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14 février 2014

Dresde 13-14 février 1945 : la guerre des lâches !

362212dresde5tp6rq.gifFévrier 1945 : Dresde est une ville ouverte, une ville désarmée où les 25 hôpitaux et les dizaines de centres d'accueil hébergent, nourrissent, réconfortent et soignent tant bien que mal des dizaines de milliers de réfugiés, de mutilés et de blessés fuyant les "libérateurs" staliniens.

A cette date, la partie est perdue pour l'Allemagne, tous les fronts sont enfoncés et les 42 divisions soit-disant massées aux alentours de la ville de Dresde pour une contre-attaque vers l'Est n'existent que sur le papier. Dresde n'est plus un objectif militaire et les civils qui s'y entassent peuvent se sentir quelque peu "rassurés"d'être loin des combats. C'était sans compter avec la décision des politiques anglo-américains de faire amplifier par leurs états-majors la stratégie de la terreur sur les civils censée démoraliser l'Allemagne : surpeuplée de civils Dresde était une cible de choix, comme le furent Berlin ou Hambourg, et comme le seront Tokyo, Hiroshima et Nagazaki.

La nuit du 13 au 14 février : pour un temps "oublier" la guerre, se raccrocher à tout ce qui est la vie comme ces petits carnavals improvisés qui s'animent çà et là et puis viennent quinze heures d'apocalypse, 650000 bombes incendiaires et engins à fragmentation, les civils écrasés, déchiquetés, brûlés au phosphore; 1000° au sol, des corps amalgamés au béton et à l'acier, des petits enfants englués vivants dans l'asphalte en fusion; la folle terreur, l'indicible douleur, la mort dans l'épouvante. Combien de morts ? 35000 pour l'Histoire officielle, probablement au moins 135000. Des monceaux de cadavres aux chairs brûlés comme offerts en Holocauste à quelque hideuse divinité. Le "Bomber Command" du général-boucher Arthur Harris va pouvoir jubiler, comme prévu la ville était sans défense et tous les avions sont rentrés. Sortis des carlingues décorées à la pin-up, sourire et bulle de chewing-gum aux lèvres, les "héros" tout juste un peu fatigués vont pouvoir fêter çà et imaginer ce qu'ils diront plus tard à leurs enfants qui leur demanderont peut-être: raconte moi ta guerre papa.

Ignominie qui n'est pas la guerre sinon celle des lâches, monstruosité susurrée à Yalta dans l'oreille d'un sénile qui faisait sous lui par un alcoolique chronique en perpétuel état second sous le regard ironique du plus grand criminel politique de l'Histoire et pour laquelle aucun responsable ni exécutant ne sera jamais inquiété. Ce crime de guerre au parfum de génocide n'est pas près d'être officiellement considéré comme tel. Il est vrai qu'il a été commis - comme tant d'autres le seront encore - au nom du Bien par des démocraties humanistes. Tant que l'Histoire ne sera pas remise à l'endroit, le martyre de Dresde restera une péripétie et les martyrs de Dresde n'en seront jamais que des détails !

10 janvier 2014

L'Histoire à l'endroit: la faillite de Mandela par Jean-Claude Rolinat!

 

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19 décembre 2013

Synthèse Nationale sort un nouveau "Bouqin" !

 

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15 décembre 2013

Le vrai visage de Robespierre ( l'image peut choquer les enfants ) !

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« C’est un homme au visage grêlé par la petite vérole, à l’air fatigué par la Terreur qu’il avait fait régner dans un pays débarrassé de son roi. Le vrai visage du révolutionnaire Maximilien de Robespierre (1758-1794) nous apparaît, avec un réalisme surprenant, grâce au talent du Mulhousien Philippe Froesch. Spécialiste mondial de la reconstitution faciale, installé aujourd’hui à Barcelone, cet Alsacien de 49 ans » s’est basé notamment sur un masque mortuaire réalisé à l’époque par la future madame Tussaud.

L’adage discuté « le visage est le reflet de l’âme » nous vient logiquement à l’esprit !    Source

 

 

 

09 décembre 2013

Nelson Mandela : le racisme anti blanc !

Heureusement qu'il y a internet pour remettre les pendules à l'heure. Pour dire par exemple qu'il n'y a aucun rapport entre les bains douches ou les autobus en "noir et blanc" et le génocide et que si l'apartheid préconisait les cultures et le développement séparés - si monstrueux d'ailleurs que des foules immenses de noirs de toutes ethnies ont immigré chez les "racistes" pour y vivre mieux que dans leurs contrées d'origine -  Nelson Rolihlahla Mandela lui a programmé l'avilissement, la spoliation et le massacre des blancs sud africains et particulièrement des Afrikaners. Le "héros" de la lutte contre le racisme n'aurait-il été en réalité qu'un forcené du racisme anti blanc ?