Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

08 octobre 2012

Synthèse Nationale : un nouveau "bouquin" !

europe,france,histoire,synthèse nationale,droite nationale,identité

15 juillet 2012

Notre Histoire : 14 juillet...

france,histoire,philippe auguste,nation,rois de france,mémoire
...1223 : mort à l'âge de 58 ans du roi Philippe II dont notre Histoire a retenu le surnom de "Auguste" que lui avait forgé le chroniqueur Rigord.

Né en 1165, sacré et associé au trône tenu par son père Louis VII en 1179, il est devenu roi de France en 1180 : père de Louis VIII Le Lion - qui ne règnera que 3 ans, 3 mois et 3 semaines- il est le grand père de Saint Louis.

Il fut le souverain capétien au bilan de règne exceptionnel : victorieux de ses puissants voisins ( notamment à Bouvines en 1214 contre une coalition internationale ), il a considérablement agrandi le domaine royal ( Artois, Vermandois, Amiénois, Valois, comtés de Beaumont et de Clermont, Bas-Berry, Normandie, Maine, Saintonge, Anjou, Touraine, sénéchaussées de Nîmes, Beaucaire, Carcassone ) et a fortement renforcé les défenses du royaume ( construction ou remise en état de plus de 100 forteresses et châteaux, une politique symbolisée par la nouvelle enceinte de Paris ). Il a amélioré le fonctionnement de son administration et de ses finances ( les comptes 1202-1203 sont considérés comme le premier budget de la monarchie capétienne ) et laissera un solde somptueux à son successeur.

Surtout, il est le premier capétien à ne plus être seulement le seigneur d'Ile de France mais à mériter le titre de seigneur de France tant par ses conquêtes que par le renforcement des hommages vassaliques ( Bretagne, Auvergne). Son règne a vu poindre un sentiment national confondu avec la fidélité et le dévouement à la couronne; la nation française est en train de naître autour de Philippe, peut-être le premier roi de France" (Jean Flori)

 

 

15 mars 2012

François Hollande : vers la Terreur linguistique!

Mentionné dans notre belle langue française vers 1500 selon le Petit Robert, venu du latin ratio par l'italien razza, le mot race n'a pas l'heur de plaire à François Hollande qui ne le supporte pas, surtout dans un paragraphe de la Constitution. On peut se demander si l'homme s'est laissé aller à prôner l'épuration linguistique dans une soudaine et quasi vaudouesque illumination durant un meeting parisien consacré à l'Outre-Mer et rassemblant un public aussi coloré que chauffé à blanc, ou pour inconsciemment démontrer que le PS avait toujours l'art et la manière de sodomiser les diptères.

france,élection présidentielle,ps,histoire,françois hollande,résistance

Mais on peut aussi se demander si l'apparent égarement du candidat socialiste n'illustrait pas en fait son attachement aux pratiques de ses "grands anciens", ceux de la Révolution Française, les "pères fondateurs" de la République jacobine acharnée à faire table rase pour édifier un monde nouveau coupé du passé au besoin par la force. Ainsi et pour s'en tenir aux "mots", on peut évoquer les décrets de 1793/1794 interdisant "monsieur ou madame" (remplacés par citoyen/citoyenne), proscrivant le "vous" et imposant le tutoiement, mettant en place le ridicule (et fort peu pratique) Calendrier Républicain (qui -outre la "poétisation" des noms de mois- vouait les jours à des produits du terroir), interdisant les prénoms trop liés à "l'ancienne superstition" (remplaçant Pierre, Marie ou Jean par Brutus, Liberathe ou Cerisier) Et puis il y eut aussi les décrets imposant une cure de déchristianisation au pays en interdisant les toponymies contenant des termes "féodaux" ( saint, sainte,roi ou comte...devenant Marat, Régénéré,Libre ou Sans-Culotte ) ou coupant les "citoyens" de leurs racines en proscrivant formellement les "idiomes féodaux", c'est à dire les patois et les langues régionales. Et tout cela sous peine de sanctions, les plus graves parfois!

On a parlé de la "connerie" hollandaise dans cette affaire. Certes, et elle est belle..! car elle révèle un "flamby" digne de ses modèles, les enragés déguisés en humanistes, ceux qui voulaient "changer l'Homme" en changeant jusqu'à son vocabulaire, et qui en vinrent à instaurer la Terreur.   

         

14 février 2012

Invasion migratoire: paroles d'antan !


" Un jour une chienne gravide réclama avec insistance à un berger un endroit où elle pourrait mettre bas. L'ayant obtenu, elle demanda ensuite qu'il lui soit permis d'élever ses petits à cet endroit; à la fin, ses chiots devenus adultes, soutenu par la protection de sa famille, elle exigea la propriété de l'endroit pour ses seuls descendants "

europe,france,identité,immigration,histoire,résistanceC'est par cette fable que l'historien polonais Jan Dlugosz ( 1415-1480) conclut le chapitre de ses Annales du Royaume de Pologne consacré à la lutte entre les rois de Pologne et l'Ordre des Chevaliers Teutoniques pour la possession du Culmerland, province embryonnaire de la Prusse, où -implantant nombre de familles venues de l'Empire Allemand- ils avaient inauguré leur politique de colonisation voire de germanisation systématique. Ce conflit, juridique et armé, entre les Teutoniques et les rois de Pologne pour ces terres concédées en 1230 par le duc Conrad de Mazovie à perpétuité selon les uns, temporairement selon les autres, se répercutera au long des siècles pour trouver un épilogue (définitif?) en 1945. Au-delà de ce contexte et des contreverses qu'il a suscité, la parabole de la chienne de Jan Dlugosz illustre parfaitement le danger mortel encouru par un peuple qui laisse des étrangers s'installer et faire souche sur son sol.

Paroles d'antan qui résonnent comme un avertissement en ces temps où on nous impose une immigration massive, qui plus est allogène et de civilisation radicalement différente de la nôtre, une déferlante d'éxotiques fort prolifiques et tellement assurés par les collabos du mondialisme d'être "chez eux chez nous" que nous risquons d'être colonisés et de devenir des étrangers sur nos terres ancestrales.

 Rassemblement - Résistance - Reconquête ! 

 

06 février 2012

6 février1934 6 février1945 :ces jours où l'on assassinait des patriotes français !

 

europe,france,6 février,corruption,fascisme,robert brasillach

1934 : à l’appel d’organisations patriotiques (Croix-de-feu, Ligue d’Action française, Jeunesses patriotiques, Solidarité française…), des dizaines de milliers de Français, dont beaucoup d’anciens combattants, manifestent à Paris contre la corruption extrême qui règne dans les milieux politiques (l’affaire Stavisky est un élément déclencheur), au cri de « à bas les voleurs ! »

Alors que la tension monte et que les Croix-de-feu se dispersent sagement, rive droite, des heurts ont lieu entre manifestants et flics. La foule s’approche trop du Palais Bourbon au goût du Régime, qui fait tirer les Gardes mobiles sur les citoyens…

22 Français mourront sous les balles de la République et plus d’un millier seront blessés.

La Gauche prétendra qu’il s’est agi d’une tentative de « coup d’Etat fasciste » et dès son arrivée au pouvoir en 1936, dissoudra les puissantes ligues.
Côté patriote, les déçus de la mollesse de Maurras vont créer une organisation clandestine qui fera beaucoup parler d’elle : « la Cagoule ».europe,france,6 février,corruption,fascisme,robert brasillach

 

1945 : mise à mort du poète et journaliste nationaliste Robert Brasillach, à l’âge de 35 ans, victime de l’épuration. (Pour connaître ou lire Brasillach, c’est ici).

source : Contre-Info