Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

10 mai 2013

Marseille : six racailles de moins depuis le début 2013 !

5760004-marseille-valls-denonce-un-neobanditisme-des-cites.jpgA Marseille, la truanderie continue de réduire ses effectifs ! C'est une pratique propre aux prédateurs que de maintenir leur nombre à un niveau raisonnable sur leur territoire pour continuer à y vivre dans des conditions acceptables. Ainsi depuis le début de l'année, six racailles "marseillaises" ont été farcies de plomb ( il y en a eu 24 en 2012); Iskander le dernier en date s'est allourdi de 23 balles de 9mm, trucidé proprement par des tueurs à moto, un modus operandi classique mais imparable, scène culte vue et revue dans nombre de polars. Inutile de préciser qu'Iskander était un "jeune", connu des services de police et membre d'un gang soupçonné d'avoir perpétré l'attaque d'une bijouterie le 30 mars dernier durant laquelle des coups de feux avaient été tirés sur la police. Une racaille donc, dessoudée par d'autres racailles, qui s'en plaint réellement ? Certainement pas les honnêtes citoyens, ni les policiers de terrain qui comptent les coups sans doute avec satisfaction.

Manuel Valls y est allé de ses rodomontades habituelles sans une fois de plus aller au fond des choses même s'il a osé évoquer un "néo-banditisme propre aux cités". L'augmentation des effectifs de police n'ont pas servi et ne serviront pas à grand'chose tant que les policiers n'auront pas consigne d'aller traquer la racaille là où elle se trouve, c'est à dire dans les enclaves exotiques des "quartiers nord" qui lui servent de base, de refuge, de zone de stockage, d'arsenal et de pouponnière. Présence policière et investissements massifs aux frais des contribuables sont aussi inutiles que coûteux dans ces "quartiers", peuplés qu'ils sont de surnuméraires allogènes qui entendent continuer à bien vivre des aides publiques et de la truanderie sans même envisager de devoir travailler. A Marseille, comme en tant d'autres villes françaises ceintes de banlieues criminogènes, ce n'est pas un Tartarin qu'il faut, c'est un Matamore (au sens ethymologique du terme) ou un flic à la Audiard n'hésitant pas à organiser la Saint-Barthélémy du mitan. En attendant, que les racailles s'entre-tuent, personne de sensé ne s'en plaindra !

Les commentaires sont fermés.