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04 août 2006

Natalité: les interdits

medium_bebe28ey.2.jpg   Dans son numéro de fin juin dernier ( 1144 ) National-Hebdo s'est fait l'écho de chiffres très révélateurs librement publiés en Espagne et concernant la natalité dans le royaume ibérique. 

   Il en ressortait qu'en 2005, le taux de natalité était resté un des plus bas d'Europe même s'il progressait très légèrement mais surtout que si le nombre des naissances " de souche " augmentaient de 0,95%, celles des enfants d' immigrés ( exclusivement ou presque extra-européens ) connaissaient une envolée de 11,70%! Ce qui revient à dire, que si cet état de fait perdure, à terme l'Espagne aura subi une totale substitution de population, et que sa civilisation indigène millénaire disparaitra totalement.

     Au moins les espagnols sont-ils avertis du danger; en France la dictature de la police de la pensée interdit toute publication de chiffres " politiquement incorrects " touchant à la natalité. Il faut se contenter d' indices fragmentaires qui parfois se révèlent incidemment: ainsi, dans le 9-3 le prénom le plus couramment attribué aux nouveaux-nés masculins en 2005 a été Mohamed ( in Encyclopédie des prénoms de M.O Mergnac / sur www.notrefamille.com ); de temps à autres aussi des articles de presse laissent échapper des indications: la mairie communiste de Champs-sur-Marne ( Seine et Marne ) par exemple s'est emue du sort d'une famille malienne " un père, ses trois épouses et leurs dix-sept enfants " et celle des Mureaux ( Yvelines ) de celui de " 80 familles africaines totalisant près de 1000 enfants "

     Il faudrait être totalement aveugle pour ne pas avoir la certitude qu' en France le constat interdit serait au moins identique à celui qui est autorisé chez nos voisins d'outre pyrénées. C'est bien évidemment pour des raisons politiques que les statistiques de ce genre ne sont pas tenues ou plutôt qu'elles ne sont pas publiées. En 2005, le taux de fécondité moyen des femmes françaises a été officiellement de 1,94 ( le 2e d'Europe après l'Irlande ); à en croire des estimations officieuses, il serait très inégal: 1,7 pour les femmes de souche européenne, 3,25 chez les femmes maghrébines et jusqu'à 4,02 pour les africaines sub-sahariennes. ( in Polémia: www.polemia.com ) Par ailleurs, pour des raisons culturelles et religieuses, les immigrées extra-européennes ont très peu recours à l'avortement et ne fournissent qu'une part infime des quelques 200 à 220.000 " déchets hospitaliers " envoyés chaque année à l'incinérateur depuis 30 ans.

     Il suffit donc de savoir compter pour comprendre que la France aussi est en train de subir une lente mais sûre substitution de population qui ne peut être stoppée qu'avec l'arrêt de l'immigration allogène et un encouragement de la natalité indigène. A moins d'être un tenant de la fin des peuples et du brassage universel, c 'est une question essentielle de volonté politique...ce n'est pas à l'ordre du jour de Nicolas Sarkozy et de son projet de " France d'après la France " Il faudra s'en souvenir dans quelques mois.               YD          ( photo in Novopress )