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29 novembre 2011

Flandre : l'identité éradiquée !

europe,france,flandre,identité,histoire,résistanceLeve Vlaenderen ! le fort beau coup de gueule de Régis de Mol, président de l'Alliance Régionale Flandre-Artois-Hainaut  ( source: Alliance Régionale via Altermedia )

Le changement de peuple, au programme des deux grands partis jacobins et mondialistes qui se partagent le pouvoir en France va bon train. Si chacun peut l’observer à l’échelle nationale, le travail de génocide identitaire se produit également par petites touches, à l’échelle locale, ainsi que le relate innocemment la Voix du Nord dans son édition hazebrouckoise du 1er octobre 2011.
En question, l’épuration linguistique qui se poursuit en Flandre. Après l’affaire du collège Michel de Swaen, « dont le nom ne disait plus rien à la population de Petite Synthe » (on se souvient que le nom de notre grand poète flamand fut remplacé par celui de Lucie Aubrac), après la campagne de ch’timisation à outrance orchestrée par la Voix du Nord, dans le sillage du succès du film tourné à Bergues, voici que la municipalité de VIEUX BERQUIN éradique les derniers noms flamands du village :

« Mardi au conseil de Vieux-Berquin, les élus étaient amenés à se prononcer sur le classement des voies communales et sur la modification du nom de rues. Ainsi et tout à fait officiellement, Vierschaere devient rue de Borre, Gagelstraete rue de Pradelles, Swartenbrouck rue de l’Alger, Meterbecque ou Halm Straete, rue de Steenwerck. Certains élus ont légèrement regretté que les anciennes dénominations ne soient pas restées. D’un autre côté, on peut imaginer la difficulté des nouveaux habitants à prononcer jusqu’au nom de leur rue… » (VdN du 1er oct.2011).
Nous pourrions ironiser facilement sur la « difficulté des nouveaux habitants à prononcer SWARTENBROUK » et confirmer que « Rue de l’Alger » ne posera aucun problème à l’avenir ! Mais pas d’humour déplacé, la patrouille rôde ! Une fois de plus, comme à Petite Synthe, à Bergues et ailleurs, les élus du peuple donnent une prime à l’ignorance et renient tout l’héritage culturel de leurs ancêtres. Du passé flamand, ils font table rase.

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27 novembre 2011

Repentance : la Consulaire va t-elle retourner à Alger ?


france,algérie,repentance,barbaresques,esclavage,histoireUn comité de "militaires et historiens" algérien prétend que Claude Guéant -lorsqu'il était secrétaire général de l'Elysée- a promis, qu'à l'occasion des 50 ans d'indépendance de l'Algérie, il serait fait restitution en juillet 2012 de "Baba Merzoug" (Père Fortuné), une énorme pièce d'artillerie enlevée lors de la prise d'Alger le 5 juillet 1830 et érigée en monument en l'Arsenal de Brest.

Connue en France sous le nom de La Consulaire, le canon en bronze (13 tonnes, 6,60m de long, 25cm de diamètre) a été coulé en 1542 par un maître vénitien à la demande du gouverneur ottoman Hasan Aga pour protéger la rade d'Alger; capable d'envoyer des boulets à 4800m, il était en revanche plus symbolique qu'utile tant il était long à servir.

Ce que le comité algérois ne précise pas, c'est que l'engin doit son nom de "la consulaire" et sa triste célébrité au fait qu'il a surtout tué des innocents en représailles des actions entreprises sur Alger par Louis XIV pour détruire ce qui ce qui restait des pirates barbaresques et obtenir la libération des milliers d'esclaves chrétiens qui croupissaient dans les prisons musulmanes en attendant de servir comme bêtes de somme dans les mines ou sur les cultures, ou pour les femmes, les fillettes et les garçonnets de devenir objets sexuels dans les harems de poussah libidineux. En 1683, le père Levacher, consul et 20 résidents français puis en 1686, le consul André Piolle et 42 résidents français sont liés face à la bouche du canon qui projette les miettes de leurs corps sur les navires de la Royale.

Le 5 juillet 1830, les troupes française prennent Alger et trouvent le canon relegué sous les voûtes de l'Amirauté; transporté à Brest sur ordre de l'amiral Duperré, il est dressé sur un socle de granit flanqué de bas-reliefs et devient un monument commémoratif et un monument aux morts inauguré en juillet 1833 et ultérieurement couronné d'un coq gaulois.

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Coulé par un vénitien pour une province turque, payé probablement par le fruit du trafic d'esclaves, le canon La Consulaire, qui n'a pas grand'chose d'algérien, est une prise de guerre -et un instrument de torture- devenu un monument commémoratif du patrimoine français, du patrimoine breton, du patrimoine de Brest, et doit le rester. S'il y a quelques raisons de repentance à son sujet, elle n'ont certainement pas à venir de la France.  

 

  

 

24 novembre 2011

Hervé Ryssen censuré !


censure.gifHervé Ryssen vient à nouveau d'être censuré sur internet, c'est la 6e fois depuis 2007. Sous la pression de certain lobby -qui pourtant n'existe pas- son dernier hébergeur a supprimé d'autorité le blog qu'il entretenait depuis quelques mois à la seule fin de présenter ses livres.

Hervé Ryssen est du genre tenace : on peut le lire sur un nouveau site "Hervé Ryssen - l'esprit français" ( cliquez ici ) Cette péripétie nous donne l'occasion de recommander la lecture des ouvrages d'Hervé Ryssen et notamment le dernier en date - Le Racisme Antiblanc - qu'il a présenté et abondamment dédicacé lors de la 5e Journée de Synthèse Nationale le 11 novembre dernier.

source: contre-info

25 octobre 2011

Un 25 du mois d'octobre en l'an 732 !


Cela faisait six jours maintenant que les deux armées s'observaient : une longue attente ponctuée d'escarmouches. Au commencement du septième jour, qui se trouvait aussi être le premier du Ramadan, Abd er Rahman se décide à engager le combat contre les forces conjointes de Charles de Heristal et d'Eudes d'Aquitaine qui lui barrent la route de Tours, la riche ville de Saint Martin qu'il veut humilier et piller.

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L' émir commet la faute que Charles espérait : trop sûr de la supériorité numérique de son armée il lance ses innombrables cavaliers arabes et berbères sur l'infanterie franque, sans réaliser que celle-ci est disposée dans un espace trop reserré pour permettre un déploiement efficace de sa cavalerie. Trop groupés, ses hommes vont se gêner les uns les autres. 

Serrés en masse compacte derrière leurs grands boucliers ronds, les guerriers francs forment eux un véritable rempart par dessus lequel volent les francisques. Dix fois, vingt fois, les barbaresques reviennent à la charge sans jamais parvenir à fractionner la masse hérissée de fers aigus et tranchants : les hommes et chevaux s'empalent sur les framées, les cavaliers sont désarçonnés par les angons, crochetés jusqu'à portée des épées ou des scramasaxes, taillés en pièces...et toujours les haches qui atteignent leur but avec une précision redoutable. Les Francs repoussent toutes les attaques des envahisseurs musulmans et leur infligent de lourdes pertes. Alors Eudes et ses aquitains profitent du fléchissement pour tourner l'ennemi et assaillir ses arrières. Dans la mêlée, Abd er Rahman est occis et ses cavaliers refluent en désordre pour tenter de sauver le butin qu'ils avaient accumulé. La victoire est totale pour les Francs et les Aquitains, son retentissement sera immense et les sarrasins ne s'aventureront plus jamais si loin vers le Nord.

 C'était le 25 octobre 732, à Moussais, sur le territoire de la commune actuelle de Vouneuil sur Vienne, entre Tours et Poitiers. Le jour mémorable qui vit le duc Charles gagner son immortel surnom et devenir pour la postérité Charles Martel !     

14 octobre 2011

Un autre Vendredi, un nouveau Rivarol !

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