Education "nationale" : un livre d'Histoire franco-africain dans les collèges ?

Dans un rapport sur les "années collèges" dans les quartiers dit "sensibles" - c'est à dire dans les zones occupées par l'immigration allogène - la sénatrice UMP, et ancien maire de Strasbourg, Fabienne Keller n'a rien trouvé de mieux que de proposer la création d'un manuel d'Histoire "franco-africain" : un ouvrage qui devrait servir de référence dans tous les collèges de France et de Navarre et dont le succès est d'avance avéré, a t-elle expliqué sans rire, en se basant sur celui rencontré par un manuel d'Histoire franco-allemand à destination de la Terminale !

L'initiative a suscité de nombreuse et fort justifiées réactions indignées dans le camp national et identitaire, dont celle de Robert Spieler - délégué général de la Nouvelle Droite Populaire - qui a été répercutée sur de nombreux sites dont celui de Synthèse Nationale ( à lire ICI ) 

Il nous a semblé intéressant de publier la réaction d' Alsace d'Abord ( mouvement politique régionaliste, européen et identitaire d'Alsace d'ailleurs fondé par Robert Spieler qui en fut le président ) :

 

" La sénatrice UMP du Bas-Rhin Fabienne Keller n’a rien trouvé de mieux que d’annoncer au journal bien nommé "Le Parisien" qu’elle souhaitait, au terme d’une mission sur les 10-15 ans dans les cités, proposer la rédaction d’un livre d’histoire franco-africain pour lutter contre la négation de l’identité des jeunes issus de l’immigration.

Pour le mouvement régionaliste Alsace d’Abord, la Sénatrice, au travers de ce livre, contribuera seulement à faire le lit des conflits communautaires de demain, comme elle le fit en autorisant la construction de la grande mosquée de Strasbourg, qui sera achevée, minaret compris, par la municipalité socialiste qui l’a lourdement battue lors des dernières élections municipales.

Alsace d’Abord profite néanmoins de l’idée de la Sénatrice pour lui souffler l’idée d’un livre d’histoire franco-alsacien, afin que l’on mette au grand jour, enfin, l’histoire vraie de l’Alsace, celle de son abandon par les élites et celle du mépris dont elle fit les frais de la part de l’intelligentsia parisienne."

Dont acte !