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02 avril 2010

Education Nationale : le règne de Super-Pédago

superpédago sos éducation.gifSuper-Pédago a été créé par Gep, qui milite à SOS Éducation.
 
C'est un personnage très répandu dans les instances de l'Éducation nationale, et en particulier dans les IUFM (l'école des profs).
 
Super-Pédago veut mettre « l'enfant au centre du système éducatif ». Il pense que le professeur doit arrêter de chercher à « imposer son savoir ».
 
Son idéal d'enseignant est un animateur socio-culturel, un « médiateur » entre des « apprenants » qui « construisent eux-mêmes leur savoir » et doivent être « actifs dans leurs apprentissages ». Il pense que tous les élèves doivent rester le plus longtemps possible dans la voie générale du système éducatif.
 
Selon Super Pédago, quand un élève n'arrive pas à apprendre, c'est forcément la faute du professeur. Si les élèves sont violents, ça ne peut être qu'en « réaction à la violence symbolique des adultes ».
 
Son rêve est d'instaurer la « démocratie à l'école », avec des élèves qui « élaboreraient eux-mêmes les règles du vivre ensemble ».
 
Heureusement pour lui, Super-Pédago travaille plus souvent dans les bureaux de l'Éducation nationale, ou dans les IUFM (où il forme les futurs professeurs), qu'au contact des élèves...
 
Retrouvez Super-Pédago sur : http://soseducation-leblog.com/

SOS Éducation est une association qui oeuvre à la défense de l'école. L'association mène tout type d'actions pour promouvoir une éducation de qualité, fondée sur des programmes cohérents, des méthodes d'enseignement, éprouvées, l'autorité des professeurs, la reconnaissance du travail et du mérite des enseignants, le respect de la neutralité de l'école.

 

Source : SOS Education

 


14 novembre 2008

Histoire de pieds !

reflexologie-des-pieds-p.jpg

Ahurissant : " foot massage to control errant kids " s' est indignée la presse britannique !

Une entreprise londonnienne de réflexothérapie a réussi à convaincre les autorités de Lambeth de faire recourrir à leurs services comme alternative aux punitions susceptibles d' être infligées aux élèves les plus agressifs dans les 60 écoles primaires et 14 collèges de ce district sud du Grand Londres. Coût de l' opération : 110000€ !

Un petit massage des pieds aux frais du contribuable pour calmer les ardeurs dévastatrices des "jeunes"...parions que cette belle idée va traverser la Manche!

Yves Darchicourt

 

  

21 septembre 2007

Bonnet d'âne...

d5703f1ed1b97aac26f8c8c9051039bd.jpg...pour l' Inspection Académique du Haut-Rhin dont un des services a expédié un courriel aux 850 directeurs d'école du département alsacien pour leur demander de lui faire savoir si des élèves appartenant à des familles de clandestins fréquentaient leurs établissements. Une sollicitation faite très ingénument et fort hasardeuse : comme si parmi tous les chefs d'établissement concernés il n'allait pas s'en trouver au moins un(e) du même acabit que la dame Valérie Boukobza, la directrice de l'école Rampal (Paris 19e) qui, en mars dernier, avait ameuté les foules et déchaîné les "zassos" dans l'affaire dite du "grand-père chinois"!

On se souvient que la furie avait été arrêtée et placée en garde à vue pour outrages à agents...affaire rapidement et opportunément classée sans suite tant sur le plan judiciaire qu'administratif. Ce qui a permis à l' icelle de s'épancher sur France-Info à l'occasion de la rentrée scolaire et de nous permettre d'apprendre que sur les 250 "chères têtes blondes" de son établissement, il y avait...120 enfants de clandestins!

Comme quoi dans ce cas au moins (et gageons qu'il est loin d'être unique) l' expulsion des clandestins, promise par Sarközy, résoudrait le problème des classes paraît-il surchargées, servitude si insupportable aux camarades syndiqués de l' éduc'nat!    YD