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18 avril 2015

Calais: la petite Chloé est aussi une victime du laxisme judiciaire!

calais,justice,criminalitéCalais: la malheureuse petite Chloé enlevée, séquestrée, terrorisée, battue, violée puis étranglée par une brute étrangère récidiviste n'a pas encore eu droit à ses funérailles qu'après la marche silencieuse, on passe à la marche blanche! C'est à la mode. Un peu comme les cellules psychologiques. Les deux bidules d'ailleurs, généralement couplés dès que se commet ce genre d'atrocité, ont le même objectif, calmer le vulgaire, noyer la fureur dans le lacrymogène, délayer la juste revendication du châtiment immédiat et exemplaire dans le recueillement, canaliser les exigences d'explication, neutraliser les revendications et faire en sorte que sinue un cortège de citoyens muselés et soumis à ceux qui pensent et agissent à leur place, même si ils ont failli, là ou on aurait dû voir une déferlante populaire s'emparer de l'ignoble et le brancher vite fait bien fait histoire de l'empêcher de récidiver à tout jamais.

Car le salopard qui a martyrisé la fillette de 9 ans était bien "connu des services de police et de justice", deux fois condamné en France pour extorsion, c'est à dire pour avoir "obtenu la remise de fonds, de valeurs ou de biens quelconques par la violence" et avoir encouru la rigueur des article 312-2 à 312-9 de notre Code Pénal. En 2003, les robins de Boulogne/Mer pouvaient l'envoyer au trou pour 7 ans, il n'a écopé que de 4 et en novembre 2005 il était libre; en 2010, les robes noires auraient pu l'embastiller pour 10 ans, il en a pris 6 mais sort en 2014...pour être renvoyé en Pologne d'où, grâce aux règlementations européennes, il ne tarde pas à pouvoir retourner dans la zone occupée de Calais.

Alors le gandin de Matignon et son caniche de l'Intérieur ont beau pointer les autorités polonaises du doigt, il n'en reste pas moins que c'est l'incroyable laxisme judiciaire dont il a fait l'objet qui a permis à l'ignoble de croiser la route de sa pauvre petite victime. Les responsables du martyre de Chloé sont avant tout les robins qui ne l'ont pas condamné lourdement quand il le fallait, comme ils le pouvaient, comme ils le devaient au regard du passé de l'individu...des responsables pas coupables hélas! Du moins pour le moment. Car il faudra bien que l'on en finisse avec l'irresponsabilité de ces gens là!

25 mars 2015

Le directeur d'école violeur d'enfants avait déjà été condamné comme pervers!

france,éducation nationale,pédophilie,justice,laxisme,enfantsSon identité n'a pas été révélée, dans les médias il reste "le directeur d'école" auteur présumé de viols sur plusieurs de ses élèves. Il faut dire que l'individu n'est pas un religieux, qu'il n' a pas été dénoncé comme un suppôt avéré de la famille naturelle ou du mariage traditionnel et qu'il ne semble pas avoir été soupçonné de complaisance envers ce qui de près ou de loin n'est pas conforme à la pensée unique. Horreur! malheur! l'homme est un enseignant promu directeur d'école à l'Educ'Nat, pire même en septembre dernier il a été publié dans la "Voix de l'Ecole "- organe du Syndicat National des Ecoles - où il a expliqué son engagement et son combat pour que les enseignants relèvent la tête et reprennent en main leur métier. Et pour que ce métier soit de nouveau considéré et que l’Ecole ne soit plus le fourre tout de la société »

L'anonyme prédateur sexuel est donc fonctionnaire du Mammouth et syndicaliste. Consternation! c'est un pédophile, auteur avoué de neuf viols aggravés, des fellations abominablement imposées à ses petites victimes ( au moins 7 fillettes et 2 garçonnets) dans le cadre des activités organisées par le salopard dans un "atelier du goût" L'immonde était en outre receleur d'images répugnantes mettant en scène des enfants. Derechef d'ailleurs car on sait maintenant qu'il enseignait malgré une condamnation à 6 mois d'emprisonnement avec sursis écopée en 2008 pour recel d'images pédopornographiques!

Une condamnation fort légère pour un personnage ayant charge d'enfants, assortie simplement de l'obligation de soins aussi traditionnelle que bidon pour des pervers de ce genre. Il semblerait là que les robins de la Justice (disons l'a-justice) taubiresque - sans doute imprégnés des doctrines fumeuses style théorie du genre ou autres déviances sur l'éveil sexuel des pré-adolescents illustré par les mémoires de la braguette de Cohn-Bendit par exemple-  aient voulu lui laisser une chance en ne lui interdisant pas toute activité en rapport avec des enfants comme ils en avaient la possibilité et n'ont pas même voulu avertir l'Inspection Académique concernée.

Résultat, l'ignoble est passé aux actes. Les robins responsables ne seront pas estimés coupables d'un laxisme scandaleux, peut-être idéologique d'ailleurs, et on ne va pas leur reprocher d'avoir laissé une brute perverse s'occuper d'enfants. Quand aux fonctionnarisés de l'Educ'Nat sont paraît-il autant sous le choc que les petites victimes, leurs parents et leurs jeunes camarades...tous proies futures des charlatans de l'inévitable cellule psychologique. Le violeur a quand même été suspendu de ses fonctions à l'Educ'Nat et devrait être emprisonné...souhaitons lui d'être accueilli comme il se doit par ses codétenus en général fort peu compréhensifs avec les pervers de ce genre.

20 mars 2015

L'Agrif contre Nique la France: pour certains robins le "blanc" n'existe pas !

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La XVIIe chambre du tribunal correctionnel de Paris, d'une manière mirobolante, vient de débouter l'AGRIF de ses poursuites contre les auteurs et chanteurs de « Nique la France ». Voici pourquoi l'AGRIF interjette appel immédiatement et sans la moindre hésitation. 
Il faut rappeler que les auteurs de « Nique la France » opposaient « petits gaulois de souche » et les « petits culs tout blancs présents à l'Assemblée Nationale » aux « arabes, noirs et musulmans ». L'AGRIF relève d'emblée l'escroquerie du procédé dialectique qui consiste à amalgamer ces trois catégories : comme si tous les arabes et les noirs étaient musulmans, et comme si tous les musulmans étaient anti-français
 
Au mépris de la loi ainsi que de tout élémentaire principe de bon sens, le tribunal vient de juger que le blanc n'est pas susceptible de définition et que la « blancheur » ne reposait « sur aucun critère scientifique », « variant de ce fait selon les époques, les cultures et les classifications administratives propres à chaque pays (sic.) ».

 On est sans voix devant pareille allégation

 Quand Christiane Taubira est visée par certaines caricatures, les tribunaux ne se posent nullement la question de l'existence de la race noire ! Il faut noter également qu'avec une telle non-définition, un métis qui serait odieusement traité de « sale nègre » ne serait plus protégeable faute d'appartenance à une race « scientifiquement définie ». Pour ce tribunal, si la race noire existe et les personnes noires sont protégeables, la race blanche n'existe pas et les Français blancs ne sont pas protégeables L'AGRIF n'a jamais soutenu que les français sont tous blancs ou tous chrétiens ; mais elle entend tout aussi bien protéger la majorité des français blancs, comme la loi le prévoit pour tous les groupes de personne sans distinction. 

D'une manière hallucinante au regard du droit, le tribunal éprouve le besoin de préciser que la « blancheur » ou la « race blanche » ne constituent pas « une composante juridique de la qualité de français ». Certes, mais ce que la loi protège, ce ne sont pas des qualités juridiques, mais des catégories ethniques, nationales et religieuses ! 

Bernard Antony, président de l'AGRIF  (source)

05 mars 2015

Le CRAN, le pâtissier et les dieux africains!

france,lobbies,pensée unique,justice,racisme,résistanceIl suffit de quelques recherches adéquates sur la Toile pour se convaincre de la mauvaise foi haineuse ou de l'imbécilité crasse des représentants du CRAN (Conseil Représentatif des Associations Noires-le même qui n'aime ni Tintin au Congo ni le tirailleur sénégalais de Banania) qui viennent de menacer de représailles judiciaires un pâtissier de Grasse qui a le front de proposer à sa clientèle des friandises en forme de "dieux et déesses africaines". Des personnages aux caractéristiques traditionnelles (comme les dieux Ogun du Cameroun ici en photo) disproportionnant certaines parties du corps (tête,sexe), présentant des bedons bedonnants ou des croupes monstrueuses, des membres grêles ou atrophiés, des bouches énormes ou des yeux dilatés..typiques des "arts premiers"

Les gugusses du CRAN ont vu dans ces pâtisseries, élaborées par un blanc, une évidente volonté de ridiculiser les religions africaines et une manifestation hypocrite de racisme colonial, alors qu'ils ne condamnent pas la vente, par leurs congénères, de reproductions de ces mêmes dieux, déesses et fétiches, avec les mêmes caractéristiques soi-disant désobligeantes sur la plupart des marchés de l'héxagone. A en juger par les réactions du populaire, l'initiative cranesque risque fort de finir en eau de boudin dont on ne précisera pas la couleur.

On pourrait en rire s'il ne s'agissait là encore d'une illustration de l'arrogance grandissante des représentants des lobbies communautaires (religieux et/ou raciaux) -soutenus et encouragés par les idéologues fumeux encore au pouvoir en France- qui pourrissent la vie du souchien à la moindre occasion sous les prétextes les plus fallacieux. Ici des revanchards du colonialisme qui ne crachent pas sur les subventions allouées par les descendants des colonialistes, des prétentieux surfant sur la repentance instituée qu'il conviendrait de remettre à leur juste et insignifiante place et à qui on devrait dire d'aller se faire voir chez Mugabe.

On marche sur la tête. Revenons les pieds sur terre: Résistance!

Sur le même sujet, l'excellent article de Caroline Artus sur Boulevard Voltaire

09 août 2014

Macaque photographe: un autoportrait devant la Justice britannique!

europe,grande-bretagne,justice,photographie,droit d'auteur,singesAffaire David Slater contre Wikimedia! La Justice britannique devra trancher sur un point un fort important soulevé par ce procès et  touchant à la propriété intellectuelle et au droit d'auteur. Résumons l'inédite chose : en 2011, Slater - photographe animalier - oeuvre en Indonésie où il se fait chouraver son appareil par un macaque. Jusque là rien qui ne sorte de l'ordinaire et de la banalité, sauf que le macaque en question, avant d'abandonner l'appareil, s'est amusé à cliquer d'importance sur le bouton adéquat immortalisant ainsi un grand nombres d'images... des photographies ratées par le simiesque débutant, sauf l'une d'entre elles ( ci-contre ), un extraordinaire autoportrait ( un selfie dit-on pour faire connaisseur ) qui, publié par Slater, a été repris par Wikimedia sans autorisation et donc sans versement de droits d'auteur au prétexte que, prise par un "non humain", elle tombait ipso facto dans le domaine public.

Slater lui soutient que c'est son appareil qui a enregistré l'image, donc qu'elle lui appartient et réclame 12600€ à Wikimedia. Mais quid des droits du primate dont l'humoristique autoportrait illustre désormais les médias du monde entier ou presque?

europe,grande-bretagne,justice,photographie,droit d'auteur,singesNoeud gordien juridique fabuleux que les robins de Sa Gracieuse Majesté devront trancher sous le regard sourcilleux des juristes du monde entier.

Le macaque, voleur mais créateur artistique, pourrait sans doute être prochainement interpellé et extradé vers l'Angleterre où déjà les plus grands cabinets d'avocats se disent prêts à l'assister afin que son témoignage dans cette grande première judiciaire constitue la pierre angulaire des futurs et universels "droits du singe"