Kyenge, née en 1964 au Congo, d’un père polygame qui a 38 enfants, s’est introduite illégalement en Italie en 1983. Elle se lance en politique dès 2004.En 2010, elle incarne en Italie la campagne de l’Organisation Internationale pour les Migrations. De 2013 à 2014, elle est désignée ministre de l’intégration, devenant le premier ministre né africain à siéger dans un gouvernement italien.« Je ne suis pas une femme de couleur mais une femme noire», déclare-t-elle fièrement à Myeurop.info.
Cécile Kyenge revendique la suppression de la notion d’immigrant clandestin et affirme que «L’Italie est un pays métis» et «multi-ethnique». Celle que le Parlement européen a choisi pour proposer les grandes lignes de sa politique migratoire prétend que « l’Europe doit ouvrir davantage ses frontières ».
A Jeune Afrique, Cécile Kyenge explicite : « Il faut ouvrir les frontières. (…) l’Europe a besoin de les ouvrir encore plus du point de vue économique, démographique, social… Elle a évité le déclin démographique grâce à l’immigration».
Sur Radio 24, Cécile Kyenge déclare « J’en rêve tous les jours. J’aimerais un Noir comme président de la république italienne».
Pour Cécile Kyenge, les immigrants illégaux doivent cesser de l’être, entrer en Europe à leur guise, tandis qu’un totalitarisme démocratique doit interdire les partis politiques jugés « racistes »
12:22 Publié dans Europe | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : europe, italie, immigration, identité, invasion migratoire, résistance
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