Les paillettes du CRIF, Hollande et Sarközy !

Les vestiaires du très chic pavillon d'Armenonville devaient croûler sous les visons, alpagas et autres zibelines. C'est que n'importe qui ne participe pas au raoult annuel du CRIF ( Conseil Représentatif des Institutions Juives de France ) où n'évolue que la Haute du très mondain milieu politico-affairo-artistico-médiatique. Jadis des courtisans auraient tué pour tenir la chandelle au petit coucher du Roy ou lui passer le linge sur le postérieur; de nos jours il faut être vu au dîner du CRIF ! C'est pourquoi les politiciens du Système s'empressent d'aller recevoir l'onction du politiquement correct dans ce que l'Express qualifie de "grand'messe" où -pétrifiés en statues dégoulinantes d'obséquiosité- ils écoutent pieusement les injonctions du Président de la chose, grand-maître d'un lobby qui n'existe pourtant pas et quasi ambassadeur permanent de l'Etat Hébreu en France.

Pour rien au monde Hollande et Sarközy n'auraient manqué cet élégant pince-fesse communautariste où on a pu les voir, copains comme casher cochons, se serrer la pince -sous le regard aigu de l'ex-ministre de l'avortement- comme pour affirmer, qu'au-delà de leurs (petites) différences, ils seront les pourfendeurs de l'antisémitisme rampant ou avéré et les sourcilleux garants de "la sécurité d'Israël " à qui on demande humblement pour faire bonne mesure d'accepter un "Etat Palestinien viable" (prison ouverte avec trois repas par jour ?) 

Il paraît, qu'outre de considérables moyens de pression, le CRIF pèserait quelques 400000 voix et que pour les candidats à la Présidentielles,  "les votes de la communauté juive se répartissent à peu près comme que dans le reste du pays, exception faite de Marine Le Pen"  Comme quoi les courbettes ne sont pas toujours payantes ! 

  

 

Présidentielles : Carl Lang dans le Pas de Calais !

 

Flandre-Artois-Hainaut : les jeunes enracinés du Front Populaire Solidariste sur le terrain !

Le moins que l'on puisse dire c'est qu'ils dament le pion aux fumeux du méli-mélo gauchiste de la Région, et d'importance ! Qu'on en juge !

Nos jeunes camarades de l'Artésienne viennent de donner corps à leur Maison de l'Ouvrier à Bruay la Buissière en organisant une première action militante destinée à se faire connaître et à faire connaître le solidarisme aux familles de cette cité ouvrière délaissée par les pouvoirs publics de droite comme de gauche. Un collage massif par une température de petite Sibérie a ainsi prouvé à nos compatriotes qu'il est une saine jeunesse aux antipodes des "jeunes" et des rejetons de bobos télévisualisés, une jeunesse enracinée qui tient le terrain et n'entend plus le lâcher.  ( cliquez ici )

Un terrain tenu aussi par les bénévoles et les militants de la Vlaams Huis, de Opstaan et de l'Association Jeanne de Flandre qui ont eu à coeur de procéder à des distributions de soupe aux oubliés des professionnels de la politique et des zassos subventionnées, à nos frères de peuple qui survivent dans une misère trop digne pour intéresser la charity'business.  ( cliquez ici )

 

 

 

 

6 février1934 6 février1945 :ces jours où l'on assassinait des patriotes français !

 

1934 : à l’appel d’organisations patriotiques (Croix-de-feu, Ligue d’Action française, Jeunesses patriotiques, Solidarité française…), des dizaines de milliers de Français, dont beaucoup d’anciens combattants, manifestent à Paris contre la corruption extrême qui règne dans les milieux politiques (l’affaire Stavisky est un élément déclencheur), au cri de « à bas les voleurs ! »

Alors que la tension monte et que les Croix-de-feu se dispersent sagement, rive droite, des heurts ont lieu entre manifestants et flics. La foule s’approche trop du Palais Bourbon au goût du Régime, qui fait tirer les Gardes mobiles sur les citoyens…

22 Français mourront sous les balles de la République et plus d’un millier seront blessés.

La Gauche prétendra qu’il s’est agi d’une tentative de « coup d’Etat fasciste » et dès son arrivée au pouvoir en 1936, dissoudra les puissantes ligues.
Côté patriote, les déçus de la mollesse de Maurras vont créer une organisation clandestine qui fera beaucoup parler d’elle : « la Cagoule ».

 

1945 : mise à mort du poète et journaliste nationaliste Robert Brasillach, à l’âge de 35 ans, victime de l’épuration. (Pour connaître ou lire Brasillach, c’est ici).

source : Contre-Info

La phrase du jour : marino-collarderie !

Noirs, Blancs, qu’est-ce qu’on s’en tape ! […] Juifs, chrétiens, musulmans, qu’est-ce qu’on s’en fout !"

Qui ? Gilbert Collard, avocat médiatique, et girouette politique, "frère" Collard préside le comité de soutien de Marine Le Pen.

Où ? Sur la péniche Maxim’s, lors de la présentation par Gilbert Collard du fameux (fumeux ?) comité de soutien de la fille de Jean-Marie Le Pen.

Le contexte ? Ayant échoué à attirer des "vedettes" dans le comité de parrainage de la candidate, le Front national a choisi de présenter sept inconnus issus de la diversité. Une liste des "800 personnes" qui apportent leur soutien à la présidente du FN devrait être publiée ultérieurement.

source : le nouveau National Hebdo