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08 août 2014

Mischa Badasyan, artiste de performance dans l'Europe de la décadence: un projet créatif de 365 saillies inverties!

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Encore un bel exemple de la décadence intellectuelle, artistique et culturelle de certaines "élites" européennes. Après la suissesse Milo Moiré qui du vagin pond sur toile des oeufs emplis de peinture pour exprimer son sens créateur du beau, après la luxembourgeoise Déborah de Robertis qui à poil exhibe son entrecuisse dans un musée afin d'offrir au chaland la possibilité de réfléchir sur "l'oeil du sexe comme miroir du monde des origines" , voici maintenant le russe arménien teutonisé Mischa Badasyan qui va tenter chaque soir et durant un an de se trouver un différent partenaire d'ébats amoureux sauce Sodome! Et tout cela évidemment au nom de l'art.

Car notre homme est un artiste, précisément un artiste de performance, un adepte de l'art vivant qui concocte le projet "Save the Date " qui consistera à forniquer à la queue leu leu avec 365 invertis recrutés dans les "non lieux" de Berlin - concept d'anthropologue paraît-il et désignant les centres commerciaux, aéroports, métros... - pour dénoncer la "solitude de la jeunesse", sa propre "solitude d'artiste" et pour crier au monde "qu'il n'est rien de plus triste, viscéral et insatisfaisant d'avoir des relations sexuelles "copieuses" avec des inconnus dont on ne se rappellera pas" Il s'agirait là d'un des paradoxes de la condition humaine! Et puis Mischa est cruellement conscient qu'il risque " des maladies, des dépressions et des peines de coeur " Reconnaissons qu'il y a là de quoi émoustiller et faire baver d'envie tout le petit monde des dégénérés intellectuels de l'Europe entière et d'émerveiller les thuriféraires médiatiques de l'art du monde nouveau !

D'autant que le génie n'en est pas à son coup d'essai en matière d'innovation artistique: il a ainsi hanté  divers métropolitains d'Europe en y posant falzar aux chevilles et I-Pad sur la bas-ventre dans l'espoir qu'un usager créatif viendrait y tapoter et y exprimer sa libre parole et ses sentiments profonds!

Bref l'homme est un récidiviste dans le genre distingué. Il y aura sans doute nombre de béotiens pour crier au foldingue, au provocateur vomitif ou à l'escroc. Ce ne seront là que vociférations de fronts bas incapables de reconnaître le jaillissement artistique d'un créateur exceptionnel injustement ignoré des masses. On marche vraiment sur la tête !

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11 juin 2014

Deborah de Robertis: un autre exemple vivant de la décadence culturelle de l'Europe!

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Elle s'appelle ou se fait appeler Deborah de Robertis, elle serait luxembourgeoise et se prétend artiste. Connue? Guère, sinon dans un cercle de perturbés du ciboulot dont les "créations" illustrent parfaitement l'état de décadence culturelle ou s'enfonce l'Europe. Un petit monde de détraqués, de siphonnés ou d'escrocs qui sont prêts à n'importe quoi, n'importe quand et n'importe où pour avoir droit à une éphémère mais lumineuse gloire médiatique annonciatrice peut-être du geste d'un amateur éclairé ou de la subvention attribuée aux "artistes" d'avant-garde avec l'argent des contribuables.

Et la compétition est rude en ces temps de crise, il faut donner carrément dans l'hystérie créatrice pour faire parler de soi et espérer un peu des picaillons jetés aux cultureux. Du coup Deborah n'y est pas allée par quatre chemin: le 29 mai dernier, elle a foncé droit au musée d'Orsay où dans la salle 20, assise robe relevée et jambes ouvertes sous le tableau de Gustave Courbet (L'Origine du Monde 1866) représentant un sexe féminin en gros plan, elle a largement dévoilé le sien dans l'ambiance musicale de l'Ave Maria de Schubert sur laquelle elle avait ajouté ces paroles sublimes : " Je suis l'origine, Je suis toutes les femmes, Tu ne m'as pas vue, Je veux que tu me reconnaisses, Vierge comme l'eau créatrice du sperme"

La pauvre bête a bien évidemment été relevée, reloquée, expulsée du musée et conduite au poste de police le plus proche. Elle en ressortira d'ailleurs trop vite pour son goût, sans même avoir bénéficié de la douche froide si utile pourtant dans les cas comme le sien. On passera sur les explications fumeuses étalées par "l'artiste" dans les médias fort gourmands de ce genre de prestations  pour le moins douteuses: notons quand même que la dame se dit très "pudique" même si elle a tourné à poil dans des "vidéos"...artistiques évidemment. Le Procureur a décidé de classer sans suite ce qui ressort plus de la psychiatrie que des tribunaux. Mais le but est atteint: Deborah a fait parler d'elle! Elle est sortie un temps de l'anonymat où son génie créateur végétait et où elle retombera rapidement. Du moins il faut l'espérer!