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20 mars 2015

L'Agrif contre Nique la France: pour certains robins le "blanc" n'existe pas !

france,justice,racisme anti-blanc

La XVIIe chambre du tribunal correctionnel de Paris, d'une manière mirobolante, vient de débouter l'AGRIF de ses poursuites contre les auteurs et chanteurs de « Nique la France ». Voici pourquoi l'AGRIF interjette appel immédiatement et sans la moindre hésitation. 
Il faut rappeler que les auteurs de « Nique la France » opposaient « petits gaulois de souche » et les « petits culs tout blancs présents à l'Assemblée Nationale » aux « arabes, noirs et musulmans ». L'AGRIF relève d'emblée l'escroquerie du procédé dialectique qui consiste à amalgamer ces trois catégories : comme si tous les arabes et les noirs étaient musulmans, et comme si tous les musulmans étaient anti-français
 
Au mépris de la loi ainsi que de tout élémentaire principe de bon sens, le tribunal vient de juger que le blanc n'est pas susceptible de définition et que la « blancheur » ne reposait « sur aucun critère scientifique », « variant de ce fait selon les époques, les cultures et les classifications administratives propres à chaque pays (sic.) ».

 On est sans voix devant pareille allégation

 Quand Christiane Taubira est visée par certaines caricatures, les tribunaux ne se posent nullement la question de l'existence de la race noire ! Il faut noter également qu'avec une telle non-définition, un métis qui serait odieusement traité de « sale nègre » ne serait plus protégeable faute d'appartenance à une race « scientifiquement définie ». Pour ce tribunal, si la race noire existe et les personnes noires sont protégeables, la race blanche n'existe pas et les Français blancs ne sont pas protégeables L'AGRIF n'a jamais soutenu que les français sont tous blancs ou tous chrétiens ; mais elle entend tout aussi bien protéger la majorité des français blancs, comme la loi le prévoit pour tous les groupes de personne sans distinction. 

D'une manière hallucinante au regard du droit, le tribunal éprouve le besoin de préciser que la « blancheur » ou la « race blanche » ne constituent pas « une composante juridique de la qualité de français ». Certes, mais ce que la loi protège, ce ne sont pas des qualités juridiques, mais des catégories ethniques, nationales et religieuses ! 

Bernard Antony, président de l'AGRIF  (source)

06 mars 2015

Racisme anti-blanc: dégueuli scénique subventionné à Lannion !

la-maison-du-theatre-accueille-la-place-du-chien.jpgArticle paru sur BREIZh INFO

Le 26 février dernier s’est tenue à Lannion, au « Carré Magique », la représentation d’une pièce de théâtre intitulée « La place du chien », imaginée par la troupe rennaise « Lumière d’août ».  Une pièce subventionnée où le racisme anti-blanc est à l’honneur.

Synopsis de ce «sitcom» : «  Silvain, musicien congolais, et Karine, jeune précaire française, tombent amoureux. Silvain vient s’installer chez Karine, qui habite avec son labrador Sherkan dans un minuscule appartement… Karine a un rapport assez fusionnel avec son chien, tandis que Silvain est persuadé qu’un esprit malin habite l’animal…
Apprendre à se connaître, s’aimer, trouver les moyens d’aménager le quotidien, vivre et surmonter des conflits rendus insolites par la présence de l’animal : c’est sur ce scénario banal que se construit le début de la pièce.Elle bascule progressivement vers des horizons plus étranges, politiques et métaphoriques. Le lit du couple devient un enjeu de pouvoir, Silvain tente de marabouter Sherkan, qui se met à lui écrire des messages sur le miroir de la salle de bain, ou à lui diffuser des chansons coloniales… Karine quitte son travail et découvre qu’elle peut tirer profit de la semence de son labrador, avant d’aller plus loin. Elle finit par perdre Silvain, qui atterrit derrière les grilles d’un Centre de Rétention Administrative.
Dans les relations des trois personnages, les rapports d’amour, de force, d’oppression ou de cruauté se déplacent et se renversent sans cesse. Animal et humains se côtoient, se confrontent et éprouvent leurs rôles.
Quelle place occupe-t-on ? Comment se traite-t-on ? Comment valorise-t-on son pedigree ?»

Outre une énième apologie du métissage, désormais précieux sésame pour garnir les comptes en banque associatifs de juteuses subventions, le concept de la pièce va plus loin : la femme blanche, serait opprimée et ne pourrait se libérer du « mâle blanc » qu’en se vendant sexuellement ou en s’ouvrant à d’autres cultures: elle reporterait sa frustration quasi intrinsèque sur son animal domestique ou bien sur l’homme noir, qui serait quant à lui porteur d’avenir, d’ouverture, et serait une victime permanente d’un système qui amène l’homme blanc à mieux traiter son animal domestique que l’Africain qui arrive sur notre continent sans y avoir été invité.

Le tout agrémenté de chants coloniaux des années 30 et du discours de Dakar de Nicolas Sarkozy, histoire de bien confirmer au public, quasi-exclusivement Européen de souche, qu’il est bourré de préjugés et de réflexes racistes et sexistes.

« J’ai écrit cette pièce suite à des discussions avec des amis africains sur le rapport étrange que les Blancs entretiennent avec leur chien. » affirme le plus sérieusement du monde Marine Bachelot, qui l’a mise en scène.

Paroxysme de la haine de soi et de la culpabilisation des Européens, cette pièce de théâtre est co-produite et subventionnée par la Maison du Théâtre (Brest), le Théâtre du Pays de Morlaix,  Scène de Territoire pour le théâtre, le Centre Culturel de Cesson-Sévigné mais aussi par l’Aide à l’écriture et à la production de Beaumarchais – SACD, le Ministère de la Culture et de la Communication au titre de l’aide à la production, le Théâtre National de Bretagne(Rennes) …

Ce sont donc des dizaines de milliers d’euros (des centaines si l’on inclut les subventions reversées au « Carré magique» de Lannion, hôte qui bénéficie de 450 000 euros par an de subventions de la part de Lannion communauté) qui ont servi – en plein coeur de la Bretagne – à commettre ce nouvel « attentat culturel » contre l’homme blanc et sa civilisation.

Prochaine représentation, le 9 avril à Saint-Brieuc, à « La Passerelle »…

 

20 juin 2013

Lille : un cas ordinaire du racisme anti-blanc qui n'existe pas !

france,lille,immigration,racisme anti-blanc,justice,résistanceL'affaire n'a pas débordé de la presse régionale et pour cause..! Le 14 juin dernier, un étudiant "souchien" est racketté par deux afro-français lesquels, déçus de ne pouvoir lui extorquer autant qu'ils l'espéraient, se défoulent sur le malheureux et mettent son logement à sac. Passé à tabac, le jeune blanc est notamment recouvert de produits de nettoyage au prétexte que "les blancs çà pue" comme lui lancent ses tortionnaires rigolards qui ont en outre recouvert les murs d'inscriptions racistes du style "black power revient" ou "nike les blancs". Emmené par une patrouille de police, la victime permet l'arrestation des deux racailles africaines. Passé en comparution immédiate lundi dernier Thierno Barry 20 ans déjà mis en cause dans une affaire d'agression ratée sur une jeune femme début juin a été condamné à 15 mois d'emprisonnement dont huit avec sursis et a été fort logiquement écroué, son comparse, mineur, devant être jugé séparément.

L'agression raciste anti-blanc est patente mais n'a pas été reconnue cmme telle par le Tribunal, le Parquet ayant simplement relevé qu'il aurait pu poursuivre sur la base d’une agression du fait de la race de la victime. Le mineur dit qu’ils avaient envie de dépouiller un blanc ». Il est vrai qu'un issu de colonisé ne peut pas être raciste puisqu'il en est par définition victime obligée. La peine est bien légère (dans 3 mois au pire le nuisible est à l'air libre et va pouvoir commencer à chercher à se venger) au regard des condamnations infligées à des blancs reconnus coupables ne serait-ce que d'intentions racistes sur des allogènes. Personne évidemment n'a cherché à savoir si les deux zoulous étaient sympathisants d'un quelconque Cran (comité représentatif des associations noires) qu'il importerait de dissoudre au plus vite.  Et puis on attend toujours la réaction indignée de la caste politicienne, des médias, des associations "anti-racistes", du syndicat de la magistrature, des francs-maçons, des lgbt, des femen, du front marinien et des évèques...Dans le même temps ou presque, un jeune français hostile aux lois sociétales de Pépère fait la une des médias en partant -pour l'exemple- pour deux mois en prison simplement pour s'être défendu contre un groupe de flics infiltrés qui le rouaient de coups, des encapuchonnés dont on sait bien désormais que le rôle était essentiellement de provoquer des violences pour justifier la répression gouvernementale programmée contre les citoyens qui ont le front de contester la Ripoublique. 

Affaire emblèmatique de la justesse du combat de la Résistance contre les collabos du Système qui s'acharne à faire du gaulois une espèce soumise et en voie de disparition. 

13 septembre 2012

Révolte des "souchiens" : manifestation à Paris le 29 septembre !

Manif-JN-29-sept.jpg

06 juillet 2012

Klu Klux Taubira : les doux mots d'une grande humaniste !

france,justice,christiane taubira,identité,ps,racisme anti-blancChristiane Taubira: un concentré de haine !

« Je sentais vibrer mes instincts meurtriers, ataviques, innés, acquis. Je me voyais déracinant ces langues infâmes, défenestrant, écorchant vifs, suspendant par douzaines et par un pied ces faux naïfs. »

Extrait de son inoubliable ouvrage Mes météores, combats politiques au long cours où elle éructe sa haine contre les députés de "droite" qui faisait la moue à l'Assemblée devant son projet de loi sur la traite des noirs et l'esclavage. L'histoire ne dit pas si elle a eu recours à un "nègre" pour l'écrire...

source: le blog de Thomas Joly