Indochine: la réalité des camps d'extermination du Viêt-Minh!

Le numéro de mai 2014 du  "La Voix du Combattant" (mensuel de l'Union Nationale des Combattants) consacre un dossier au martyre des "prisonniers de l'enfer" en hommage aux soldats et officiers de l'armée française prisonniers de guerre du Viêt-Minh après Dien Bien Phu.

Dans l'éditorial du mensuel, on peut lire ces mots fort courageux en ces temps d'Histoire revisitée par le politiquement correct à la mode et d'indignation à géométrie variable où il est des victimes plus victimes que d'autres, des bourreaux moins bourreaux que certains, voire des exterminés qui méritaient de l'être et des exterminateurs élevés au rang d'épurateurs nécessaires:

" Son regard illustre  lui seul la dimension tragique de la guerre d'Indochine (...) il y a le regard mais il y a surtout la posture de cet officier supérieur, acteur avec ses hommes d'une résistance héroïque dans le camp retranché, qui a enduré mille souffrances physiques et morales en détention (...) à la lecture des témoignages de prisonniers rescapés de ces camps viets - dans lesquels le taux de mortalité était supérieur à celui enregistré dans les camps nazis pendant la seconde guerre mondiale (...) on ne peut s'empêcher de penser que les soldats français n'ont pas toujours eu les politiques que leur courage et leur fidélité méritaient."  CQFD

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Dien Bien Phu il y a 57 ans !

" On fait tout sauter. Adieu" : tel fut le dernier et pathétique message en provenance du camp retranché de Dien Bien Phu le 07 mai 1954 à 17h50!

Encerclées, pilonnées, assaillies de toutes parts, dépourvues de munitions, les dernières positions françaises sont tombées une à une après d'âpres combats, dans l'honneur, sans reddition ni drapeau blanc!

Les quelques 15000 soldats français ont pu tenir 56 jours face à cinq divisions vietminh, quelques 100000 hommes avec les supplétifs dont ils ont tué ou blessé plus du quart.

Tomberont au combat 1726 officiers et soldats. Les 10863 prisonniers (dont plus de 3500 blessés) seront conduits à marche forcée vers l'enfer des camps de concentration communistes : des camps de la mort d' où - après 4 mois de famine et de déshydratation planifiées, de manque d'hygiène et de soins, d'humiliations, de brutalités et de "rééducation" ( lavages de cerveau conduits par des collabos communistes "français" comme l'ignoble Boudarel ) - ne reviendront que 3290 véritables morts-vivants !

 

Combattants, héros, martyrs ! Tous ont mérité de rester dans nos mémoires, comme autant d'exemples de l'héroïsme, du sacrifice et de l'honneur !

MP. D