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17 février 2014

Toulouse : naissance d'un blog nationaliste, visite de Valls et provocations murales!

france,toulouse,nationalisme,identité,jeunesse nationaliste,résistanceLes communautés nationalistes de France viennent de s'enrichir d'un nouveau site internet. Déjà bien présentes sur Facebook ( Ain - Alsace - Bretagne - Franche-Comté - Haute-Savoie- Lorraine- Marseille-Nice- Paris- Rhône- Roussillon- Saint-Etienne- Savoie- Var- Vaucluse) ces actives communautés de la jeunesse nationaliste et radicale française - qui soutiennent notamment l'action d'Alexandre Gabriac et Yvan Benedetti- animent des blogs pour la Lorraine et le Var auxquels vient de s'ajouter celui de "Toulouse Nationaliste".

Les jeunes résistants nationalistes toulousains comptent sans doute faire bel accueil le 27 février prochain à Manuel "Gaz" Valls qui a annoncé son intention de venir à Toulouse faire démonstration d'allégeance à certain lobby qui n'existe pas à l'occasion du raout annuel du Crif-Midi-Pyrénées. Comme par hasard, la publication sur leur blog d'un article concernant la reptation annoncée du gandin naturalisé devant ses maîtres a été immédiatement et nocturnement suivi d'une génération spontanée d'inscriptions murales "anti-sémites et homophobes" (il y a un rapport?) dans le centre de la cité rose, inscriptions faisant même parfois directement référence à "Toulouse Nationaliste" et qui ont suscité les jérémiades du maire (PS) Pierre Cohen et de ses colistiers parmi lesquels figurera un Marc Sztulman qui pour ce faire vient de quitter ses fonctions de secrétaire général du Crif régional.

france,toulouse,nationalisme,identité,jeunesse nationaliste,résistanceTout cela fleure bon la provocation surtout dans la perspective de la prochaine visite de l'hystérique gandin naturalisé si éternellement lié à Israël et qui ne dédaigne pas coiffer la kippa, ce qui pourrait paraître d'ailleurs singulier pour un ministre de la ripoublique laïcardisée (en photo avec Pierre Cohen)) Une éventualité de manipulation qui n'est bien évidemment même pas envisagée par les médias surexcités par ces "messages de haine" qui "menacent la République" et qui ouvrent largement leurs colonnes aux jérémiades des grands humanistes qui interdisent aux patriotes de se rassembler, de s'exprimer ou de manifester, donnent allègrement dans la censure et la répression et mettent en oeuvre une idéologie délétère acharnée à détruite la famille, à pervertir les enfants, à gommer les traditions et les cultures, à métisser les peuples, à ruiner les nations au profit des fortunes anonymes et vagabondes du Nouvel Ordre Mondial. Bon vent à nos jeunes camarades de Toulouse Nationaliste !

16 février 2014

Serge Ayoub pourfend Haziza en beauté!

 

Et pan sur le pif! On se délectera de cette vidéo où notre camarade et ami Serge Ayoub règle son compte en beauté au minable pseudo journaliste subventionné mais vrai indic de police politique et militant sioniste sectaire Frédéric Haziza auteur d'un étron littéraire particulièrement vomitif. Rien à dire de plus sur le personnage, insignifiante marionnette des fortunes anonymes et vagabondes du B'nai'B'rith, Groupe Bilderberg et autre Trilatérale qui sert maintenant de rabatteur à la milice valssienne et aux valets de l'a-justice gouvernementale. A faire circuler !

14 février 2014

Dresde : hommage aux 135000 victimes des bombardements anglo-américains! !

Dresde 13-14 février 1945 : la guerre des lâches !

362212dresde5tp6rq.gifFévrier 1945 : Dresde est une ville ouverte, une ville désarmée où les 25 hôpitaux et les dizaines de centres d'accueil hébergent, nourrissent, réconfortent et soignent tant bien que mal des dizaines de milliers de réfugiés, de mutilés et de blessés fuyant les "libérateurs" staliniens.

A cette date, la partie est perdue pour l'Allemagne, tous les fronts sont enfoncés et les 42 divisions soit-disant massées aux alentours de la ville de Dresde pour une contre-attaque vers l'Est n'existent que sur le papier. Dresde n'est plus un objectif militaire et les civils qui s'y entassent peuvent se sentir quelque peu "rassurés"d'être loin des combats. C'était sans compter avec la décision des politiques anglo-américains de faire amplifier par leurs états-majors la stratégie de la terreur sur les civils censée démoraliser l'Allemagne : surpeuplée de civils Dresde était une cible de choix, comme le furent Berlin ou Hambourg, et comme le seront Tokyo, Hiroshima et Nagazaki.

La nuit du 13 au 14 février : pour un temps "oublier" la guerre, se raccrocher à tout ce qui est la vie comme ces petits carnavals improvisés qui s'animent çà et là et puis viennent quinze heures d'apocalypse, 650000 bombes incendiaires et engins à fragmentation, les civils écrasés, déchiquetés, brûlés au phosphore; 1000° au sol, des corps amalgamés au béton et à l'acier, des petits enfants englués vivants dans l'asphalte en fusion; la folle terreur, l'indicible douleur, la mort dans l'épouvante. Combien de morts ? 35000 pour l'Histoire officielle, probablement au moins 135000. Des monceaux de cadavres aux chairs brûlés comme offerts en Holocauste à quelque hideuse divinité. Le "Bomber Command" du général-boucher Arthur Harris va pouvoir jubiler, comme prévu la ville était sans défense et tous les avions sont rentrés. Sortis des carlingues décorées à la pin-up, sourire et bulle de chewing-gum aux lèvres, les "héros" tout juste un peu fatigués vont pouvoir fêter çà et imaginer ce qu'ils diront plus tard à leurs enfants qui leur demanderont peut-être: raconte moi ta guerre papa.

Ignominie qui n'est pas la guerre sinon celle des lâches, monstruosité susurrée à Yalta dans l'oreille d'un sénile qui faisait sous lui par un alcoolique chronique en perpétuel état second sous le regard ironique du plus grand criminel politique de l'Histoire et pour laquelle aucun responsable ni exécutant ne sera jamais inquiété. Ce crime de guerre au parfum de génocide n'est pas près d'être officiellement considéré comme tel. Il est vrai qu'il a été commis - comme tant d'autres le seront encore - au nom du Bien par des démocraties humanistes. Tant que l'Histoire ne sera pas remise à l'endroit, le martyre de Dresde restera une péripétie et les martyrs de Dresde n'en seront jamais que des détails !

12 février 2014

Il n'y a rien à attendre d'une police politique!

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