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11 juin 2014

Deborah de Robertis: un autre exemple vivant de la décadence culturelle de l'Europe!

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Elle s'appelle ou se fait appeler Deborah de Robertis, elle serait luxembourgeoise et se prétend artiste. Connue? Guère, sinon dans un cercle de perturbés du ciboulot dont les "créations" illustrent parfaitement l'état de décadence culturelle ou s'enfonce l'Europe. Un petit monde de détraqués, de siphonnés ou d'escrocs qui sont prêts à n'importe quoi, n'importe quand et n'importe où pour avoir droit à une éphémère mais lumineuse gloire médiatique annonciatrice peut-être du geste d'un amateur éclairé ou de la subvention attribuée aux "artistes" d'avant-garde avec l'argent des contribuables.

Et la compétition est rude en ces temps de crise, il faut donner carrément dans l'hystérie créatrice pour faire parler de soi et espérer un peu des picaillons jetés aux cultureux. Du coup Deborah n'y est pas allée par quatre chemin: le 29 mai dernier, elle a foncé droit au musée d'Orsay où dans la salle 20, assise robe relevée et jambes ouvertes sous le tableau de Gustave Courbet (L'Origine du Monde 1866) représentant un sexe féminin en gros plan, elle a largement dévoilé le sien dans l'ambiance musicale de l'Ave Maria de Schubert sur laquelle elle avait ajouté ces paroles sublimes : " Je suis l'origine, Je suis toutes les femmes, Tu ne m'as pas vue, Je veux que tu me reconnaisses, Vierge comme l'eau créatrice du sperme"

La pauvre bête a bien évidemment été relevée, reloquée, expulsée du musée et conduite au poste de police le plus proche. Elle en ressortira d'ailleurs trop vite pour son goût, sans même avoir bénéficié de la douche froide si utile pourtant dans les cas comme le sien. On passera sur les explications fumeuses étalées par "l'artiste" dans les médias fort gourmands de ce genre de prestations  pour le moins douteuses: notons quand même que la dame se dit très "pudique" même si elle a tourné à poil dans des "vidéos"...artistiques évidemment. Le Procureur a décidé de classer sans suite ce qui ressort plus de la psychiatrie que des tribunaux. Mais le but est atteint: Deborah a fait parler d'elle! Elle est sortie un temps de l'anonymat où son génie créateur végétait et où elle retombera rapidement. Du moins il faut l'espérer! 

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