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08 mai 2014

8 mai 1945: le crime de guerre du futur maréchal Leclerc

europe,histoire,crime de guerre,maréchal juin,division charlemagne,prisonniers de guerreLa mort de douze hommes peut paraître anecdotique à côté des millions de victimes de la Deuxième guerre mondiale. Mais l’épisode de « Bad Reichenhall » dérange, car il porte une ombre sérieuse sur l’image du maréchal Leclerc, voire à sa légende dorée.

Début mai 1945, une douzaine de Waffen SS français ayant combattu contre le bolchevisme, rescapés de la Division Charlemagne,  se rendent à l’armée américaine et sont internés dans une caserne de Bad Reichenhall (Haute Bavière).
Le 6 mai 1945, la 2ème DB de Leclerc occupe cette ville ; les SS français décident de s’évader par peur de représailles.
Ils sont finalement capturés dans un petit bois. Ils sont ensuite questionnés par le futur maréchal Leclerc. ( photo ) C’est le 8 mai, jour de la capitulation allemande.

Au cours d’une brève discussion, il reproche à l’un des Français de combattre sous uniforme allemand. Il se voit répondre que lui-même est sous uniforme étranger, américain en l’occurrence.
Leclerc, jugeant cette attitude par trop insolente, décide de les faire fusiller. Sans aucun jugement.

Après avoir chacun refusé d’avoir les yeux bandés, les jeunes Français s’écroulent par groupe de quatre, l’un après l’autre, sous des balles fratricides, en criant « vive la France ! »

Les corps sont laissés sur place conformément aux ordres. Ils seront finalement enterrés à cet endroit quelques jours plus tard, grâce aux pressions d’un aumônier français. Le 2 juin 1949, les corps sont transférés dans le cimetière communal de Sankt Zeno, à Bad Reichenhall.

Cet épisode tragique est parfois controversé, mais une solide enquête établit les faits : c’est le livre d’Eric Lefèvre et Olivier Pigoreau (disponible ici).

source: Contre-Info

 
 
 

23 avril 2014

Rivarol: 3138e numéro!

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Les titres du Rivarol du jeudi 24 avril 2014.

Editorial, billet hebdomadaire, sommaire et abonnement: voir ici.

Soutenir Rivarol est un acte de Résistance au Système!

10 avril 2014

9 avril 1948 : massacre de Deir Yassine, un des actes fondateurs d'Israël!

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9 avril 1948, un télégramme de Menahem Begin au chef du groupe sioniste "Aragon" pour la zone de Al-Quds en Palestine : "Toutes mes félicitations pour cette grande victoire. Dis à tes soldats qu'ils viennent de fabriquer l'Histoire en Israël"
Belle victoire en effet que celle de " l'Opération Unité " qui fit fondre sur le paisible village palestinien de Deir Yassine les "combattants" des groupes terroristes de la Haganah (future Tsahal), de l'Irgoun (dirigé par Begin) et du Lehi (ou groupe Stern commandé par Isaq Chamir)

Vers 04h30 le village ouvert de 750 habitants - d'où la plupart des hommes sont absents, partis pour Jérusalem aux obsèques du chef nationaliste palestinien Abd al-Kader al-Husseini tué au combat la veille - est bombardé au mortier avant que les miliciens ne procèdent au nettoyage maison par maison. La résistance désespérée des villageois est plus forte que prévue, ce qui probablement décuple la rage des assaillants qui vont procéder à un véritable massacre sans distinction d'âge ou de sexe, abattant les fuyards, achevant les blessés à l'arme blanche. Des femmes, des jeunes filles, des fillettes, de jeunes garçon même sont violés, des cadavres sont mutilés, des prisonniers sont exhibés dans un triomphe "à la romaine" avant d'être exécutés, les maisons sont pillées puis détruites. Dommages collatéraux du sionisme triomphant!

Combien de morts? 254 pour les britanniques censés faire régner l'ordre et la sécurité dans le pays. 360 pour la Croix-Rouge. 100 à 120 pour les "historiens" israéliens. Ce qui est certain c'est que Deir Yassine s'inscrit dans le programme du "Plan Daleth" (plan D) prévoyant la sécurisation des zones de la Palestine envahies et contrôlées par les juifs notamment en faisant encercler, occuper et si besoin vider de leurs habitants puis détruire les "centres de population" arabo-musulmans. Du nettoyage ethnique et religieux pur jus!

L'objectif global sera atteint. Ce sera la "Nabka" ( la catastrophe), l'exode de 600 à 800000 palestiniens chassés de leurs terres ancestrales. Dans son livre intitulé "la Révolution", Manahem Begin pourra écrire: "Le massacre de Deir Yassine et les autres contribuèrent à vider le pays de 650 mille Arabes. Sans Deir Yassine, "Israël" n’existerait pas » Un bel acte de naissance.

26 mars 2014

Le Rivarol du 27 mars 2014 : un seize pages spécial "municipales"

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Les titres du numéro 3134 de l'hebdomadaire de la Résistance

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28 février 2014

28 février 1794 aux Lucs sur Boulogne : un épisode du génocide vendéen

france,histoire,révolution,vendée,génocide,mémoireAu soir du 28 février 1794 le soldat Chapelain écrit dans une lettre " Aujourd'hui journée fatigante, mais fructueuse. Pas de résistance. Nous avons pu décalotter à peu de frais toute une nichée de calotins. Nos colonnes ont progressé normalement "

Chapelain était de cette 5e Division de l'armée de l'Ouest commandée par le général Jean-François Cordellier et qui formait la neuvième des "colonnes" du général Turreau envoyées prêcher la bonne parole républicaine en Vendée par Robespierre et ses acolytes.

Chapelain était de ces fuyards "bleus" regroupés par le lieutenant Martincourt après que la colonne eut été durement étrillée par les combattants de Charette et qui se sont cruellement vengés sur les malheureux habitants des Lucs sur Boulogne. Faute de pouvoir se mesurer aux hommes du village qui étaient partis rejoindre les "blancs", Chapelain et ses camarades républicains, au nom de la liberté, de l'égalité et de la fraternité et sous le regard de l'Etre Suprême ont fait oeuvre de "salut public" en massacrant 564 vieillards, femmes en enfants (dont 110 de moins de 7 ans)...au fusil, à la baïonnette pour économiser les munitions et pour finir en beauté en tirant au canon sur la chapelle où les survivants s'étaient réfugiés. Vive la République !