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29 mai 2010

Séville : Résistance citoyenne et humoristique à l' islamisation

cohonsouriant.pngBaptisée « Opération Porcine » (Voir vidéo) :  un groupe d’une quinzaine de citoyens opposés à la construction d’une mosquée sur un terrain du quartier Los Géronimos de Séville a eu l’idée d’y enterrer un cochon. La loi islamique ne permettant pas de construire une Mosquée sur un lieu « souillé », les musulmans de la ville qui s’étaient vu concédés ce terrain par la municipalité de la ville auraient pour l’instant renoncé à leur projet. Pour l’instant, car selon un professeur d’histoire de l’Islam à l’université de Séville, Anne Torres, ce simulacre d’enterrement d’un cochon de lait qui s’est déroulée le cinq avril dernier n’aurait qu’une portée symbolique. Quoiqu’il en soit du débat qui s’est ouvert sur cette question, des centaines d’affiches « Stop à l’islamisation » fleurissent depuis sur tous les murs du quartier avec l’approbation des riverains.

Michel Dantan  in Le Nouveau NH    www.national-hebdo.net

la vidéo :  http://www.minutodigital.com/notici...

03 avril 2010

Cordoue : provocation musulmane pendant la semaine sainte

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Mercredi dernier, des participants à un voyage organisé par la " Jeunesse Musulmande d' Autriche "  se sont mis à prier selon le rite musulman dans la Santa Iglesia Catedral de Cordoba où, ce qui semble des plus logique, le culte catholique seul est autorisé. Selon les autorités ecclésiastiques de la Cathédrale, l' affaire avait été soigneusement planifiée ( arrivée du groupe par des entrées différentes et liaison par talkies-walkies ) et relève d' une volonté particulière de provocation mahométane durant la Semaine Sainte; deux des "autrichiens" feront l' objet de poursuites, des policiers ayant été blessés ( dont un par arme blanche ) par les récalcitrants refusant de vider les lieux.

Après la prise de la ville de Cordoue au VIIIe siècle, les envahisseurs musulmans édifièrent une grande mosquée sur des terrains appartenant à l' Eglise Saint-Vincent après en avoir chassé les chrétiens; l' édifice restera un lieu de culte musulman de 785 à 1236, jusqu' à la délivrance de la ville par Ferdinand III de Castille, le grand roi de la Reconquista et sa transformation en église; au XVIe siècle, c' est une magnifique cathédrale qui sera incrustée dans l' ensemble des anciens bâtiments. 

C' est un puissant symbole de la Reconquista que des provocateurs mahométans ont voulu profaner, qui plus est durant la Semaine Sainte, un des grands moments de la ferveur chrétienne. Curieusement nos médias ignorent ou minimisent l' affaire, il paraît même que " subjugués par l' intense spiritualité qui se dégage des lieux, les jeunes musulmans se seraient mis spontanément à prier selon leur habitude sans vouloir choquer les croyants catholiques " ! Allez donc essayer deux ou trois signes de croix, bien en vue dans une mosquée, un vendredi matin à l' heure de la grande prière, juste pour voir si ce n' est pas c' est le lynchage assuré... par les fidèles du lieu d' abord, par les médias ensuite !

Ici ou là, de cette façon ou d' une autre, c' est bien notre volonté et nos capacités à réagir qui sont testées. Ce genre d' affaire ne fera que se multiplier. Alors, plus que jamais : Rassemblement - Résistance - Reconquête 

Yves Darchicourt

   

20 novembre 2009

Devoir de Mémoire : Jose-Antonio Primo de Rivera

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Au matin du 20 novembre 1936, Jose Antonio Primo de Rivera est assassiné à Alicante, sur injonctions du gouvernement " républicain ", après un simulacre de procès organisé par un " tribunal populaire " sovietoïde où le verdict est connu d' avance.

Le fondateur de la Phalange espagnole vient de mourir pour l' amour de son pays et de son peuple livrés à la dictature du conglomérat socialo-anarcho-communiste qui menait l' Espagne à sa ruine et à son assujetissement à l' URSS de Staline.

Jose Antonio n' était plus, mais la Phalange lui survivait avec ses centaines de milliers de militants venus du petit peuple d' Espagne, portant la chemise bleue traditionnelle des ouvriers, arborant les bannières et les brassards frappées du joug et des flèches en hommage aux rois catholiques de la Reconquista. " Ni de droite, ni de gauche, mais d' Espagne ", ils continueront le combat jusqu' à l' ultime engagement dans la fournaise de la guerre civile pour débarasser leur Nation des traîtres et de leurs brigades de coquins internationaux qui voulaient l' anéantir.

Aujourd' hui 20 novembre, nos camarades et amis espagnols militants de la Falange se souviennent de Jose Antonio, et demain samedi ils vont l' honorer. Nos pensées vont vers eux. 

www.lafalange.org    

19 janvier 2009

Espagne: la chasse aux souvenirs !

62c2eba6-d1e7-11dd-94b8-9f362166dba9.jpgC' était la dernière statue équestre du Général Franco en Espagne, elle se trouvait à Santander, elle a été déboulonnée et enlevée en décembre dernier. Les souvenirs publics de l' homme qui a libéré l' Espagne d' une dictature d' inspiration stalinienne, restauré l' ordre et relevé le pays sont devenus indésirables au royaume du politiquement correct.  Selon l' hebdomadaire Rivarol, il ne reste plus désormais qu' une seule statue du Caudillo : en Afrique, dans l' enclave espagnole de Melilla. Pour combien de temps encore?

Yves Darchicourt

(photo AFP)

20 novembre 2007

Mémoire d'Espagne

a06252d9bd4f74840ba193dee425b56e.gifNos camarades espagnols de la Phalange rendent aujourd' hui hommage à Jose Antonio Primo de Rivera assassiné à Alicante le 20 novembre 1936 sur ordre du gouvernement socialo-communiste, illégitimement dit "républicain", à l'aube de la guerre civile.

Jose Antonio avait su faire de la Phalange le fer de lance des forces nationalistes qui allaient débarasser l' Espagne de l'emprise des "rojos" déterminés à staliniser leur pays. Pécheurs, ouvriers, paysans, artisans, les volontaires phalangistes " ni de droite ni de gauche mais d'Espagne " furent les combattants populaires les plus déterminés et les plus actifs de la cause nationale au cours de la deuxième Reconquista, à l' image de leurs ancêtres qui, quelques cinq siècles auparavant, avaient su bouter les Maures hors de la péninsule. 

En souvenir de Jose Antonio, un héros d'autrefois!                Yves Darchicourt     ( WWW.lafalange.org )