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24 octobre 2012

Santé publique : les délires de la Marisol !

 

Ouverture de salles de shoot ! Et pourquoi pas des salles de tournantes ?  par Thomas Joly

De manière paradoxale (mais finalement pas tant que ça), notre Ministre socialiste de la Santé est une partisane acharnée de la culture de mort. Outre l'encouragement et le remboursement intégral de la contraception et de l'IVG, la prochaine légalisation de l'euthanasie pour liquider nos anciens qui coûtent trop cher à la sécu et à leurs familles, Marisol Touraine a comme chantier prioritaire l'ouverture de salles de shoot (comprendre : de consommation de drogues) dans plusieurs villes françaises avant la fin de l'année 2012. Ces salles permettront aux toxicomanes de consommer leurs propres produits dans de bonnes conditions d'hygiène et sous supervision de personnels de santé. On ne sait pas encore qui sera responsable en cas d'overdose dans ces locaux publics ou bien des agressions commises par des camés qui en sortiront complètement défoncés mais bon, l'important est qu'ils puissent se piquer en toute dignité et en toute sécurité non ?

france,société,santé,ps,drogue,résistanceMais pourquoi s'arrêter là Marisol (de l'hébreu : celle qui élève) ? A quand des salles de tournantes ? En effet, pourquoi les viols collectifs devraient se poursuivre dans des caves sordides aux conditions d'hygiène déplorables ? Les salles de tournantes permettraient aux participants de cette activité ludique de notre temps - quasiment tolérée par nos magistrats - de se dérouler dans un endroit propre avec du personnel de santé qui distribuerait des préservatifs aux garçons et informerait les filles des dangers de tomber enceinte ou d'attraper une MST pendant les rapports.

Cette comparaison peut prêter à sourire mais en sommes-nous vraiment loin ? A l'heure où des parodies de mariage entre invertis risquent de bientôt avoir lieu dans les mairies françaises, où ces mêmes individus aux moeurs contre-nature pourront sans doute adopter des enfants, où les drogués vont voir leur déchéance encadrée par l'État, serions-nous si étonnés que cela que nos gouvernants poursuivent leur surenchère dans leurs aberrations