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18 septembre 2013

Demain jeudi 19 septembre : le 3018e Rivarol !

 

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Rivarol, l'hebdomadaire de la Résistance ! Editorial, billet, sommaire et abonnement ICI

17 septembre 2013

Manuel Gaz Valls travaille au changement de peuple !

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Les clandestins allogènes montrent qu'ils ont bien compris ce qu'ils pouvaient espérer de Manuel Gaz ! Et tout ce beau monde pourra bénéficier des instructions que le gandin a donné aux Préfets qui doivent désormais faciliter les naturalisations d'étrangers, des naturalisations que le naturalisé veut porter au moins à 100000 par an.

Cent milles naturalisations, c'est quasiment cent milles familles allogènes de plus : le clandestins régularisés puis nantis de la carte plasitifiée qui en font des "français" s'empresseront de faire venir femmes et enfants dont ils accroisseront le nombre allègrement dans une France si généreuse en allocations de tous ordres. La circulaire de Manuel Gaz est ainsi un petit coup de pouce de plus à la politique de changement de peuple en Europe édictée par le Nouvel Ordre Mondial et dont le gouvernement écolo-socialiste français est un serviteur zélé.

Le mot "peuple" lui-même devrait sans doute être banni de notre vocabulaire au même titre que le mot race, tant il a des connotations ethniques: le latin "populus" entendant une communauté unie par son origine, ses coutumes et sa culture. Sur France Inter hier, encouragé par les glapissements quasi énamourés de l'animateur, une sorte de socio-politologue a pu prétendre que la dédiabolisation voulue par Marine Le Pen ne serait crédible que si pour le moins elle cessait de faire référence au "peuple" français...sans doute pour le remplacer par le mot "population" qui de fait peut englober n'importe qui n'importe où (on ne peut guère parler de peuple mondial ou de peuple pluri-ethnique) Une anecdote qui illustre bien l'erreur politique fondamentale de l'héritière de Jean-Marie Le Pen: son entreprise de dédiabolisation est vouée à l'échec car plus elle fait de concessions au Système, plus on le lui en demandera, jusqu'à ce que son parti se dissolve dedans (comme il a commencé à le faire)

La résistance nationale, identitaire et solidariste ne peut reposer que sur notre peuple au sens éthymologique du terme, en aucun cas sur une population hétérogène dont les us et coutumes et/ou la Foi sont aux antipodes de notre millénaire civilisation européenne. Rassemblement Résistance Reconquête!

11 septembre 2013

La manifestation du 14 septembre est interdite : une décision politique de Manuel Gaz Valls !

france,liberté,dictature,ps,résistance,reconquêteAinsi donc le Préfet de Police de Paris envisage d'interdire la grande manifestation prévue ce prochain samedi à Paris pour la défense des libertés publiques et le soutien à nos camarades emprisonnés et notamment Esteban Morillo, coupable de s'être défendu contre un agresseur gauchiste, un bobo gringalet qui pétait plus haut que son cul. Il paraît même que cette manifestation risquer de heurter la sensibilité humaniste des anti-fascistes dont on sait qu'il n'ont recours aux dégradations, aux incendies, aux pillages, à la bastonnade et à la frénésie du cutter que pour défendre la démocratie et les droits de l'homme, allogène de préférence.

Ne nous y trompons pas. D'abord, la ficelle de risques de troubles à l'ordre public est aussi grosse que celle des armes de destruction massive irakiennes ou le recours au gaz sarin par les loyalistes syriens. Et puis, le Préfet de Police de Paris n'envisage pas, ne décide pas : il obeit aux ordres de son ministre; un haut fonctionnaire n'est qu'un rond de cuir mieux payé que les autres certes mais pas plus payé pour penser que les préposés aux photocopies des sous-préfectures. Cette décision n'a rien à voir avec la sécurité et la tranquillité des parisiens; c'est une décision politique prise par Manuel Gaz Valls, marionnette des lobbies du Nouvel Ordre Mondial pour qui tout ce qui de près ou de loin relève du patriotisme, du nationalisme, de l'identitaire ou du solidarisme est voué à être combattu, villipendé, interdit, réprimé...et même gazé comme on a pu le voir faire sur des femmes et des enfants lors des manifestations contre le mariage homo. 

Le combat bien sûr continue, il doit s'étendre à tous les domaines, se radicaliser et entraîner par l'exemple nos comatriotes et congénères anesthésiés ou nos camarades découragés. Les coups qui nous sont portés ne feront que renforcer notre détermination : qu'avons nous de plus à perdre quand notre identité même est menacée? Contre la dictature qui veut faire de nous un peuple en voie de disparition, tout est bon, tout se justifie et la résistance n'est plus seulement un droit, c'est un devoir. Serviteur d'un Système déconsidéré, le pouvoir écolo-socialiste a peur, il a la peur de la bête blessée qui cherche à mordre une dernière fois. A nous de l'achever...même par les moyens légaux! Rassemblement ! Résistance! Reconquête !

10 septembre 2013

Manifestation pour la défense des libertés publiques : une interdiction déguisée ?

france,ps,liberté,dictature,identité,résistanceUn communiqué du Collectif pour la Défense des Libertés Publiques :

Il y a 20 jours, le collectif de défense des libertés publiques annonçait son intention de manifester à la préfecture de Paris.

Il y a 12 jours, la manifestation a été officiellement déposée, avec un trajet et des horaires clairement définis.

Depuis, aucune information, aucun contact n’a été pris par la préfecture de police, avec les organisateurs de la manifestation. Etrange pour une administration en charge du bon déroulement des manifestations sur la voix publique. Etrange pour une administration qui accepte rapidement et simplement, ici des manifestations de soutien aux rebelles syriens, là des manifestations pro-kurdes, pro-turques, pro-ivoiriennes ou pro-clandestins.

Aujourd'hui, à 14h00, un délégué de la manifestation s'est rendu en préfecture pour demander des nouvelles... la réponse n'a pas tardé : le préfet réfléchit encore, et une réponse sera communiquée jeudi, soit 2 jours avant la manifestation. Dans quel pays sommes-nous donc ? Dans quelle république bananière ou soviétique sommes-nous pour qu'un Etat se donne le droit d'autoriser ou d'interdire une manifestation nationale, annoncée puis déclarée de longue date, 48 heures avant la tenue de cette dernière ?

Le thème de la manifestation "pour la défense des libertés publiques et pour la libération des prisonniers politiques" avait été bien choisi. Aujourd'hui en France, l'Etat de droit n'existe plus, les libertés sont bafouées. L'organisation d'une manifestation nationale de cette ampleur, avec des bus partants de toute la France, avec des individus venant en train, en voiture, ne peut pas voir son sort décidé à 48 heures de l'échéance

Nous avons des règles de sécurité à respecter, une logistique à mettre en place et la préfecture sait bien qu'il est impossible, en 48 heures, d'optimiser cela. C'est pourquoi, si Mercredi 11 septembre, à 9h00, nous n'avons reçu aucune réponse de Monsieur le préfet (qui jusqu'à présent préfère se dédouaner derrière une énième contre-manifestation et des appels à la haine et à la violence de groupuscules d'extrême gauche clairement identifiés),  nous considèrerons que c'est une interdiction déguisée de la manifestation et nous en tirerons toutes les conséquences.

Nous demandons à toutes les organisations et aux participants à la manifestation de samedi 14 septembre de rester informés, à partir de mercredi, sur les évolutions concernant la manifestation.

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NON au changement de peuple et de civilisation !


europe,france,immigration,islamisation,identité,résistancepar Renaud Camus ( écrivain ) sur Boulevard Voltaire

Le changement de peuple implique le changement de civilisation. Croire qu’il puisse en aller autrement, que la France puisse être encore la France, l’Europe encore l’Europe, avec une autre population, c’est mépriser les peuples et les individus, réduits au statut d’hommes et de femmes remplaçables, interchangeables, délocalisables à merci.

Ce que j’appelle le Grand Remplacement est à la fois la plus grave crise de notre histoire et le problème le plus sévère que nous devions affronter aujourd’hui. Non seulement toutes les autres épreuves que nous rencontrons, si douloureuses qu’elles puissent être, sont secondaires comparées à celle-là, mais elles n’en sont le plus souvent qu’un contrecoup. Insécurité, dureté croissante des rapports sociaux et de voisinage, violence à l’école, violence à l’hôpital, violence au fin fond des campagnes, hyperviolence, décivilisation, réensauvagement de l’espèce, effondrement du système scolaire, effondrement des comptes publics, crise du logement, surpopulation carcérale, détérioration du territoire, autant de problèmes majeurs qu’il est absurde de vouloir traiter ou seulement évoquer en faisant abstraction de ce qui les suscite ou, à tout le moins, suivant les cas, les aggrave terriblement : le changement de peuple et de civilisation.

Aussi bien notre pire ennemi est-il le mensonge, le silence imposé sur ce qui survient, cette façon qu’ont les deux pouvoirs, médiatique et politique, de faire comme si le Grand Remplacement et les désastres qu’il entraîne n’étaient pas l’évidence qui crève les yeux et les écrans. La première urgence est de rendre aux mots leur sens et aux Français la foi dans leur propre regard : le droit de constater par eux-mêmes ce qu’on leur interdit de nommer.

Nous ne sommes pas les forces du mal : ce n’est pas nous qui mettons le pays à feu et à sang. La morale est de notre côté dans ce combat parce que le monde qu’on nous impose est celui de la violence quotidienne, de l’hébétude généralisée et du malheur. Pour l’imposer, nos adversaires ne cessent de mentir, et d’abord par omission, sur les causes comme sur les faits.  Or il n’y a pas de vertu sans vérité.

Ce monde sinistre du tous contre tous, il faut lui dire NON de toute urgence : NON au changement de peuple, NON au Grand Remplacement, NON à la poursuite de l’immigration, NON aux naturalisations de masse, NON à la déculturation, NON à l’islamisation, NON à l’effacement de la France et de sa culture. Il ne faut pas seulement le refuser de toutes nos forces, il faut en renverser le cours.