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24 juillet 2006

Et l'ennui vint...

medium_img049.5.jpg                  De longs, de très longs baillements... à s'en décrocher la machoire; ce fut sans doute la plus courante des réactions suscitées par Jacques CHIRAC lors de sa traditionnelle prestation télévisuelle du 14 juillet. Dans National-Hebdo, Yves DAOUDAL a bien raison de conclure son excellent article en écrivant que " c'était l'intervention de trop " ( NH 1148 ); quant à Bruno GOLLNISCH, il a su résumer l'intervention de l' élyséen en une phrase: " Il y a quelquechose de fascinant et de consternant à la fois dans cet usage du verbe comme substitut à l'action concrète
              Se contradisant sur les responsabilités de la guerre du Liban, plus que fumeux sur le problème des clandestins, sautant allègrement de l'auto-satisfaction douteuse aux réformes urgentes à accomplir ( d'ailleurs oublieux en cela qu'il est au pouvoir depuis 12 ans ), il n'a guère su capter l'intérêt - même sur son éventuelle re-candidature en 2007 - cafouillant sous l'oeil quasi goguenard des deux journalistes de service...comme quoi, en certains cas, le " prompeteure " est bien utile! Il n'a pas donné l'impression même de croire réellement ce qu'il disait; on pourrait même à son propos reprendre une réplique de Jean GABIN dans l'admirable film que Julien DUVIVIER a tourné en 1936 " Pépé le Moko ": Il est comme ces pendules qui marquent deux heures, qui en sonnent quatre, alors qu'il est midi moins le quart; il sonne faux " 
                     Il n'a semblé pétillant et sincère que dans le bouquet final longuement consacré à son très cher Zinedine ZIDANE et à l'affaire de son désormais célèbre et exemplaire coup de boule. Il n'échappera à aucun citoyen que le sujet est en effet primordial pour le devenir de la Nation! Une belle démonstration de la hauteur de vue d'un chef d'Etat... vivement 2007, LE PEN vite!                     MPD
    

20 juillet 2006

Touristiquement correct!

                   
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          Le politiquement correct et la repentance obligée règnent aussi dans la très touristique cité  d'Amboise: témoin cette plaque attribuant le nom de l'émir Abd el Kader à la majestueuse rampe d'accès au château royal, en plein centre ville, dans l'exact prolongement de la rue François Ier, emruntée régulièrement par des milliers de visiteurs. Il faut dire que l'émir y fit un séjour forcé durant cinq années après sa reddition, prison dorée où il fut royalement entretenu avec sa suite de 97 personnes dont sa vieille mère, ses trois épouses et ses deux fils, avant d'être libéré sur intervention personnelle de Napoléon III en 1852 et d'être envoyé en exil à Damas. Farouche adversaire des Ottomans puis des Français, Abd el Kader fut un combattant déterminé et dans l'ensemble fort correct, si l'on excepte quelques facéties comme la mise à mort par égorgement du Commandant Raffet et de ses 200 hommes en 1839. On objectera qu'après tout l'émir ne faisait que s'opposer à une invasion; exactement comme le fit Charles-Martel dont aucune rue ne porte le nom en Algérie...ni probablement en France d'ailleurs! Repentance, quand tu nous tiens!            MPD

19 juillet 2006

18 juillet 1936: début de la seconde Reconquista

medium_160px-Falange_espa_C3_B1ola_Yugo_y_flechas.2.jpg           En juillet 1936, pendant une séance agitée des Cortès, Dolorès Ibarruri, élue communiste, invective le monarchiste Calvo Sotelo, puis, le désignant du doigt, hurle: " Cet hommme parle pour la dernière fois..."; quelques jours après,, le député est assassiné par des policiers affiliés à la Garde d'Assaut, formation paramilitaire d'exrème-gauche.

           L'évènement était révélateur d'une situation générale de terreur politique et de chaos, instaurée depuis trois ans par une coalition interlope de socialistes radicalisés, de communistes, d'anarchistes et d'autonomistes dont le seul objectif commun était la disparition de l'Espagne traditionnelle. Il sera l'étincelle qui mis le feu aux poudres et précipita le pays tout entier dans la guerre civile. Même avec l'appui technique de l'Allemagne et de l'Italie, les troupes du Général Franco n'auraient pu réussir à mener leur entreprise à bien sans le soutien et le dévouement d'une très forte partie du Peuple espagnol, notemment des quelques 500.000 militants et combattants de la Phalange, dont le Manifeste exprimait le désir de lutter " pour une Espagne grande et libre, pour la patrie, le pain et la justice."

         N'en déplaise aux habituels manipulateurs de l'Histoire et aux aboyeurs patentés, c'est aussi une vague de fond populaire qui a balayé les " rojos ". Fondée par José Antonio Primo de Rivera en 1933, la " Phalange espagnole des JONS " ( juntas de ofensiva nacional sindicalistas ) se veut " ni de droite, ni de gauche, mais d'Espagne "; ses militants portent la chemise bleue traditionnelle des ouvriers espagnoles et prônent une doctrine de rassemblement à la fois nationale, sociale et catholique, adoptant comme emblème le joug et les flèches des rois de la Reconquista. Le Mouvement va très vite s'amplifier dans les milieux populaires, séduits notemment par ses thèses sociales résolument hostiles aux " banques qui s'enrichissent en prêtant à des taux usuraires (...) aux possédants des grandes propriétés qui sans amour ni effort touchent d'énormes loyers (...) à l'épaisse couche d'oisifs qui se maintient sans ajouter la moindre aide aux efforts des autres: entrepreneurs, industriels, commerçants, paysans, pêcheurs, intellectuels, artisans et ouvriers, épuisés par un travail sans illusion "

         Le succès de la Phalange auprès du Peuple espagnol lui vaudra la haine féroce des diverses composantes de l'ultra-gauche; dès le début du soulèvement, des milliers de ses cadres et de ses militants sont arrêtés, emprisonnés, torturés et mis à morts souvent dans des conditions épouvantables; ils sont remplacés par d'autres milliers de volontaires: avec l'armée et les Requetes carlistes, la Phalange sera une des composantes essentielles des forces patriotiques, sans qui la Reconquête nationaliste n'aurait sans doute pas pu aboutir. José Antonio ne verra pas le triomphe de ses camarades, arrêté le 5 juin 1936, il est sommairement jugé par un " tribunal populaire " et exécuté à Alicante le 20 novembre 1936. Quant à Dolorès Iberruri, surnommée la " pasionaria ", elle se distinguera surtout, pendant la guerre civile, par sa férocité à l'encontre des composantes anti-staliniennes des " républicains ", faisant ainsi mentir le diction qui veut que les loups ne se mangent pas entre-eux; partie " résister " en URSS - dont elle deviendra citoyenne - la farouche révolutionnaire mourra nonagénaire...d'une pneumonie!

          L'actuel gouvernement espagnol - celui qui régularise les clandestins à tour de bras - croit venu le temps de remodeler le Souvenir; le socialiste Zapatero entend imposer un projet de Loi dite de la " Mémoire Historique " qui en fait est destinée à imposer une " histoire officielle ", c'est à dire la vision " républicaine " exclusive des évènements: celle que les organes de désinformation nous servent depuis quelques jours, celle du politiquement correct et de la pensée pré-digérée. Gageons que le Peuple espagnol ne s'en laissera pas compter et que nos camarades espagnols sauront s'y opposer: Arriba España!                                    YD

 

    

15 juillet 2006

L' injustice n'est pas aveugle!

medium_00170afb.2.jpg           Condamné en 1987 - à l'âge de 20 ans - à la réclusion criminelle à perpétuité pour tentative d'assassinat, Michel LAJOYE n'a pu obtenir de libération conditionnelle bien qu'ayant effectué sa peine incompressible de 18 ans et pouvant justifier d'un emploi et d'un logement. Michel LAJOYE a certes été reconnu coupable d'avoir déposé une bombe dans un café fréquenté par des maghrébins, ce qui justifie une lourde condamnation; mais l'engin artisanal n'a fait ni tué, ni blessé, ni même de gros dégats. La condamnation s'est donc voulue disproportionnée pour être exemplaire en la matière, tout comme l'est l'acharnement des officines anti-racistes, notemment la LICRA, qui s'opposent à toute remise de peine.

           On avancera que Justice a été rendue et que la peine prononcée doit être appliquée. Dès lors, comment justifier la toute récente libération de Alain TREDEZ, condamné en 1997 à 18 années d'emprisonnement pour assassinat. Le joyeux drille, un tant soit peu cocufié et abandonné par sa femme avait lardé l'amant d'icelle d'une trentaine de coups de poignard après avoir pris la - vaine - tentative de se déguiser. Personne ne s'est opposé à sa libération conditionnelle...il faut dire que le très possessif TREDEZ a une légère particularité: au moment des faits, il était vice-président " vert " du Conseil Régional du Nord/pas de Calais. Comme quoi, on peut être écolo et ne pas du tout apprécier de porter des ramures!

          Michel LAJOYE restera le plus ancien détenu condamné pour une tentative d'assassinat; Alain TREDEZ, qui a tué de façon atroce, est libre...même de se reconvertir dans la boucherie! Deux poids, deux mesures... on dit la Justice aveugle, il est des cas où l'on peut dire que l'Injustice ne l'est pas.             MPD

         

         

30 juin 2006

Transparence

medium_FBI_seal.2.png           On se souvient peut-être de l'indignation horrifiée suscitée par les déclarations du sociologue Farhad Khosrokhavar, publiées dans le Nouvel Observateur du 25 mars 2004, qui s'étonnait de ce qu' en France " (...)les musulmans forment la grande majorité de la population carcérale. 50 à 80% des détenus (...) sont musulmans ", alors que leur Communauté ne représente que " 7 à 8% de la population française ".

            Au pays des " Droits de l'Homme " l'appartenance ethnique ou religieuse des délinquants est un sujet tabou, voire interdit, même sur le plan de la simple constatation à des fins statistiques. Il n'en est pas de même aux Etats-Unis d'Amérique où il n'existe pas de délit d'opinion et où la Presse est libre. C'est ainsi, qu'en mai dernier, sans doute pour clouer le bec des bonnes âmes offusquées par le durcissement de la législation contre les clandestins voulu par GW Bush et aussi parce que ses lecteurs sont en première ligne, que le Los Angeles Times a publié quelques chiffres concernant la place prise par les clandestins dans la délinquance pour l'Etat de Californie:

les " illegal aliens " représenteraient ainsi: 95% des mandats d'amener pour meurtre, 50% des membres de gangs et 25% des détenus; à Los Angeles même, ils représentent 75% des individus les plus recherchés; le Journal précise que selon le FBI, 29% des hôtes des prisons fédérales aux USA seraient des clandestins. ( chiffres repris dans Rivarol n° 2767 ).

          Il s'agit de données statistiques vérifiables, librement communiquées à des citoyens libres à qui leur Constitution garantit le Droit à l'Information et qui sont considérés comme des gens responsables, capables de se forger une opinion par eux-mêmes, sur des faits susceptibles d'être pris en compte pour l'action politique. En quoi le citoyen français a-t-il démérité pour n'avoir pas droit à cette considération? La plupart de nos médias s'empressent de donner dans le larmoyant à la moindre entorse à la liberté de la presse n'importe où dans le monde; ils sont pourtant parmis les plus censuré ou auto-censurés. Il est vrai que notre Nation vit sous la coupe de lois d'inspiration " gayssotiste " donc d'essence stalinienne et que veillent et sévissent de redoutables Inquisiteurs. Sur ce plan là au moins, nous avons une belle leçon à recevoir des USA.         YD