07 juin 2013
Affaire Méric : pain béni pour justifier la répression contre la Résistance nationale !
Qu'on arrête de bourrer le mou du citoyen ! Même si c'est prêcher dans le désert, il est quand même temps de remettre les pendules à l'heure, tant sur le déroulement de l'affaire et l'enquête que sur sa récupération politico-médiatique.
Un méchant hasard fait se rencontrer à la même vente de fringues un bcbg étudiant sciencepolitisé à l'ultra-gauche et un front bas du populaire au "look" insupportable pour un révolutionnaire salonard. Lequel a joué au roquet et provoqué l'autre ? Qui a présumé de ses muscles et déclenché la funeste bagarre ? On sait bien qu'un policier un temps soit peu professionnel et obeissant peut, outre sélectionner les témoins, faire dire tout et son contraire à ces mêmes témoins; dans cette affaire, le directeur d'enquête - celui qui "dirige" au sens propre donc ici qui "oriente" - est le Parquet de Paris, c'est à dire le ministre de l'intérieur...dont on connaît le sectarisme haineux envers ce qui, même de fort loin, évoque pour lui les adversaires du mondialisme et du politiquement correct. Nul doute que l'enquête sera rondement menée et accablante pour ceux que les médias ont eu consigne de désigner comme uniques responsables et coupables obligés, comme ce fut le cas à Lille lors de la rixe opposant "skins" et invertis aux abords d'un bar gay ou lors de la Manif'pour tous où les policiers infiltrés par Valls ont caillassés leurs collègues CRS ou Gardes Mobiles pour susciter les troubles et en faire accuser les jeunes nationalistes.
L'afaire est évidemment pain béni pour tous les politiciens du Système à l'unisson dans les cris d'orfraies poussés du Front de Gauche au Front Marino-poreux en passant par l'UMPS et le centre mou. Haro sur la droite nationale, radicale, identitaire et solidariste et ce même si elle n'a rien à voir dans le fait divers. Il est quand même stupéfiant de voir les gauchistes présentés comme des politiques responsables, respectueux de la république et de la démocratie, victimes de l'intolérance et du fâchisme. Ceux de ma génération qui sont comme moi passés par Occident, Ordre Nouveau, le Parti des Forces Nouvelles et le Front National d'avant sa déliquescence marinienne pourront en témoigner : durant des années, il ne fut quasiment jamais possible de distribuer des tracts, de coller des affiches, de tenir une permanence ou d'organiser une réunion publique sans devoir faire face aux agressions les plus violentes des groupes gauchistes et de leurs supplétifs exotiques. C'est encore le cas aujourd'hui quand ils sont ragaillardis par le sniff et suffisamment supérieurs en nombre; sans compter - o tempora o mores - qu'ils n'hésitent plus à aller pleurer au commissariat le plus proche quand ils se prennent une raclée vite et favorablement médiatisée.
Car les admirateurs de Lénine, de Trotsky, de Staline, de Mao, de Pol Pot et de Castro - c'est à dire des plus grands criminels politiques de l'Histoire - bénéficient de la complaisance des institutions du Système et de la sympathie à peine voilée de la médiacratie, il est vrai amplement fournie en petits bourges de Sciences Po.
Et cela durera tant que ne sera pas donné le grand coup de balai salvateur, peut-être dans les urnes, plus certainement dans la rue.
Rassemblement - Résistance - Reconquête !
13:36 Publié dans Faits et gestes...chiffres et paroles | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : france, droite nationale, identité, front de gauche, médias, résistance
Affaire Clément Méric : manupilations médiatiques !
Décès de Clément Méric : une insupportable hystérie politico-médiatique
Thomas Joly Secrétaire général du Parti de la France cliquez ici
Depuis jeudi, on assiste au plus indécent et insupportable déchaînement médiatique depuis bien longtemps contre l'extrême-droite fantasmée, rappelant le parfum d'hystérie collective de l'entre-deux tours des élections présidentielles de 2002.
Politiciens du Système (du Front de Gauche au Front mariniste) et médias aux ordres participent à un lynchage absolument insupportable alors qu'il apparaît de plus en plus clairement, d'après des témoignages concordants, que Clément Méric, accompagné d'autres militants d'extrême-gauche, a sciemment provoqué et agressé un petit groupe de jeunes nationalistes venus faire des achats de vêtements. Ceux-ci n'ont fait que se défendre contre leurs agresseurs et le jeune « antifasciste » a fait une chute malheureuse qui lui a été fatale.
Naturellement, toute la classe politique, au comble de l'excitation et l'écume aux lèvres, réclame l'interdiction de groupes nationalistes, fait des amalgames avec les manifestations contre le mariage gay. Bref le Système tente, en exploitant un fait divers et en travestissant la réalité des faits, de régler ses comptes avec cette vague de protestation populaire qui a pris une ampleur considérable ces derniers mois et qui échappe à son emprise.
Clément Méric est mort de son idéologie dite « antifasciste », de son engagement violent et haineux contre des opposants politiques, de cette extrême-gauche qui l'a embrigadé et poussé à l'affrontement plutôt qu'au débat d'idées.
A titre de comparaison, en début de semaine, François Noguier, jeune étudiant français sans histoire, décédait quasiment dans les mêmes conditions : une lourde chute après un coup de poing asséné par un Nord-Africain alcoolisé. Outre une indifférence médiatique habituelle lorsqu'il s'agit du meurtre d'un Français par un allogène, on notera également qu'aucune grande conscience ne s'est élevée pour demander l'arrêt de la colonisation migratoire de notre pays... Si je dois avoir de la compassion ce sera d'abord à l'égard de ce jeune étudiant mais également à l'égard des jeunes nationalistes incarcérés et livrés à une vindicte politique, médiatique, policière, judiciaire et populaire absolument écoeurante et inique.
10:21 Publié dans Faits et gestes...chiffres et paroles | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : france, identité, droite nationale, front de gauche, médias, résistance
30 mai 2013
François Hollande : la dérive dictatoriale !
Où le mépris n'a plus de limite...par Luc Pécharman ( membre du Bureau de la Nouvelle Droite Populaire )
De toutes les attitudes possibles face à la contestation populaire, l’exécutif a choisi la pire : le mépris.
Qu’il nous suffise de regarder ces derniers jours pour nous en rendre compte.
Dimanche d’abord avec l’annonce du chiffre de la Préfecture de Police de Paris concernant la participation à la manifestation monstre contre le mariage gay, tellement minoré qu’une simple recherche de photos sur internet dément cette estimation. C’est tellement irréel, en tel décalage avec la véritable mobilisation, que l’on ne peut pas douter que le but recherché n’est pas la désinformation. Si c’était une simple manœuvre de travestissement de la réalité, le pouvoir aurait donné un chiffre moins conséquent que le nombre de manifestant, certes, mais pas aussi ridiculement bas que personne ne peut y croire.
Non, le seul but de cette annonce est le mépris. C’est un crachat à la gueule des Français, c’est une façon de leur dire qu’ils ne représentent tellement rien au yeux des dirigeants que ce n’est pas la peine de faire semblant de paraître crédible. C’est une confirmation de ce que nous savions déjà : nous ne sommes plus que des sous-citoyens sur notre propre sol, la preuve ultime étant qu’il faut sept d’entre nous pour faire le chiffre un.
Lundi, le Président de la République en remet une couche lors d’un déplacement à Paris, au cas où nous n’aurions pas compris. Dans un même mouvement, il fait arrêter près d’une centaine de contestataires venus lui demander des comptes, puis interdit l’usage du français hors de cadres bien définis, et dévoile enfin le fond de sa pensée. Passons sur le premier épisode, qui répond aux arrestations arbitraires de dimanche, lorsque 96 personnes ont été interpellées préventivement, leur seul tord étant d’être des militants nationaux reconnus.
Ensuite, François de nous expliquer, sans rire, que l’on n’a pas le droit d’utiliser les termes de résistance ni de dictature, le premier ne pouvant être employé que pour parler de la lutte contre le nazisme, le second ne concernant que le régime hitlérien. Car non, jamais aucun peuple n’a résisté à quoi que ce soit ni à qui que ce soit en dehors d’une période allant de 1933 à 1945. De là à ce que cette affirmation débile, absurde, ne donne lieu à une nouvelle loi mémorielle… J’imagine déjà les nouveaux manuels d’histoire
"Pourquoi ne peut-on pas dire que Vercingétorix a résisté aux Romains ? Parce que Jules César n’était pas nazi.
Comment doit-on qualifier la bataille de Poitiers ? D’acte profondément xénophobe de Charles Martel, car Abd al-Rahmân n’avait pas juré fidélité au führer."
Puis, François Hollande, non content de seulement réinterpréter quelques mots de la langue Française, de lâcher : «Les mots ont toujours un sens. Il faut leur donner leur signification. La Résistance, c'était par rapport au nazisme, à l'Occupation. La collaboration, c'était des Français qui étaient avec l'occupant. Et le fascisme, le nazisme, la dictature, c'était une époque qui heureusement est révolue. Donc nul n'a le droit d'utiliser ces mots pour défendre des idées - si on peut appeler ça des idées - d'aujourd'hui. »
"Si on peut appeler ça des idées…" Pourquoi, tu as un autre nom à proposer ? (oui, au passage, et devant tant de mépris, je n’arrive plus à vouvoyer ce triste personnage)
Car là est le fond réel de la pensée de la caste dirigeante : Ils sont les seuls dépositaires des idées. Eux seuls en ont. Les autres, ceux qui pensent différemment, le Pays Réel aurait-on écrit à une époque, n’ont pas d’idée. C’est limpide et si rassurant :
"Ouf, ils n’ont pas d’idées ! Et ils ont quoi alors ?On ne sait pas. De toute façon on s’en fout, ce sont des salauds…"Merci président.
Si lorsque nous parlons, nous n’exprimons pas des idées, si lorsque nous défilons, nous n’existons pas, alors, que nous reste-t-il ? Une petite idée François ?
Source cliquez ici
13:16 Publié dans France | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : france, identité, famille, droite nationale, ndp, synthèse nationale
29 mai 2013
Dominique Venner : dernier hommage !
La tradition est un murmure des temps anciens et du futur. Elle me dit qui je suis. Elle me dit que je suis de quelque part.Je suis du pays de l’arbre et de la forêt, du chêne et du sanglier, de la vigne et des toits pentus, des chansons de geste et des contes de fées, du solstice d’hiver et de la Saint-Jean d’été, des enfants blonds et des regards clairs, de l’action opiniâtre et des rêves fous, des conquêtes et de la sagesse. Je suis du pays où l’on fait ce que l’on doit parce qu’on se doit d’abord à soi-même. »
Dominique Venner in Le Coeur Rebelle
Pour information et à la demande de la famille, les obsèques de Dominique Venner se dérouleront dans la plus stricte intimité familiale. La famille et les proches vous font part de toute leur reconnaissance pour les nombreux messages de soutien et vous remercient par avance de respecter cette demande.
11:15 Publié dans Mémoire | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : europe, identité, civilisation européenne, histoire, mémoire, traditions
28 mai 2013
Manif'pour tous : il y avait trop de manifestants, Valls fait truquer les chiffres!
Une fois de plus, dûment chapitrés, les services de la Préfecture de Police de Paris ont plus que largement minoré le rassemblement populaire et patriotique de dimanche dernier. Les fonctionnaires défendent la prétendue infaillibilité de leur méthode de comptable par points fixes : une méthode jugée pourtant "artisanale" comme l'a reconnu le responsable du renseignement de la PP lui-même à Libération.
Le Collectif de la Manif'Pour Tous a priviléfié une méthode de calcul basée sur le rapport entre la surface occupée et la densité moyenne au m2 (2 ou 3 manifestants) et en prenant en compte les flux. Ainsi à 18h00, la seule esplanade des Invalides - 133 925 m2 selon la Voierie de Paris - bondée, supportait donc entre 267850 et 401775 manifestants, alors qu'une foule énorme était encore au Trocadéro et dans les rues adjacentes. ( source La Lettre d'Info du Figaro )
Il est donc apparue de façon criante, que les galonnés de la PP ont avancé le chiffre de 150000 manifestants sur instructions du ministère de l'Intérieur, c'est à dire de Manuel "Gaz" Valls lui-même. Une grossière et minable manoeuvre de plus pour le ridicule bellâtre de la place Beauvau.
13:44 Publié dans Faits et gestes...chiffres et paroles | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : france, famille, identité, homos, ps, résistance