05 avril 2013
Un sénateur mahorais pro "mariage homo" courroucé par Civitas!
Thani Mohamed Soilihi - sénateur socialiste de Mayotte et partisan du mariage homo - s'est indigné à la tribune sénatoriale de l'intitiative prise par Civitas d'organiser des prières publiques aux abords du Palais du Luxembourg dans le cadre de la confrontation citoyenne sur la loi Taubira au prétexte qu'en France le principe de laïcité s'opposerait aux manifestations religieuses publiques de ce genre.
L'homme est un sommaire et pour réfutation de ses arguments il suffira d'inviter à consulter l'article excellent de Jean de Rouen sur Contre-Info et qui tacle le politicien d'importante. ( voir ici ) On se contentera ici de lui rappeler que s'il est l'un des deux sénateurs de Mayotte ( avec son congénère Abdourahamane Soilihi de l'UMP ) c'est parce que la population de l'archipel a été consultée à trois reprises (1974 puis 1976 pour rester dans le giron de la France et 2009 pour que Mayotte devienne un département français ) sans que les français eux puissent donner leur avis et l'exprimer par un vote.
Quant on sait que Mayotte est un gouffre financier pour la France, qu'elle est fortement islamisée et qu'elle compte plus de 30% d'immigrés clandestins (essentiellement comoriens), on peut penser que nombre de nos compatriotes ne verraient pas le définitif largage des amarres d'un mauvais oeil. Mayotte devenue indépendante ou rattachée à l'Union des Comores permettrait alors à Thani Mohamed de s'occuper de son île et de ses habitants au lieu de venir gloser à Paris et aux frais du contribuable sur des manifestations civilisationnelles qui lui sont étrangères.
17:06 Publié dans Faits et gestes...chiffres et paroles | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : france, mayotte, identité, civitas, mariage homo, ps
04 avril 2013
Les titres du Rivarol de la semaine !
14:11 Publié dans Information Culture | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : europe, france, politique, rivarol, identité, droite nationale
03 avril 2013
Allocations familiales : pour les familles françaises seulement !
Un communiqué du Parti de la France :
Jamais à court d'idées pour s'en prendre à la famille, voici que nos gouvernants, par l'intermédiaire du rapport Fragonard, envisagent de conditionner les allocations familiales en fonction des ressources des ménages. Alors que cette aide, destinée à favoriser la natalité, était jusqu'ici distribuée de manière égalitaire, la gauche souhaite, sous prétexte d'équité et d'économie, en priver les familles les plus riches ou désignées comme telles.
Le Parti de la France s'oppose radicalement à cette nouvelle attaque contre les familles françaises. Alors que la natalité des Français d’origine française est en chute libre (les chiffres officiels de la démographie étant faussés par la fécondité des femmes étrangères d'origine extra-européenne) c'est au contraire une politique nataliste volontaire et ambitieuse qu'il faut mettre en place.
La politique familiale française devrait être au service exclusif de la natalité française. Ainsi, la manière la plus efficace de faire des économies dans ce domaine serait d’instaurer le patriotisme familial en réservant exclusivement les allocations familiales aux familles françaises. Cette mesure aurait de plus un effet dissuasif contre l'immigration de peuplement.
La colonisation migratoire coûte à la France entre 100 et 200 millions d’euros par jour. Il faut en finir avec les pompes aspirantes de l'immigration et rendre la France aux Français en mettant fin à la substitution du peuple français par des populations déracinées, inassimilables, souvent islamisées et hostiles au pays d'accueil. Après la loi Taubira sur le mariage homosexuel et l’adoption d’enfants par des couples homosexuels, la gauche socialiste montre à nouveau clairement le caractère anti-familial de sa politique.
( dessin de CHARD )
13:29 Publié dans France | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : france, identité, droite nationale, pdf, famille, allocations familiales
31 mars 2013
Ostara : le bonne déesse de Pâques !
Au IXe siècle et en cette période de l'année, les Saxons christianisés de vive force par Charlemagne continuaient à prier leur ancestrale déesse du printemps en ayant soin de lui associer quelques vénérables personnages sanctifiés par l'Eglise Romaine : " Ostara, Ostara, Terre-Mère, accorde à ce champ de croître et de prospérer, de fleurir, de porter des fruits, protège-le, que la terre repose et qu'elle elle soit féconde, comme les saints qui sont dans les cieux " ( invocation citée par notre camarade et ami Pierre Vial dans son excellent ouvrage "Fêtes païenne des quatre saisons"
Un exemple parfait pour démontrer que nous européns sommes d'un âge immense et que le christianisme "barbarisé", adapté à la sensibilité religieuse de nos lointains aïeux indo-européens, est venu naturellement se couler dans la millénaire civilisation dont nous sommes aujourd'hui les dépositaires. Comme tant d'autres personnages du fourmillement mythologique du paganisme européen, l'ancestrale déesse germanique du printemps et de l' aurore a été récupérée par une Eglise qui, pour s'implanter et perdurer, s'est acharnée à trouver un sens chrétien aux coutumes et aux rites païens enracinées dans une mémoire plusieurs fois millénaire. Et c' est ainsi que les fêtes chrétiennes de Pâques se substitueront progressivement aux antiques festivités printanières liées - chez les germains, comme chez les celtes, les italiotes, les grecs, les scythes, les slaves, les baltes, les iraniens, les indiens aryas - partout en Europe au cycle végétatif et au cycle solaire, fêtes joyeuses de l' éternel retour de la vie symbolisé par les jeunes pousses, le lait nouveau, le lièvre, le bouc, l'hirondelle ou l'oeuf.
La bonne déesse Ostara perdure dans les chrétiennes Pâques, le ''gâteau du soleil" se retrouve dans le "pain pascal", les acclamations aurorales au Sol Invictus brillent dans les flammes des cierges de Pâques. La christianisation de l'Europe ne fut pas rupture civilisationnelle profonde mais continuité enrichie et la même ferveur animaient sans doute les constructeur du Parthénon et les bâtisseurs des cathédrales. Nos traditions chrétiennes contiennent beaucoup de nos antiquités païennes, les unes et les autres ressortent d'une même infrastructure mentale issue du fond des âges, révélatrice d'une civilisation unique dont nous sommes dépositaires et qui fait que nous sommes aujourd'hui plus proches de ces cavaliers conquérants du IIIe millénaire dont les dieux allaient par trois, ancêtres de tous les peuples européens, que de n'importe lequel de nos contemporains exotiques administrativement et fallacieusement européanisé.
La longue lignée de nos aïeux ne doit pas être rompue, luttons à préserver notre Identité et notre unicité civilisationnelle ! Joyeuses fêtes du renouveau à tous !
17:17 Publié dans L' Histoire à l'endroit | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : europe, identité, civilisation européenne, paganisme, christianisme, pâques
13 mars 2013
Charles Aznavour : une certaine idée de l'immigration !
par Adrien Abauzit sur Boulevard Voltaire
Interrogé par Marc-Olivier Fogiel le 28 février 2013 au micro de RTL, Charles Aznavour a profité de l’occasion pour délivrer le fond de sa pensée sur l’immigration : « Je suis devenu français d’abord dans ma tête, dans mon cœur, dans ma manière d’être, dans ma langue. Je suis devenu français. C’est-à-dire que j’ai abandonné une grande partie de mon arménité pour être français. » Puis, a-t-il ajouté : « Il faut le faire ou il faut partir. »
Charles Aznavour ne dit pas qu’il faut aimer la France ou la quitter. Charles Aznavour dit mieux : il faut la ressentir dans toutes les fibres de son être ou alors la quitter, discours que le FN lui-même n’ose plus tenir du fait de l’orwellisation de la France. Charles Aznavour voit juste. La réalité de l’immigration en France est la suivante : D’un côté, des Français d’origine immigrée qui sont de véritables chances pour la France. Parfaitement acculturés, parfaitement fondus dans les traditions, les mœurs et les codes sociaux français, ils sont parfois même bien plus patriotes que les bobos de souche des Inrocks ou les têtes à claque du Mouvement des Jeunes Socialistes (MJS). Et de l’autre côté, des individus haineux pour qui la France est un objet de ressentiment, un pays de gwers, de babtous et de boloss, voué à être pillé et contre-colonisé pour expier son passé.
Si, dans le passé, l’immigration a pu être une chance pour la France, elle est aujourd’hui pour elle une catastrophe, la menant droit à la guerre civile (tradition nationale). Certains parlent de France « remplacée ». Il y a du vrai. Mais le terme de « kosovarisée » nous paraît plus juste, car il sous-entend que le choc entre les codes sociaux des Français de souche et ceux des immigrés non acculturés puisse se terminer en un violent conflit qui ne déplairait pas à une oligarchie soucieuse de détourner d’elle la colère populaire.
Cette vérité crève les yeux. Nul besoin de sondage, de chiffre ou d’enquête bidon menée par un sociologue du CNRS payé pour nous dire que la réalité n’est pas la réalité. Il suffit de voir et d’écouter. La France marche sur un volcan. Et elle n’échappera à l’éruption que si l’immigration est immédiatement stoppée et si ceux qui sont hostiles à notre pays sont arraisonnés, pour ne pas dire mis hors d’état de nuire. Évidemment, tout ceci n’est que fiction pour nos classes politiques et médiatiques, qui, prises de panique, préfèrent se réfugier dans un déni de réalité suicidaire.
L’auteur de ces lignes n’est pas naïf. Il sait que, pour ce texte, il sera insulté et diffamé. Il sait très bien que des bobos complètement ringards, complètement vierges de la souffrance que partagent des millions de Français, viendront, pour plastronner et ainsi combler leur déficit de virilité, l’accuser de fascisme, de racisme et autres joyeusetés. Mais au point où il en est, où la France en est, l’auteur de ces lignes n’en a cure (pour rester poli). Et puis qu’a-t-il à craindre si ce n’est être mis dans le même sac que Charles Aznavour ?
09:26 Publié dans Faits et gestes...chiffres et paroles | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : europe, france, identité, immigration, islamisation, charles aznavour