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18 mars 2011

Bobards, tromperies, craques, boniments, désinformations...les rois du genre !

Initiative de POLEMIA: 2e édition des Bobards d' Or

" Les prix de la désinformation médiatique seront remis lors d’une cérémonie le 5 avril 2011 !
Cette cérémonie distingue et honore les journalistes les plus habiles ou les plus audacieux, ces désinformateurs du totalitarisme « doux » dans lequel nous baignons ; ce système où les mensonges répétés à l’infini finissent par s’imposer dans les esprits et dictent les politiques de « droite » comme de « gauche ».
La désinformation et le mensonge médiatique imposent le politiquement correct, et c’est le rôle de Polémia de lutter contre cette tyrannie médiatique. 
Ce n’est pas le choix qui manque, et Polémia compte sur votre vote par internet pour les départager. Dans chacune des quatre catégories (Presse écrite, Radio, Télévision, Strass et Paillettes) trois bobards seront désignés pour la grande cérémonie du 5 avril à Paris. " 

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Cérémonie des Bobards d'Or : le 05 avril à 20h15 Salle Athènes-Service  8 rue d'Athènes 75009 Paris

 Pour un petit avant goût :un clic ICI     Pour voter pour votre bobardeur préféré : cliquez ICI 

17 novembre 2010

Cinéma et propagande : çà continue avec "Ce n'est qu'un Début"

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Ce jour, sortie en salle du film " Ce n'est qu'un début " réalisé par le duo Pozzi/Barougier censé nous émerveiller avec les "discussions" d'enfants d'une classe de maternelle de ZEP en Seine et Marne sur des sujets divers à hauteur "philosophique".

Ce pourait être simplement amusant, gentillet voire même un peu émouvant, si les réalisateurs n'avaient cru bon de sélectionner une classe de Seine et Marne dont la composition est à l'évidence le portrait type de la "France d'après la France" ou de "l'Europe d'après l'Europe" dont la mise en oeuvre est en route sous l'impulsion des mondialistes de tous poils.  De toute évidence, ce film entre dans la série des films de propagande par l'image : image répétitive, quasiment subliminale, d'un groupe d'enfants de France ethniquement pluriel et où les petits gaulois sont minoritaires en nombre.

Une vision angélique de la diversité ethnique source de civisme, d'harmonie et de tolérance dont les faits divers donnent une tout autre version chaque jour et dont il est utopique de croire qu'elle perdurera au-delà de la tendre enfance.

Une réalisation vouée à faire le bonheur des propagandistes chargés des soirées rééducatives de France2 et de toute façon à éviter.

YD

28 octobre 2010

Cinéma et repentance cuvée 2010 : et de trois !

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Jamais deux sans trois : après " La Rafle " et " Elle s' appelait Anna ", voici que vient de sortir " Vénus noire ". Cette dernière production, consacrée au racisme envers les noirs, vient relayer les deux précédentes qui dénonçaient l' anti-sémitisme, lequel est, comme on le sait, le summum de tous les racismes . L' année 2010 ( mais est-ce fini?) aura donc été riche en réalisations cinématographiques destinées à culpabiliser le Gaulois : deux films pour vouer aux gémonies la France et les Français de 1942 par Veld'hiv interposé et un petit dernier pour vitupérer contre nos aïeux au travers du drame vécu par une africaine de la tribu des Hottentots exhibée en public en Angleterre puis en France sous le Premier Empire.

Le drame humain vécue par une femme - présentant des hypertrophies du bassin et des parties génitales - transformée en curiosité de foire et de salons libertins par ses exploiteurs pour finir misérablement de maladie dans un bordel, est indéniablement scandaleux. Mais il ne l' est ni plus ni moins que le sort connu par les milliers de " monstres de foire " qui, au fil du temps, ont amusé ou effrayé les badauds, de pauvres êtres dont on ne parlera jamais et sur lesquels personne ne tournera de film.

Le film entre nettement dans la catégorie des réalisations de propagande anti-raciste, ce qui explique sans doute sa promotion médiatique. Son réalisateur, Abdlatif Kechiche a ainsi pu longuement présenter son oeuvre sur RTL mardi soir, interrogé ou plutôt mis en valeur par le maître à penser de service, un sourcilleux du politiquement correct à la pronciation de certains mots si caractéristique de la caste journalistique ( ce soââr... un film à la mémoââre...scandaleuse histoââre...fabuleuse actrice noââre ...) Et c' est sans un murmure de contestation que Kechiche a pu affirmer que Georges Cuvier - le grand savant, père de la paléontologie et de l' anatomie comparée, qui a pu examiner et étudier les caractéres physiques de la malheureuse et, plus tard, autopsier son corps - s' est rendu coupable d' un véritable " crime contre l' humanité

De là à exiger qu' on débaptise promptement les rues, lycées et collèges " Georges Cuvier " en France - comme on le fit avec le nom d' Alexis Carrel - il n' y a qu' un pas que certains n' hésiteront peut être pas à franchir !

"Vénus noire" : un film que l' on peut très bien ne pas voir tout en continuant à se bien porter !       

Yves Darchicourt

  

14 octobre 2010

Shoah Business : (re) Veld'Hiv au cinéma !

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Nouvelle avalanche de dithyrambes dans les médias ! On pensait avoir atteint des sommets dans le genre avec l' encensement quasi extatique de La Rafle, on vient de nous en remettre une couche toute aussi épaisse avec Elle s' appelait Sarah ! 

Sorti hier dans 325 salles d' un coup, ce film de Gilles Paquet-Brenner est donc le deuxième de l' année 2010 consacré à la fameuse rafle du Vel'd'Hiv, l' évènement tragique du Paris de 1942 qui devrait obligatoirement peser en permanence sur nos consciences d' enfants, petits-enfants et même arrières petits-enfants de ces français d' alors, qui ont fait ou laissé faire l' innommable !

C' était bien le moins, l' actrice principale, Kristin Scott Thomas, interrogée sur RTL hier soir," n' est pas sortie indemne du rôle." Quant au film, s' il n' a pas été pas voulu aussi lacrymogène que La Rafle, il entend bien (quand même) émouvoir et faire réfléchir sur la responsabilité imputable à la France. Pour l' AFP d' ailleurs, il a toute sa place " dans la liste des oeuvres ayant évoqué la solution finale, ici dans sa sinistre version française "

 On l' aura compris, il s' agit, une fois de plus, de culpabiliser le français, de l' amener à l' acceptation de la repentance perpétuelle et de son corollaire obligé, la juste dette qu' il conviendra de rembourser. Une sortie sur les écrans qui tombe à pic, juste après la miraculeuse invention du document incriminant directement le Maréchal Pétain dans le durcissement des lois antisémites promulguées par l' Etat Français.

Pour celles et ceux qui souhaitent aller au Cinéma sans avoir à se couvrir la tête de cendres, mieux vaut aller voir le Robin des Bois de Ridley Scott par exemple ! Et on ne fera pas la quête à la sortie !

YD      

02 octobre 2010

Odieuxvisuel : le rire selon France2

odieuvisuel.jpg" La tolérance, il y a des maisons pour cela " disait Georges Clémenceau. Ce soir,  la tolérance entrera en maison au Palace, et par la grande porte, à en croire la presse télévisuelle qui ne tarit pas d' éloge - avant coup - sur la grande soirée des humoristes sélectionnés pour " rire ensemble contre le racisme " sous la présidence de l' inévitable Michel Boujenah et la tutelle de SOS Racisme et de l' Union des Etudiants Juifs de France.

Comme à l' habitude, c' est France2 qui - avec l' argent de la redevance - va pouvoir retransmettre en direct la soirée qui fait la part belle aux comiques venus d' ailleurs ou représentant le lobby qui n' existe pas, lesquels se chargeront de bien faire comprendre qu' une histoire juive n' est drôle que racontée par un juif ou qu' une histoire mettant en scène un arabe ou un noir n' est irrésistible que narrée par un arabe ou un noir... que les mêmes histoires sont tolérables racontées par l' un ou par l' autre, mais qu' elles deviennent révélatrices d' un racisme aussi monstrueux qu' intolérable dans la bouche d' un goy, d' un roumi et d' un gaulois.

Pour rire ou sourire, mieux vaut passer la soirée à se plonger dans les recueils de bons mots de Sacha Guitry, Alphone Allais, Pierre Desproges , Georges Courteline et autres Michel Audiard...une soirée avec l' esprit français en quelque sorte.

YD