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06 avril 2010

Le vigile Saïd et le Grand Rabbin de France

1100959925.jpgpar Robert Spieler  Délégué Général de la Nouvelle Droite Populaire

 

Saïd, 35 ans, vigile à Batkor à Bobigny est mort, noyé dans le canal de l’Ourcq. Après une altercation avec un client particulièrement agressif et arrogant qui souhaitait pénétrer dans le magasin après la fermeture, Saïd se retrouva confronté à trois jeunes hommes (les frères et cousins du client) qui le prennent en chasse. Après un échange de coups, Saïd meurt, noyé dans le canal, dans des conditions que l’on ignore.

 

Voilà les faits. Mais pourquoi cette affaire mérite-t-elle d’être suivie de près ?

 

Le quotidien de gauche Libération, qui consacre une page à cette affaire, donne des précisions surprenantes que les media ne donnent jamais : « Le client, un blond d’environ 25 ans ». Un blond ?  Serait-ce donc un crime raciste ? On imagine d’avance le hourvari des media et des lobbys. Un « blond » cause la mort d’un arabe… On entend les couinements unanimes.

 

Et là, rien. La télévision et tous les media insistent sur le fait qu’il n’y a certainement aucune dimension raciste dans cette affaire. Voilà qui devient incroyable…

 

Mais on finit tout de même par comprendre. On apprend que les quatre agresseurs, dont le « blond », connus de la police pour usage de stupéfiants et violences, se sont immédiatement revendiqués comme juifs après leur arrestation, considérant sans doute qu’il s’agit d’une circonstance atténuante. Le « blond » mentionne dans sa déposition que le vigile lui aurait empêché l’entrée au motif qu’il était juif. Affirmation tout à fait fantaisiste, selon les témoins, mais introduire un soupçon d’antisémitisme dans cette affaire ne mange pas de pain et peut, qui sait, entraîner la libération rapide du « blond » et de ses compères qui évidemment n’auront pas la perspective de croupir, comme Michel Lajoye, pendant vingt ans dans les geôles de la République.

 

Pour conclure, le grand rabbin de France, Gilles Bernheim, a adressé vendredi ses condoléances à la famille de la victime. Mais que vient faire le grand rabbin dans cette affaire ? L’archevêque de Paris s’excuse-t-il quand un chrétien commet un acte condamnable ? Evidemment pas… idem pour les imams qui, il est vrai, s’ils avaient à s’excuser, auraient un travail considérable.

 

Décidément, cette affaire est instructive

 

http://robert-spieler.hautetfort.com/