Catalogne : une si douce diversité

Impossible désormais de traverser certains "quartiers" des villes catalanes et encore moins d'y vivre sans faire un semblant d' allégeance à certaine religion de paix et d'amour. C'est le cas semble t-il du Bas-Vernet à Perpignan où il se trouve même des islamistes en maraude partisans du prosélytisme à l'arme blanche et de l'humiliation des "roumis".

Mis à part un hebdomadaire local, l'incident n'a pas été relevé par les "grands" médias qui auraient sans doute préféré avoir à s'épancher sur l'ignominie commise par une brute chrétienne obligeant un mahométan à faire le signe de croix.

source : Terre&Peuple Catalunya   (catégorie islam : ici )

 

 

Educ'Nat' : des moyens, encore des moyens !

Grève et manifs dans l'Education Nationale...un mardi, ce qui a l'avantage d'assurer deux jours de congé consécutifs à la plupart des camarades syndiqués et à leurs troupes. On l'a compris, les damnés du tableau noir veulent des moyens, c'est à dire encore un peu (beaucoup) plus d'argent des contribuables, pour assurer une "éducation" qui s'apparente généralement plus à du formatage idéologique des jeunes cerveaux.

Des moyens pourtant, ils n'en manquent guère si l'on en croît les chiffres fournis conjointement par la Cour des Comptes, l'Insee ou l'Education Nationale ( L'Etat de l'Ecole ) elle-même :

depuis 1980, le budget de l'Educ' Nat' a augmenté de 6 milliards ( en euros constants ) pour atteindre 132,10 milliards € en 2009 soit 6,90% du PIB, alors que le nombre de scolarisés a diminué de 600.000, ce qui représente 7990€ par élève ou étudiant;

actuellement 852907 enseignants s'occupent de quelques 12 millions d'élèves, ce qui donne un ratio de 1 professeur pour 14 élèves : la surcharge de nombre d' établissements pouvant ressortir d'une mauvaise gestion des effectifs et des emplois du temps et - un peu beaucoup aussi - du nombre de "dévoués" bénéficiant de décharges syndicales; le non-remplacement de 16000 retraités par an dès l'année prochaine porterait le ratio professeurs/élèves à 14,3 en 2012 et à 14,60 en 2013;

hors les personnels techniques et les 68949 assistants d'éducation ( les pions ) le Mammouth rémunère 126915 personnels non enseignants, dont bon nombre sans doute de surnuméraires qui à eux seuls peupleraient les bureaux de 10 Tours Montparnasse.

Et tout cela pour faire quoi ? A une dictée proposée au Certificat d'Etude de 1975, 50% des élèves testés eurent zéro; 30% des "têtes blondes" de 18 ans sont quasiment analphabètes; le BAC - distribué gratuitement - n'a plus aucune valeur. Les résultats obtenus sont inversement proportionnels aux moyens considérables mis globalement à disposition des enseignants.

Les syndicats leurrent l'opinion publique en centrant leurs revendications sur des "moyens" qui existent  déjà et en éludant le problème de l'éducation que leurs affidés ne dispensent plus; le problème de l'Education Nationale réside dans les programmes vidés de leur substance, dans les méthodes inadaptées, dans la fiction du collège unique, dans les innovations - disons les expériences - pédagogiques aberrantes, dans le poids grandissant de l'immigration allogène qui nivèle les classes par le bas.

Le Gouvernement lui n'apporte pas les bonnes réponses : il ne suffira pas de "dégraisser" le Mammouth, tout est à repenser, tout est à refaire.

      

  

Fête du cochon libéré en Flandre : encore quelques places !

Plus de 300 réservations...et encore quelques places disponibles ! La grande soirée organisée le samedi 8 octobre prochain par le Front de Libération du Cochon fait le plein !

Toues dernières résevations encore possibles auprès de la Vlaams Huis !

Mosquée des quartiers nords de Paris : les palabres continuent !

On sait que la bourde rhétorique de Marine Le Pen, évoquant l'occupation étrangère à propos des prières de rue mahométanes à Paris, a fait doublement l'affaire des laïcards réclamant l'interdiction de toutes les formes de manifestation religieuse en lieux publics et celle des islamistes exigeant des facilités pour la création de mosquées*. C'est ainsi que les associations culturelles musulmanes des quartiers nords de la capitale se sont vues proposer de vastes locaux situés boulevard Ney et susceptibles d' accueillir chaque vendredi le trop-plein des fidèles dégorgeant régulièrement dans les rues du quartier Barbès pour prier.

Un compromis devait être entériné ces jours derniers, en tous les cas avant le 15 septembre : date fatidique à partir de laquelle de ministre de l'Intérieur est tartarinesquement censé ne plus tolérer de prières mahométanes en plein air. C'était sans compter avec le sens du marchandage des imams concernés : Salah Hamza représentant les fidèles maghrébins de la mosquée de la rue Myrra et Moussa Niambele pour les africains de la mosquée de la rue Polonceau. Ces dignes religieux ( dont on dit qu'ils ne s'aiment guère, mais quand il s'agit de rosser les cognes tout le monde se réconcilie disait Brassens...) ont rivalisé dans la surenchère auprès des autorités prises à la gorge : garantie écrite de l'attribution d'un nouveau lieu de culte intra muros après expiration du bail transitoire sur les locaux du bd Ney, diminution du loyer, utilisation des lieux 7jours/7, "effort" en matière de chauffage, places réservées de parking, adjonction de locaux pour les ablutions rituelles et la prière des femmes, création d'un poste de gardien justifié par la présence proche d'un foyer de sans-abris... de miséreux gaulois amateurs de soupe populaire au cochon sans doute ! 

A ce jour, les palabres n'ont débouché sur rien, mais gageons que Caude Guéant - qui n'a pas eu l'idée de proposer aux surnuméraires de retourner prier au pays - n'envisage pas sereinement d'avoir à disperser des fidèles et que toutes les revendications des barbus seront acceptées. Voire au-delà, car en la matière négocier est déjà un signe de soumission et on sait bien que le gouvernement Sarközy - qui collabore à l'islamisation de notre pays - s'y connait en dhimmitude, au moins autant que ses "adversaires" du PS.

Rassemblement - Résistance - Reconquête !

* argument developpé in Synthèse Nationale n° 21

 

 

Malte : l'invasion migratoire !

Durant le grand siège de 1565, durant près de 4 mois, sous l'impulsion du Grand Maître Jean Parisot de la Valette, Malte a résisté aux ottomans : 9000 habitants et 313 chevaliers se sont sacrifiés pour défendre leur civilisation et leur foi face aux turcs qui y perdirent 12000 combattants. La venue de renforts conduits par Don Garcia de Tolède sauvera l'île qui demeurera ainsi européenne et chrétienne.

Aujourd'hui encore Malte est menacée dans son identité et n'a cette fois aucun renfort à attendre. Depuis mars dernier, c'est quelques 1500 clandestins africains - rebaptisés migrants ou réfugiés - qui ont profité de la guerre en Libye pour venir s'échouer sur Malte et réclamer le sacro-saint droit d'asile qui leur ouvre les porte de l'Europe. Et 1500 clandestins c'est beaucoup pour une République de 409000 habitants ! Sans compter que depuis 10 ans, plus de 15000 "migrants" - essentiellement africains de l'Est - ont pénétré sur le territoire du plus petit Etat de l'Union Européenne.

Une Union Européenne qui ne fait rien pour aider Malte ; pire encore, il a fallu qu'un de ses fonctionnaires pompeusement titré "Commissaire Européen aux Droits de l'Homme" s'insurge contre les centres de rétention maltais où les clandestins attendent d'obtenir le statut de réfugié ou l'occasion de contacter un passeur pour gagner le continent en douce. 

Encore une illustration de l'inutilité, voire de la nocivité, d' une Union Européenne soumise au Nouvel Ordre Mondial face à l'immigration allogène. Résistance !                YD