Rosarno en Calabre : un sursaut populaire et identitaire

Il fallait s' y attendre ! Tout vient peut-être de commencer en Italie du Sud où l' immigration africaine, d' ailleurs essentiellement clandestine, vient de se heurter violemment au raz le bol des indigènes.

Les calabrais subissent de plein fouet les ravages du mondialisme et du libéralisme économique effréné lequel expose les exploitants agricoles à la concurence sauvage des pays "émergents" et à la pression intolérable de la grande distribution apatride qui achète leurs produits à vil prix, d' où la tentation de tirer les salaires des ouvriers agricoles vers le bas au maximum notamment par le recours à de la main d' oeuvre exotique, abondamment disponible dans une Union Européenne contaminée par l' utopie du brassage généralisé des peuples.

Mal payés, ils le sont certes ces immigrés africains - dont la présence a jeté des milliers de familles d' ouvriers agricoles calabrais dans la misère - mais sans doute beaucoup mieux que dans leurs pays d' origine. Arrogants, ils le sont devenus, confortés par les discours des associations immigrationistes qui leur ont répété qu' ils étaient "chez eux" en Calabre comme partout ailleurs en Europe. Un discours qu' ils ont fait leur au point de se permettre de déferler en horde hurlante dans la petite ville de Rosarno sous le prétexte fallacieux de "racisme" à leur encontre et de s' en prendre aux biens et aux personnes, aux femmes et aux enfants surtout d' ailleurs.

Et bien les calabrais, qui n' entendent pas couber la tête, ont légitimement réagi fort virilement pour leur faire bien comprendre qu' ils n' étaient pas en pays conquis, et ce au point d' amener ces immigrés à quitter la ville en masse sous protection policière. Horreur chez nos bonnes consciences, la sauce "melting pot" ne prend pas en Calabre ! Elle ne prend nul part d' ailleurs et les citoyens de Rosarno viennent peut-être d' ouvrir le chemin de la Reconquête identitaire européenne.

Aide toi, le Ciel t' aidera ! Rassemblement - Résistance - Reconquête !

Yves Darchicourt