01 août 2014
Israël: crimes de guerre, désinformation et bourrage de crâne!
A découvrir sur le site de "Jeune Nation", une fort intéressante "enquête sur le plus organisé des réseaux terroristes: Israël" cliquez ici
11:40 Publié dans Ici et là dans le monde | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : europe, france, israël, juifs, palestine, crimes de guerre
08 mai 2014
8 mai 1945: le crime de guerre du futur maréchal Leclerc
La mort de douze hommes peut paraître anecdotique à côté des millions de victimes de la Deuxième guerre mondiale. Mais l’épisode de « Bad Reichenhall » dérange, car il porte une ombre sérieuse sur l’image du maréchal Leclerc, voire à sa légende dorée.
Début mai 1945, une douzaine de Waffen SS français ayant combattu contre le bolchevisme, rescapés de la Division Charlemagne, se rendent à l’armée américaine et sont internés dans une caserne de Bad Reichenhall (Haute Bavière).
Le 6 mai 1945, la 2ème DB de Leclerc occupe cette ville ; les SS français décident de s’évader par peur de représailles.
Ils sont finalement capturés dans un petit bois. Ils sont ensuite questionnés par le futur maréchal Leclerc. ( photo ) C’est le 8 mai, jour de la capitulation allemande.
Au cours d’une brève discussion, il reproche à l’un des Français de combattre sous uniforme allemand. Il se voit répondre que lui-même est sous uniforme étranger, américain en l’occurrence.
Leclerc, jugeant cette attitude par trop insolente, décide de les faire fusiller. Sans aucun jugement.
Après avoir chacun refusé d’avoir les yeux bandés, les jeunes Français s’écroulent par groupe de quatre, l’un après l’autre, sous des balles fratricides, en criant « vive la France ! »
Les corps sont laissés sur place conformément aux ordres. Ils seront finalement enterrés à cet endroit quelques jours plus tard, grâce aux pressions d’un aumônier français. Le 2 juin 1949, les corps sont transférés dans le cimetière communal de Sankt Zeno, à Bad Reichenhall.
Cet épisode tragique est parfois controversé, mais une solide enquête établit les faits : c’est le livre d’Eric Lefèvre et Olivier Pigoreau (disponible ici).
source: Contre-Info
15:19 Publié dans L' Histoire à l'endroit | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : europe, histoire, prisonniers de guerre, crimes de guerre, maréchal leclerc, division charlemagne
13 octobre 2013
Fosses Ardéatines et Katyn : d'un massacre et d'une indignation à l'autre !
Le capitaine Erich Priebke vient de mourir centenaire à Rome. Cet ancien hauptsturmführer, extradé d'Argentine en 1995, avait été en 1998 condamné à la réclusion perpétuelle par la Justice italienne pour avoir participé en tant qu'officier à l'exécution dans les fosses ardéatines en mars 1944 de 335 civils italiens en représailles d'un attentat à la bombe commis par des francs-tireurs communistes et qui avait tué 32 soldats allemands. Sa condamnation avait été commuée en assignation à résidence à Rome au domicile de son défenseur argentin, ce qui avait fait s'étrangler d'indignation les plumitifs du journal communiste subventionné l'Humanité.
Le même journal l'Humanité qui n'a jamais manifesté le moindre regret de ce qu'aucun responsable grand ou petit des massacres de Katyn n'a jamais été condamné ni même inquiété. Et pourtant, sans aucune raison autre que la haine de classe et la volonté de priver le peuple polonais de ses cadres, sur ordre explicite de Staline, les fameux "exécuteurs de sentence" du NKVD dirigé par Lavrenti Béria ont abattu dans la forêt de Katyn quelques 22000 polonais (officiers et sous-officiers prisonniers de guerre, personnalités, fonctionnaires, étudiants...) en avril/mai 1940
Dans les deux cas, les malheureuses victimes ont été tuées d'une balle dans la nuque; c'est sans doute par souci d'économie ou pour varier les plaisirs que dans la forêt de Katyn nombre de polonais ont été expédiés à la baïonnette. Nos médias accordent une large place à la mort du boucher des fosses ardéatines; on verra bien si dans quelques jours, les mêmes évoquent les bouchers de Katyn à l'occasion de l'arrêt attendu de la Cour Européenne des Droits de l'Homme qui, le 21 octobre, doit statuer sur la responsabilité de la Russie [ il eut été plus convenable de mettre en cause non pas l'éternelle Russie et le peuple russe mais l'URSS, le parti communiste soviétique et ses membres ] dans cette tuerie. A moins bien sûr de prétendre qu'il existe les martyrs exemplaires de bourreaux haïssables, les victimes quasi anecdotiques de bourreaux en demi-teinte et que l'indignation se doit d'être à géométrie variable !
12:07 Publié dans L' Histoire à l'endroit | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : europe, histoire, katyn, fosses ardéatines, staline, crimes de guerre
12 août 2011
Crimes de guerre impunis : il y a 66 ans Tokyo - Hiroshima - Nagasaki !
1945: pour l' Etat-Major US pas question de lancer les boys à l' assaut du Japon; les combats d'Iwo Jima et d'Okinawa l'ont démontré, les armées impériales sont résolues et fort capables de défendre pied à pied chaque ile, chaque ilôt, chaque ville, chaque rue, chaque maison de leur patrie.
Les bombardements intensifs sur la population civile de quelques 60 villes n' avaient pas suffi à faire plier le Japon. On croyait le summum de l' horreur atteint avec le pilonage de Tokyo aux bombes incendiaires les 9 et 10 mars 1945 (100000 victimes) mais survient Hiroshima et la première bombe atomique qui explose le 6 août à la verticale de l'hôpital Shima : 75000 morts en quelques secondes, 50000 autres ne survivront pas à leurs blessures. Officiellement, cette abomination n' aurait pas suffi à faire céder l'Empire du Soleil Levant...mais peut-être fallait-il au plus vite expérimenter, sur cibles vivantes, les effets d' un deuxième type de bombe, à l' hydrogène et au plutonium celle-là, plus puissante que sa " petite soeur " à l' uranium 235.
Le 9 août 1945 Nagasaki allait connaître à son tour l' immense lueur des "mille soleils". La bombe explosera symboliquement à l'aplomb de la cathédrale d'Urakami, parait-il confondue avec un bâtiment portuaire : 35 à 40000 personnes vitrifiés en un instant, encore une fois des civils et des soldats blessés dans leur immense majorité. On estimera le nombre des décès, directs ou indirect à près de 150000. Horreur sans nom d' un acte sans courage, point d' orgue d' une stratégie de la terreur qui avait dire au Général Curtis E.LeMay, "courageux" commandant de l' opération sur Tokyo : " Nous avons intérêt à gagner, car sinon nous serons accusés de crime de guerre "
Mais c' est le Japon qui va capituler le 15 août 1945 et le vaincu est forcément le lâche et l'odieux. C'est sans doute pourquoi il n'a jamais été question de crimes de guerre à propos de Tokyo, d' Hiroshima ou de Nagasaki ! YD
18:08 Publié dans L' Histoire à l'endroit | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : histoire, usa, japon, deuxième guerre mondiale, bombe atomique, crimes de guerre
17 août 2008
Documents : la France sous les bombes américaines
" Les Français d’aujourd’hui se souviennent des bombardements atomiques sur le Japon en août 1945, mais ignorent que les bombardements anglo-américains dans leur propre pays ont fait presque autant de victimes (70 000) que la bombe atomique de Hiroshima (75 000) et beaucoup plus que celle de Nagasaki (40 000). Amnésiques de leur propre histoire, nos compatriotes ont tous appris que Coventry, bombardée par la Luftwaffe dans la nuit du 14 au 15 novembre 1940, est une ville martyre, mais ne savent pas que le nombre de morts qui a résulté de ce raid aérien (380) est presque de cinq fois inférieur à celui des victimes françaises du bombardement américain de Marseille (1 752 morts), le 27 mai 1944. Or, la cité phocéenne n’a jamais été qualifiée de ville martyre, pas plus que les autres agglomérations françaises écrasées sous les bombes américaines, que ce soit Saint-Étienne (1 084 morts), Nantes (1 500 morts), Lyon (717 morts), Avignon (525 morts), Le Portel (500 morts), Rennes (500 morts), Toulon (450 morts) ou Nice (384 morts), pour ne pas citer Rouen dont les 200 morts des bombardements américains du 30 mai au 4 juin 1944 sont venus s’ajouter aux 900 victimes du bombardement anglais de la nuit du 18 avril 1944. " Un livre de Jean-Claude Valla publié dans "Les Cahiers Libres de l' Histoire" 2002 édition: La Librairie Nationale ( www.librad.com ) |
11:21 Publié dans L' Histoire à l'endroit | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : histoire, europe, usa, france, guerre, crimes de guerre