Par Robert Spieler Délégué général de la Nouvelle Droite Populaire
Les récents propos de Marine Le Pen et de son père sont consternants. A propos de Geert Wilders, leader anti-islamiste hollandais, elle déclare : « Wilders est dans un combat contre la religion. Pour lui, l’islam est incompatible avec la démocratie, mais je ne le crois pas. Je crois que la charia est incompatible, pas l’islam. Je crois qu’une immense majorité de musulmans sont favorables à la démocratie. » Et elle ajoute : « Je suis beaucoup moins radicale que Wilders » Et puis, cette phrase stupéfiante, qui dénote d’une totale inculture quant à la réalité de ce qu’est l’islam : « Je ne crois pas que l’islam soit incompatible avec la démocratie. » Mais comment peut-on proférer de telles absurdités ? Faut-il lui rappeler que le Coran est sensé être la parole d’Allah, et à ce titre, non interprétable, contrairement à la Bible. Qu’il contient des versets ultra-violents à l’encontre des chrétiens, des juifs et des athées. Qu’il considère que les femmes sont des sous-hommes. Que la conversion est interdite, sous peine de mort. Que les premières sourates, dites mecquoises, modérées (écrites quand la victoire de Mahomet était loin d’être assurée), et auxquelles se réfèrent les imbéciles collabos, sont annulées, selon les théologiens musulmans, par les suivantes, d’une extrême violence. Que le Coran autorise, exige le mensonge et la dissimulation quand le musulman est en position de faiblesse (la Takia), mais exige aussi la plus extrême violence quand il est en position de force : « La main que tu ne peux couper, baise la ».