08 novembre 2009
Marseille, la Grande Mosquée et les dhimmis
Depuis la taxation des latrines publiques par l' empereur romain Vespasien, et son célèbre " non olet " ( il ne sent pas ), on dit que l' argent n' a pas d' odeur. C' est probablement ce qui a justifié nombre de reniements et de collaborations innomables.
C' est ainsi qu' hier, un maître hongrois - transfuge recruté à prix d' or - nommé Orban ( ou Orbain ) accepta de diriger les ateliers d' Andrinople, où en 1453, furent forgés les énormes canons ( dont une pièce d' artillerie surnommée ironiquement "La Basilique" capable de projeter des boulets d' une taille monstrueuse ) qui allaient battre les murailles de Constantinople et terroriser la population durant des mois, contribuant ainsi à la prise de la ville par les Turcs.
C' est ainsi qu' aujourd 'hui, un cabinet français dirigé par un nommé Maxime Repeaux ( le BAM : Bureau Architecture Méditerranée ) est devenu l' architecte de la Grande Mosquée de Marseille. L' énorme édifice, dont le permis de construire vient d' être officiellement délivré par Jean-Claude Gaudin, l' édile tombé en dhimmiture, devrait s' élever ( sauf succès des recours déposés devant les Tribunaux par le MNR et la Ligue du Sud ) au milieu d' un ensemble de bâtiments sur 8600 m² comme - après celui de Cologne - le nouveau symbole orgueuilleux de l' islamisation progressive de nos terres d' Europe.
Vespasien avait bien raison, pour certains, de l' argent n' émane aucune odeur...pas même celle de la trahison.
Yves Darchicourt
à lire sur Novopress : http://fr.novopress.info/37725/il-veut-construire-la-gran...
12:48 Publié dans Faits et gestes...chiffres et paroles | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : politique, histoire, identité, islam, marseille, constantinople
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