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28 mai 2014

Elections Européennes: l'abstention rafle la mise!

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20 pays sur 28 enregistrent un taux d'abstention supérieur à 50% : à ce niveau là ce n'est évidemment pas du je-m'en-foutisme mais bien le rejet fort et massif de l'Europe de Bruxelles - considérée au mieux comme inefficace ou inutile voire comme nocive - et qui ne mérite pas d' être réformée de l'intérieur ou plutôt qui ne peut plus l'être tant elle est infectée par les ambitions personnelles, la corruption, la soumission aux lobbies et aux principes délétères du mondialisme.

Même la Belgique et le Luxembourg, ou le vote est obligatoire recensent 10% d'abstentionnistes; au-delà, mis à part Malte (25,20% de boudeurs d'urnes), les citoyens ont largement choisis de ne pas aller honorer une Union déshonorée en sacrifiant au rituel du vote ( voir tableau )

Après avoir toussé un peu au vu de la poussée des "votes populistes" et l'entrée au Parlement Européen d'élus "d'extrème droite" - dont on sait bien d'ailleurs que pour une bonne part d'entre-eux la dédiabolisation par piqûre de politiquement correct est en bonne voie - l'Union Européenne bruxelloise va pouvoir continuer son train-train et nous vendre de l'Europe ressemblant à la terre de Lune que les bateleurs d'antan disaient semée de graines de chimères, garnie de plants d'illusions, nourrie de vergers d'espérances folles et rafraîchie de promesses en l'air.

Tout cela ne durera pas et le retour de bâton devrait être dur à tous ces politiciens qui parlent pour vivre à défaut de savoir ou de vouloir travailler. Car au-delà des utopies ronronnantes se profilent leurs conséquences aux relents d'apocalypse : l'invasion migratoire allogène et l'islamisation qui déboucheront inéluctablement sur la ruine économique, le désordre social, le chaos et la guerre civile. Et le sursaut salvateur devrait pouvoir venir de ces "abstentionnistes", immensément majoritaires, qui ont refusé de jouer avec des dés pipés: une mise en retrait qui par avance justifie les "jours de colère" à venir, l'insubordination et l'insurrection. On le sait bien, ce n'est pas avec des bulletins de vote que les collabos du "nouvel ordre mondial" seront mis à bas! Rassemblement Résistance Reconquête!

27 mai 2014

Europe de Bruxelles: les Français doivent pouvoir choisir d'y reste ou non!

1159573_4_bb01_l-ex-secretaire-general-du-front-national-ca.jpgCommuniqué de presse de Carl Lang président du Parti de la France

Le fantôme du Non du peuple français au référendum de 2005 sur le projet de Constitution européenne vient de sortir de sa boîte. En mai 2005, 54,7 % des Français refusaient la ratification d’une Constitution européenne et pourtant cette Constitution transformée pour l’occasion en Traité européen de Lisbonne se trouvait validée par le Parlement réuni en Congrès. Près de dix ans plus tard, la politique du mépris des peuples menée par la caste de Bruxelles et par les partis euro-fédéralistes vient d’être lourdement sanctionnée lors du scrutin européen d’hier.
Les dirigeants et fonctionnaires de l’Union européenne et la classe politique des partis de gouvernement en Europe n’ont pas vu venir le vote de colère et de rejet qui s’est exprimé hier dans les urnes.
En France, le ras-le-bol cumulé des échecs lamentables de la gauche, des divisions et des affaires de l’UMP ajoutés à l’inefficacité ou à la nocivité des politiques européennes ont fini par provoquer un immense écœurement de l’opinion, puis le rejet et la colère.
Le vote de rejet de l’Europe de Bruxelles et de ses politiques ainsi que le vote de colère contre les partis de gouvernement viennent de s’exprimer clairement, d’une part avec une abstention massive de près de 57% et d’autre part avec un cumul des voix anti européennes à près de 30% des suffrages exprimés.
Et maintenant, après le rejet, quel projet ?
Les Français souhaitent-ils jeter le bébé de l’idée européenne avec l’eau du bain de cette Union européenne là ? Personne, parmi les partis médiatiquement autorisés n’a défendu durant cette campagne le projet d’une grande Europe européenne des patries, des nations souveraines et des peuples libres, fière de son héritage historique, de ses frontières, de ses valeurs de civilisation, de ses racines chrétiennes, d’une Europe indépendante refusant la soumission au nouvel ordre mondial et refusant la destruction de ses identités culturelles et historiques par la politique criminelle de colonisation migratoire et islamiste. Une Europe matérialiste et nihiliste, sans identité et sans âme n’a en effet pas plus d’avenir que les nations et les peuples qui n’ont plus eux même ni mémoire, ni identité, ni fierté. Ajouter le néant historique au néant des valeurs ne constituera jamais une force.
Si le choix ne se résume plus qu’à un non choix entre l’Europe de Bruxelles et l’Europe de Bruxelles, alors, après le désastre électoral de son camp, le Président de la République se doit d’interroger le peuple français par référendum sur la question de savoir si la France doit ou non rester membre de l’Union Européenne. Les partis politiques et les citoyens assumeront ainsi clairement leurs choix et leurs responsabilités.

15 mai 2014

25 mai: laissons pourrir l'eurocratie!

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13 mai 2014

Elections Européennes: je suis européen, je vote blanc!

2460125276.jpgUn communiqué d'Alsace d'Abord :

Pour qui faut-il voter le 25 mai prochain ? Il est terriblement difficile pour ceux qui, comme nous, rêvent d’une Europe unie et puissante, sûre d’elle-même, de son identité et de son avenir, de choisir pour qui voter.

Le mode de scrutin, le périmètre des circonscriptions, l’articulation avec la désignation du président de la Commission européenne, tout cela est d’une telle complexité que les citoyens vont une fois de plus s’éloigner des urnes. Le Traité de Lisbonne n’a pratiquement rien changé à l’opacité des mécanismes.

Les groupes politiques du Parlement européen ont proposé leurs candidats à la succession de Barroso à la présidence de la Commission de Bruxelles. Il est attristant de constater que les cinq candidats sont tous, sans exception, favorables à l’entrée de la Turquie dans l’Union européenneJean-Claude Juncker, soutenu par l’UMP, Martin Schultz, candidat des socialistes, et Guy Verhofstadt, soutenu par l’UDI et le Modem, oeuvrent depuis des décennies au sein des institutions européennes en faveur de l’intégration de la Turquie. Nul ne pourra se déclarer surpris ou trompé. L’hypocrisie de l’UMP est à cet égard sans limite.

La question turque n’est certes pas la seule qui détermine l’avenir européen, mais elle est fondamentale car elle fonde la nature même de ce que sera l’Union demain. Le projet de traité de libre-échange transatlantique est un autre sujet d’inquiétude. Des négociations non transparentes se déroulent en ce moment au mépris des droits des citoyens et des élus, parce que les chefs d’État et de gouvernement européens en ont ainsi donné mandat à la Commission.

Les listes UMP, PS, centristes et écologistes auront en face d’elles les listes souverainistes du FN et de Debout la République qui prônent la sortie de la zone euro et de l’Union européenne.

Le choix qui s’offre aux partisans sincères de la construction européenne est dramatiquement étriqué : d’un côté, les nationalistes qui veulent revenir au franc et tourner le dos à l’Union ; de l’autre, les boutiquiers qui ne voient dans l’Europe qu’un grand marché et veulent l’étendre à la Turquie.

Parce que nous nous faisons de l’Europe une plus haute idée, parce que nous nourrissons pour notre continent de plus grandes ambitions, parce que les partis politiques nationaux français sont incapables d’offrir des perspectives nouvelles, nous choisissons de voter Blanc.

11 mai 2014

Europe de la décadence: l'Eurovision consacre la fausse femme à fausse barbe!

europe,union européenne,eurovision,homofolie,décadence,résistanceL'être est né Tom Neuwirth mais désormais il se fait appeler Conchita Wurst. C'est un transsexuel, un artiste style drag queen. Il chante en anglais mais a représenté l'Autriche à la dernière de l'Eurovision. Bien évidemment, il a remporté la palme. C'était du tout cuit d'ailleurs. Unique en son genre parmi les compétiteurs, l'ambigu ne pouvait que l'emporter, il devait gagner et on peut penser que tout a été fait pour çà.

D'ailleurs, l'être n'a pas manqué de causer dans le poste après sa consécration pour réciter ses réactions "spontanées" à cette belle victoire "de la tolérance et du respect" qui ne peut être qu'un message fort au Président  Poutine (rien que çà!) et à sa législation homophobe : " nous sommes l'unité et rien ne peut nous arrêter " a lancé la fausse femme à fausse barbe à l'intention de Vladimir qui, on s'en doute, n'a pu qu'être absolument terrifié!

Terrifié, il y aurait par contre de quoi l'être pour le citoyen d'une Union Européenne qui fait de l'a-normalité un art de vivre et un exemple. Triste Europe que celle où l'homofolie impose ses fausses certitudes à coup de messages propagandistes tous azimuts et où l'on envisage de pervertir la jeune génération par l'enseignement d'un ramassis de considérations pseudo scientifiques à connotations idéologiques au service du nouvel ordre mondial qui entend créer le consommateur idéal, indifférencié, sans racines, sans âme, unicolore et unisexe.

Si l'on en croit le message énamouré envoyé par la ministresse suédoise aux affaires européennes à la victorieuse grande "saucisse" de la chanson européenne, le "formidable vote" devrait inciter les citoyens de l'Union à utiliser "leur droit de vote pour une Europe ouverte" à l'occasion des prochaines élections européennes! Ce lamentable coup de propagande devrait plutôt inciter les européens à s'abstenir de participer à la mascarade européiste et à se rassembler derrière les étendards des résistances nationales et identitaires qui se lèvent ici et là.