Ce prochain Dimanche, le peuple suisse pourra se prononcer sur une initiative " pour le renvoi des criminels étrangers " lancée par l'UDC.
Selon Hans Fehr, rapporteur du projet pour l' Union Démocratique du Centre ", entre 60% et 80% des délits sont commis en Suisse par des étrangers lesquels occupent jusqu'à 70% des places dans les prisons.
Le texte, soumis à l'approbation du peuple helvète demande que les criminels étrangers soient privés de leur titre de séjour et précise les délits pouvant entraîner l'expulsion: meurtre, viol, brigandage, trafic d'êtres humains...mais aussi la perception abusive de l'aide sociale ou des assurances sociales. L'interdiction de séjourner en Suisse irait de 5 à 15 ans, de 20 ans en cas de récidive.
L'initiative, à laquelle nous souhaitons bonne chance, a bénéficié du soutien de 211000 citoyen(nes) lors de son lancement, ce qui équivaut au double de ce qui est nécessaire pour obtenir une votation selon la Constitution Helvète.
Le contre-projet concocté par la gauche et le centre mou se contente de ressasser les thèses aussi utopiques et angéliques que grandiloquentes des "droits de l'homme" et de la grandeur de la politique "d'intégration"
On remarquera que la Suisse n'a pas les mains liées par l'eurocratie mondialisante et que ses responsables peuvent légiférer, dans l'intérêt bien senti de leurs seuls concitoyen(nes), sur des projets de simple bon sens. Un exemple de plus en faveur de la nécessaire sécession d'avec l'Union Eurocratique. YD