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11 avril 2013

Fermeture du Musée du Louvre...à cause de la délinquance étrangère !

par Denis Cheyrouze sur Boulevard Voltaire

Aujourd’hui, dans l’indifférence la plus totale, l’un des derniers atouts de la France dans le monde a été fermé. Aujourd’hui, suite à un mouvement de grève du personnel, exaspéré, le musée du Louvre a dû rester portes closes.Aujourd’hui, pour la première fois de ma vie, je me sens solidaire du syndicat SUD qui, s’il ne dit pas le nom du problème, ose quand même lever un voile et crie « ça suffit ! »

france,criminalité,délinquance,insécurité,immigration,romsAu Louvre — dont l’entrée est gratuite pour les mineurs et pour les jeunes de 18 à 25 ans résidant dans l’un des pays de l’Espace économique européen (dont la Roumanie, donc…) — les pickpockets font rage. Et c’est devenu une telle plaie que les personnels indiquent venir travailler « la peur au ventre ». Et puisque les contrevenants sont mineurs, ils sont relâchés et remis dans la nature (et de retour au Louvre) le lendemain de leur(s) arrestation(s)…Que ce soit bien clair : fermer le Louvre n’est pas la solution. Ce n’est pas une solution acceptable par le peuple de France.

Notre pays se retrouve entre le marteau de l’invasion barbare et l’enclume de l’internationalisme béat. Or, je ne connais qu’une solution lorsque la pression devient trop importante de l’extérieur et que l’intérieur n’est fait que de trahisons et de lâchetés : l’explosion. Seule l’explosion citoyenne, populaire, garantit une redistribution complète des cartes. Seule l’explosion permettra de mettre à bas pour des décennies ces générations de collabos qui tiennent la France depuis 40 ans.

Deux France se haïssent : la collaborationniste internationaliste anti-souverainiste, celle de Hollande qui disait que le rôle de la France n’est « pas de protéger uniquement ses citoyens »… et la France éternelle, le pays réel, celui qui travaille et paie ses impôts qui sont ensuite dilapidés pour l’autre France, au bénéfice de nos ennemis les plus féroces.

Il ne faut pas se tromper, l’ennemi n’est pas le pickpocket venu de Craiova en Roumanie. L’ennemi — mortel — est celui, bien français, probablement même major de l’ENA, qui, détenant les clefs, ouvre grand les portes. C’est cet ennemi-là dont il faut se défaire. Et sans attendre.Mais que le pickpocket de Craiova sache aussi que s’il ose approcher la main de ma poche, je ne me laisserai pas faire…

Au Louvre, comme à Bordeaux, c’est à nous de nous protéger, puisque l’État y a failli. Aux armes, citoyens !

 

10 novembre 2012

Villeneuve d'Ascq : 350 nomades, des citoyens excédés et un maire inquiet pour la paix civile !


Dans un courrier au ministre de l'intérieur rendu publique hier 9 novembre ( Nord-Eclair-FR3 Lille)Gérard Caudron, le maire (divers gauche) de Villeneuve d'Ascq s'est fait le porte-parole de ses administrés excédés par la présence de près de 350 "roms" sur le territoire de la commune. Une tribu nomade installée en toute illégalité à proximité de la cité universitaire de Lille UN où se multiplient les incidents avec les étudiants et les habitants des quartiers du Triolo et de la Haute Borne régulièrement en proie aux agressions, vols et tentatives de vol, et littéralement harcelés par la mendicité agressive des femmes roms et de leur progéniture.

Le maire n'a pas mâché ses mots - il est vrai que les municipales approchent à grands pas - évoquant une situaton insupportable où 350 roms pourrissent la vie du monde universitaire et des riverains, allant jusqu'à parler d'une population qui n'en peut plus (...)d'un climat de guerre civile et demandant instamment à Vals de faire procéder à l'évacuation du campement par crainte de graves débordements : "Si ça continue comme ça, ce qui s'est passé à Hellemmes entre les habitants et leur maire, ce sera de la rigolade. On va finir par avoir des blessés, voire pire. Je préfère une évacuation à une bataille rangée ou une guerre civile, et je pèse mes mots".

résistance sangliers.gifDe fait, nos malheureux compatriotes à qui - au nom de principes fumeux défendus par les bobos des beaux quartiers préservés - on impose la promiscuité avec des tribus nomades commencent à comprendre qu'ils ne peuvent plus compter que sur eux-mêmes pour avoir la paix et la sécurité. Ils sont passés de l'apathie respectueuse à la protestation véhémente et virile - comme dernièrement à Hellemmes - et on peut penser que bientôt ils en viendront à faire le ménage eux-mêmes.

Il est de plus en plus évident que les gaulois ne vont plus longtemps continuer sans réagir à laisser les politiciens les mener droit dans le mur par bout du nez, qu'ils vont se regrouper, faire face et charger !

06 octobre 2012

Amiens : les nationalistes interdits de séjour par le Préfet !

 

 

Estrees-31-mars-2010-a.jpgSite de Thomas Joly cliquez ici

Par arrêté préfectoral en date du 5 octobre, M. Jean-François Cordet, préfet de la Somme et de la région Picardie, interdit à Thomas Joly, Yvan Bénédetti et Alexandre Gabriac de venir à la rencontre des Français abandonnés des quartiers nord d'Amiens pour des motifs absolument hallucinants sur lesquels nous reviendrons bientôt.

Il semble donc que les autorités publiques font le choix délibéré de protéger la racaille étrangère qui fait régner la terreur à Amiens-Nord et d'abandonner à leur sort les Français qui tentent de survivre dans ces quartiers colonisés, islamisés et ravagés par la délinquance et la criminalité.

Le déjeuner nationaliste dans un restaurant proche d'Amiens est bien sûr maintenu et n'entre évidemment pas dans le cadre de cette interdiction inique digne des pires heures du soviétisme liberticide.

 

Grenoble : Papa Hollande est allé se montrer à ses petits "jeunes" !

france,identité,immigration,insécurité,françois hollande,laxismeLundi dernier, par le plus grand des hasards juste avant l'ouverture des journaux télévisés : François Hollande et Manuel "Kippa" Valls, au milieu d'une foultitude de caméras et de micros et couverts par un imposant cortège policier, se sont fort courageusement hasardés aux abords d'un de ces "quartiers sensibles" qu'ils ne connaissent que par ouïe-dire. Un peu comme Sarközy pérorant sur la dalle d'Argenteuil ou à La Courneuve, juste pour s'affirmer concerné par les problèmes d'insécurité. Mais pas question de donner dans le style épurateur au kärcher, Roudoudou lui serait plutôt du genre à gronder gentiment et à passer timidement la serpillère pour ne pas effaroucher les petits "jeunes" déjà tellement stigmatisés par ces gaulois incurablement racistes.

Et d'ailleurs Manuel"Kippa" l'a dit dans le poste : François Hollande est allé là-bas comme un père (...) pour apaiser, rassembler, bref pour se présenter aux racailles comme un papa compréhensif mais capable quand même de faire preuve de fermeté : gare à ceux qui ne comprendraient pas que notre société a besoin de répères, de règles, d'interdits...Papa Hollande incarne l'autorité a même osé dire le Tartarin de l'Intérieur : message sans doute reçu cinq sur cinq par les racailles allogènes suburbains entre deux éclats de rire en s'entendant menacés d'aller au coin ou de se voir retirer une image, car il n'est évidemment pas même question du martinet. 

Ridicule platitude, pitoyable pantalonnade, atterrante démonstration indigne du chef d'Etat d'un pays confronté à une vague d'insécurité générale sans précédent et où, derrière la multiplication des affrontements communautaires, pointent les prémisses de la guerre civile. Nouvelle démonstration, si besoin était, que pour leur sécurité, leur survie, les Gaulois n'ont rien à attendre du minus habens élyséen, de sa cour et de ses valets. Rassemblement ! Résistance ! Reconquête !       

    

13 septembre 2012

Poitiers: la prof, le cancre et la mère d'icelui !

Une  fort insouciante ou trop téméraire enseignante d'Histoire-Géographie d'un collège poitevin avait osé mentionner des manquements style travail non fait ou oubli des livres et cahiers sur le carnet de correspondance d'un de ses élèves de 4e. Las ! Elle a ipso facto  été agressée au sein même de l'Etablissement par la mère du nonchalent, une virago colérique qui n'a pas apprécié que son petit riri ait fait l'objet d'une note fort désobligenate à ses yeux et qui - plutôt que de fesser sa paresseuse progéniture - a jugé préférable d'assaillir la malheureuse enseignante à grand renfort de gifles et de coups de pied. 

Signe des temps, les collègues de la victime en ont profité pour se mettre immédiatement en grève et réclamer des renforts de surveillants ! Qu'ils patientent, les cours de citoyenneté vont bientôt irradier l'angélisme jusqu' aux parents irrascibles par élèves interposés. 

source: le blog des rivaroliens