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21 octobre 2007

A diffuser!

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       Une bonne initiative de Synthèse Nationale : la réédition sous forme de supplément voltigeur d'un article paru dans la désormais incontournable revue politique et culturelle nationale et identitaire cet été et relative à la "drôle de guerre du parti communiste".

       Un rappel essentiel en cette période de moquétisation à outrance...pour décrasser les esprits et remettre les choses en place!

Un petit clic et un grand choc...  www.synthesenationale.com

12 décembre 2006

Augusto: la dernière pirouette!

medium_salvador_20allende_20y_20fidel_20castro.jpg  Photo révélatrice! Le regard énamouré du leader minimo au leader maximo! C'est de celà et de ses conséquences dont un jour les chiliens n'ont plus voulu!

  Dans la catégorie "l'Histoire à l'endroit" ce blog déjà évoqué la chute de Salvador Allende, l'admirateur éperdu du dictateur cubain. Le petit bonhomme aujourd'hui encensé par le politiquement correct et les médias était pourtant un extrémiste marxiste de la pire espèce,  un minoritaire porté au pouvoir par ruse, conforté dans sa position gràce à l'appui de "brigades internationales" regroupant tout un monde interlope (qui décampera à la première pétarade ) encadré par des milliers de  "conseillers militaires" étrangers, des cubains surtout. Le malheureux Chili était devenu un champ d'expérience pour les dangereuses utopies du "compañero présidente", lui-même véritable pantin manipulé par les cubains.En trois ans, Allende avait complètement ruiné un Chili abandonné aux exactions de groupes gauchistes incontrôlés qui multipliaient assassinats et spoliations et où les produits de première nécessité manquaient cruellement aux plus démunis...il faut rappeler que c'est le Parlement chilien qui finira par demander à l'Armée d' intervenir. C'est Augusto Pinochet qui sera chargé de l'opération salutaire: terré dans son Palais, Allende préfèrera se donner la mort...avec une arme offerte par Castro portant l'inscription" à mon ami, Fidel"!

  Le général Pinochet a sauvé son pays de l'anarchie et de l'emprise castriste, il a su s'entourer de responsables qui ont redressé l'économie, développé la croissance, fait reculer l'analphabétisation et ont porté l'espérance de vie de 63 à 74 ans! Il a certes gouverné sans complaisance aucune à l'égard des tenants de la subversion marxiste mais, que cela plaise ou non, avec le soutien du peuple chilien et c'est volontairement qu'il remettra le pouvoir entre les mains des civils en 1990, comme il l'avait promis, une fois son oeuvre achevée.

  Depuis les roquets du "droitdlhommesque sélectif" ont aboyé à ses basques sans parvenir à le mordre et ils se sont acharnés jusqu'au bout. Dédaigneux, le général s'en est allé dans une ultime pirouette et n'a eu de comptes à rendre qu'à lui-même. Castro lui continue de régner sénilement sur un peuple asservi et un pays exsangue, adulé par les mêmes qui aujourd'hui crachent sur la dépouille du général Augusto Pinochet. Combien de ces "bonnes consciences" se sont fait un devoir d'aller visiter le Fidel sanguinaire? Ce qui me fait invariablement penser au texte d'un dessin humoristique célèbre: " tous les connards vont à Cuba, pourquoi pas vous?" Salut et bon vent, général!      YD                

05 novembre 2006

Novembre 1956: le début de la fin du PC"F"

medium_100px-Anti-communisme_28logo_29.2.gif   Le 4 novembre 1956 au matin, les maîtres de l' Empire soviétique, assurés de la neutralité des Etats-Unis d'Amérique, lâchent l' Armée Rouge sur la Hongrie: 11 divisions blindées dotées de 2000 chars, soutenues par des bombardements aériens et terrestres, déferlent sur le malheureux petit pays et écrasent les patriotes hongrois soulevés contre le régime communiste. A l'instar des "partisans blancs" de l'armée nationale russe en 1920, les insurgés hongrois sont abandonnés à leur sort par le monde occidental: 10 à 15.000 seront tués au combat, massacrés ou exécutés, 200.000 seront contraints de fuir leur pays.

    En France, la vague d'indignation qui soulève l' opinion publique n'empêche pas le Parti Communiste "Français" de s'aligner officiellement sur les soviétiques sans aucun état d'âme. Dans un communiqué, le Bureau Politique du PC"F" approuve clairement  l'intervention soviètique: " Le gouvernement qui a pris en main les affaires du pays (...) a demandé à l' armée soviétique de contribuer à la restauration de la paix intérieure (...) le Parti Communiste Français approuve pleinement la conduite du gouvernement de Hongrie (...) il eut été impensable que l'armée de l' URSS ne répondit pas à l'appel qui lui était adressé " et dans  "L'Humanité", l'immonde éditorialiste André Stil saluera "l'écrasement des fascistes et des contre-révolutionnaires"! Erreur funeste pour les dirigeants communistes français.  Le 7 novembre, tandis que deux immenses manifestations de protestation se terminent à Paris, des milliers de patriotes convergent vers le siège du PC qui est  attaqué, envahi et saccagé; des échauffourées sérieuses ont lieu aussi autour des locaux de l'Humanité, protégés à la hâte par des groupes de gros bras et de tape-dur appelés à la rescousse par les responsables communistes affolés! Des évènements identiques se déroulent dans de nombreuses villes de province.

   Le PC"F" jouera hypocritement en vain les victimes, il va payer cher son alignement sur le "grand frère": 25% de ses adhérents ( selon le rapport interne Servin de 1957 ) et un effondrement aux législatives de 1958 ( 19% alors qu'il avait atteint près de 29% aux lendemains de la Libération! )  Depuis, le "parti de l'étranger" n'a pas cessé de péricliter, au point de ne plus espérer survivre qu'en devenant le "parti des étrangers"...mais çà, c'est une autre histoire!      YD

     

    

   

26 septembre 2006

Un anniversaire chasse l'autre!

medium_280px-Salvador-Allende_Fidel.3.jpg  La date anniversaire des attentats du 11 septembre 2001 sur les Etats Unis d'Amérique a totalement occulté celle du 11 septembre 1973 qui vit la chute du régime marxiste de Salvador Allende au Chili.

  Le bonhomme est devenu la figure emblèmatique du grand humaniste démocrate assassiné par des brutes factieuses et on ne compte plus en France les lieux publics que le " politiquement correct " a imposé de baptiser de son nom. Il y a pourtant quelques vérités à rappeler.

   La Constitution chilienne ne prévoyant qu'un seul tour de scrutin, c'est avec 36,30% des voix qu'Allende a été porté au pouvoir le 4 septembre 1970 face à ses deux adversaires de droite, le Parti National (34,98%) et la Démocratie Chrétienne (27,84%) laquelle restait majoritaire au Congrès. Pour être nommé Président, il a accepté de signer avec les démocrates-chrétiens, un pacte de respect de la Constitution Chilienne, simple concession tactique comme il le reconnaîtra au cours d'un entretien avec Régis Debray. En réalité, " el compañero presidente " voulait imposer au pays un programme de " voie chilienne vers le socialisme " ( la chilena via al socialismo ) largement inspiré par le castrisme.

   Pour conforter sa position Allende s'est appuyé sur des éléments étrangers au Chili: des milliers de gauchistes, de communistes purs et durs ( espagnols et portugais notemment ) et d' utopistes de tous poils venus du monde entier, vite organisés en " brigades internationales " encadrées par des centaines de " conseillers militaires " soviétiques, tchèques, coréens et bien entendus cubains. La " Direccion General de Inteligencia " cubaine surtout intervient en force auprès d' Allende, totalement manipulé au point d'avoir marié sa fille Béatrice à Luis de Onaeven, chef de station de la DGI à Santiago et Fidel Castro lui-même viendra passer officiellement un mois au Chili!

   En trois ans, Salvador Allende va ruiner le pays et le conduire au bord de la guerre civile: la production baisse de 10% par an, l'inflation atteint 500%, le niveau de vie général s'effondre, les grèves sauvages et les spoliations se multiplient, des groupes de gauchistes incontrôlés sèment la terreur. Pire encore, les produits de première nécessité commencent à manquer ( au début septembre 1973, le pays n'avait plus que 4 jours de réserve de farine! ), le rationnement est instauré et le marché noir se développe.

   L' état du pays est tel, que le 23 aoùt 1973, tout à fait légalement, le Parlement chilien, par 81 voix contre 47, demande aux autorités et aux forces armées de mettre fin à la situation. Allende s'accroche au pouvoir, l'affaire sera règlée le 11 septembre. A 09h du matin le palais présidentiel de la Moneda à Santiago est investit: Salvador Allende refuse l'exil proposé par les forces armées et se donne la mort...avec une mitraillette offerte par Castro et dédicacée en ces termes " A mon ami, Fidel " C'est la version officielle, une autre veut qu'il ait été éliminé par ses gardes du corps cubains...sur ordre de son ami Fidel!

   Le Chili a cessé d'être un champ d'expérience marxiste, mais il en avait payé le prix fort pendant trois années. C'est  le général Augusto Pinochet qui va prendre la suite, comme chef de la junte puis comme Président ( on précise rarement qu'en 1980, il a été plebiscité par 67% des électeurs chiliens! ). Il gouvernera jusqu'en 1990...mais çà, c'est une autre histoire.       Yves Darchicourt

  

  

19 juillet 2006

18 juillet 1936: début de la seconde Reconquista

medium_160px-Falange_espa_C3_B1ola_Yugo_y_flechas.2.jpg           En juillet 1936, pendant une séance agitée des Cortès, Dolorès Ibarruri, élue communiste, invective le monarchiste Calvo Sotelo, puis, le désignant du doigt, hurle: " Cet hommme parle pour la dernière fois..."; quelques jours après,, le député est assassiné par des policiers affiliés à la Garde d'Assaut, formation paramilitaire d'exrème-gauche.

           L'évènement était révélateur d'une situation générale de terreur politique et de chaos, instaurée depuis trois ans par une coalition interlope de socialistes radicalisés, de communistes, d'anarchistes et d'autonomistes dont le seul objectif commun était la disparition de l'Espagne traditionnelle. Il sera l'étincelle qui mis le feu aux poudres et précipita le pays tout entier dans la guerre civile. Même avec l'appui technique de l'Allemagne et de l'Italie, les troupes du Général Franco n'auraient pu réussir à mener leur entreprise à bien sans le soutien et le dévouement d'une très forte partie du Peuple espagnol, notemment des quelques 500.000 militants et combattants de la Phalange, dont le Manifeste exprimait le désir de lutter " pour une Espagne grande et libre, pour la patrie, le pain et la justice."

         N'en déplaise aux habituels manipulateurs de l'Histoire et aux aboyeurs patentés, c'est aussi une vague de fond populaire qui a balayé les " rojos ". Fondée par José Antonio Primo de Rivera en 1933, la " Phalange espagnole des JONS " ( juntas de ofensiva nacional sindicalistas ) se veut " ni de droite, ni de gauche, mais d'Espagne "; ses militants portent la chemise bleue traditionnelle des ouvriers espagnoles et prônent une doctrine de rassemblement à la fois nationale, sociale et catholique, adoptant comme emblème le joug et les flèches des rois de la Reconquista. Le Mouvement va très vite s'amplifier dans les milieux populaires, séduits notemment par ses thèses sociales résolument hostiles aux " banques qui s'enrichissent en prêtant à des taux usuraires (...) aux possédants des grandes propriétés qui sans amour ni effort touchent d'énormes loyers (...) à l'épaisse couche d'oisifs qui se maintient sans ajouter la moindre aide aux efforts des autres: entrepreneurs, industriels, commerçants, paysans, pêcheurs, intellectuels, artisans et ouvriers, épuisés par un travail sans illusion "

         Le succès de la Phalange auprès du Peuple espagnol lui vaudra la haine féroce des diverses composantes de l'ultra-gauche; dès le début du soulèvement, des milliers de ses cadres et de ses militants sont arrêtés, emprisonnés, torturés et mis à morts souvent dans des conditions épouvantables; ils sont remplacés par d'autres milliers de volontaires: avec l'armée et les Requetes carlistes, la Phalange sera une des composantes essentielles des forces patriotiques, sans qui la Reconquête nationaliste n'aurait sans doute pas pu aboutir. José Antonio ne verra pas le triomphe de ses camarades, arrêté le 5 juin 1936, il est sommairement jugé par un " tribunal populaire " et exécuté à Alicante le 20 novembre 1936. Quant à Dolorès Iberruri, surnommée la " pasionaria ", elle se distinguera surtout, pendant la guerre civile, par sa férocité à l'encontre des composantes anti-staliniennes des " républicains ", faisant ainsi mentir le diction qui veut que les loups ne se mangent pas entre-eux; partie " résister " en URSS - dont elle deviendra citoyenne - la farouche révolutionnaire mourra nonagénaire...d'une pneumonie!

          L'actuel gouvernement espagnol - celui qui régularise les clandestins à tour de bras - croit venu le temps de remodeler le Souvenir; le socialiste Zapatero entend imposer un projet de Loi dite de la " Mémoire Historique " qui en fait est destinée à imposer une " histoire officielle ", c'est à dire la vision " républicaine " exclusive des évènements: celle que les organes de désinformation nous servent depuis quelques jours, celle du politiquement correct et de la pensée pré-digérée. Gageons que le Peuple espagnol ne s'en laissera pas compter et que nos camarades espagnols sauront s'y opposer: Arriba España!                                    YD