23 octobre 2006
A la prochaine fois!
C'est acquis depuis samedi après-midi: Habib Mezaoui sortira de prison!
En 2001, il a tué froidement trois personnes et en a blessé six autres...pour se procurer de l'argent sans avoir à le gagner. Pourquoi se gêner? La peine de mort a été abolie, la perpétuité n'est jamais plus appliquée et il existe des remises de peine...même pour les tueurs sanguinaires!
Il s'est même trouvé un "maître" Jean-Yves Liénard pour pleurnicher sur son irresponsabilité pénale, pour tenter de lui éviter le procès et obtenir qu'il soit envoyé ronronner dans un douillet centre psychiatrique...d'où il se serait fait la malle encore plus vite qu'il sortira de prison. Car il sortira de prison l'Habib, au pire dans une quinzaine d'années compte tenu de la préventive, il n'aura pas alors 50 ans et sera probablement en pleine forme... pour recommencer à tuer si l'envie lui en prend.
En attendant, comme c'est "un être éminemment dangereux" ( selon ses défenseurs) on va sans doute le faire bénéficier d'un "single", dorloter son âme en peine et l'engraisser benoitement aux frais des contribuables. Ces mêmes contribuables qui financeront en outre un second procès du nuisible en cas (probable) d'appel. Comme aurait pu dire Michel Audiard "à voir la façon dont on chouchoute les salopards, on croirait presque qu'il s'agit d'une espèce en voie de dispartion" Ce n'est hélas pas le cas! Pauvre France! MPD
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13 octobre 2006
La crèpe de Cachan
Comme l'avait juré Sarkozy, l'ordre règne sur Cachan: il n'y a plus de sqatters au gymnase Belle-Image! Le dernier à sortir, hier vers 01h15, a été le "délégué" Fidèle Nitiema, un peu goguenard il est vrai. Et il y a de quoi!
Les derniers irréductibles ( 23 célibataires, 13 couples et 7 enfants ) vont être hébergés aux frais du contribuable dans un hôtel de Roissy en attendant le logement promis. Déjà, leurs 370 congénères - confiés aux bons soins de la Licra, de SOS Racisme et de France Terre d'Accueil par le Rambo des Batignoles - bénéficient de logements gracieusement offerts par le cochon de payant. Car il ne faut pas s'y tromper, les "zassos" chargées de caser tout ce bon monde en priorité absolue ne survivent et ne carburent qu'avec l'argent des subventions, c'est à dire avec celui des Français qui paient leurs impôts: la charité obligatoire en quelque sorte! Un gigantesque bras d'honneur aux milliers de nos compatriotes franciliens sans logis ou mal logés mais qui ont le malheur de respecter la Loi: de quoi donner des idées malsaines!
Les joyeux subventionnés ne s'arrêtent d'ailleurs pas là: ils entendent maintenant obtenir l'attribution définitive de logements sociaux et la régularisation rapide de tous les clandestins du lot ( 158 ) Tant qu'à faire, autant rouler le Niko dans la farine jusqu'au bout...d'autant que le petit bonhomme aspire à une France "plurielle" Gageons que de toute façon le présidentiable auto-proclamé va se féliciter de l'heureux dénouement de l'affaire! Alors pauvre crèpe ou sinistre retors? Espérons au moins que tout cela éclairera le citoyen sur la dangerosité du cuistre! YD (dessin in caricature zone)
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06 septembre 2006
Une leçon bien apprise!
Elodie n'a pas de chance dans la vie: elle a 16 ans et doit vivre au Centre Educatif de Saint-Quentin dans l'Aisne.
Elle a moins de chance encore en cette nuit de fin juillet dernier quand elle tombe sur cinq drôlesses de 14 à 17 ans ( co-pensionnaires du Centre et dont les prénoms n'ont jamais été cités ) qui s'en reviennent de goguette après avoir fait le mur! Elle n'a plus de chance du tout quand celles ci décident de passer un moment avec elle dans sa chambre: en fait de longues heures durant lesquelles trois harpies vont la " travailler au corps " pendant que les deux autres font le guet. Elodie est rouée de coups, tailladée au visage et à un bras avec des lames de rasoir et une paire de ciseaux, ses tortionnaires répandent sur les blessures ouvertes du parfum, du déodorant et de la mousse à raser, puis tentent de l'étrangler avec un fil électrique. Le mauvais sort s'acharne sur la pauvrette, une surveillante émerge des bras de Morphée, fait sa ronde...et ne s'aperçoit de rien. C'est bien tardivement que les cris de la malheureuse finiront quand même par la reveiller tout à fait et que le calvaire d'Elodie prendra fin.
Mais a t-il réellement cessé le calvaire? Ce n'est pas certain, car décidément, Elodie n'a vraiment pas de chance. Les furies qui l'ont martyrisée ne sont pas complètement idiotes et " bien qu'elles n'en ont pas l'air " selon la procureure, elles sont d'ascendance algérienne ( du côté maternel semble t-il ) et elles ont très bien mémorisé la leçon serinée par les " zassos": elles déclarent maintenant avoir agi ainsi parce qu'Elodie aurait proféré des injures racistes à leur encontre! Elles ont quand même été mises en examen pour des " actes de barbarie aggravée ", mais ont changé de foyer sans passer par la case prison. Il est vrai que réagir au racisme, même supposé, c'est quasiment l'excuse absolutoire assurée! La pauvre Elodie peut même craindre le pire...si Mouloud -du- MRAP s'en mêle, c'est elle qui risque d'être condamnée! YD
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01 août 2006
Polémique
Outre les réactions épidermiques habituelles suscitées par la moindre évocation de l'homosexualité, la note consacrée à la volte face du maire de Madrid à ce sujet, a pu faire croire à certains que nous faisions planer inconsidérément des doutes quant à la force de conviction des futurs représentants du FN.
A lire posément on peut se rendre compte que c'est exactement le contraire. " Il reste maintenant à convaincre nos concitoyens que les candidats-édiles ( nota:la note porte sur le cas d'un maire ) du mouvement national qui se présenteront à eux sont ( nota: affirmation et non supposition ) des hommes et des femmes qui ne dérogent jamais ( nota: affirmation itou ) à leurs principes, quelles que puissent être les circonstances et qu'en aucun cas ( nota: sans exception ) ils ne tourneront ( nota: affirmation encore ) avec le vent ". Il semblait pourtant que la trituration des phrases, la recherche du non-dit et celle du dit-caché était une méthode exclusivement stalinienne.
Quant à en convaincre nos concitoyens, c'est malheureusement indispensable: toutes études et sondages tendent à prouver que les citoyens français s'éloignent de plus en plus de la politique et sont de plus en plus méfiants vis à vis des femmes et des hommes qui s'y consacrent. Il faut dire que le spectacle donné en quasi permanence par les tenants de l'UMPS et de leurs satellites y est pour beaucoup. Il s'agit donc bien de convaincre que le FN apporte un soin tout particulier à ne faire porter ses couleurs que par des femmes et des hommes aux convictions enracinées et qui ne diront pas comme Edgard Faure: " ce n'est pas moi qui tourne, c'est le vent " An Front National cela va sans dire, mais cela va encore mieux en le disant et en le prouvant afin que nos concitoyens en soient convaincus.
Le reste du texte portait sur le cas précis de Ruiz-Galardon qui vient de jouer les girouettes de façon éclatante, alors que rien ni personne ne pouvait le contraindre à célébrer lui-même le " mariage " que beaucoup d'espagnols, en tous les cas ceux qui l'on élu "considèrent comme une parodie sinon une pantalonade. Quant aux commentaires oiseux, ils sont supprimés sans réponse à leur prise de connaissance. Il est donc inutile de polémiquer, d'autant plus que le mot vient du grec " polemikos " signifiant " qui a trait à la guerre " et que la guerre civile est la pire de toutes. MP/Y/D
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20 juillet 2006
Touristiquement correct!
Le politiquement correct et la repentance obligée règnent aussi dans la très touristique cité d'Amboise: témoin cette plaque attribuant le nom de l'émir Abd el Kader à la majestueuse rampe d'accès au château royal, en plein centre ville, dans l'exact prolongement de la rue François Ier, emruntée régulièrement par des milliers de visiteurs. Il faut dire que l'émir y fit un séjour forcé durant cinq années après sa reddition, prison dorée où il fut royalement entretenu avec sa suite de 97 personnes dont sa vieille mère, ses trois épouses et ses deux fils, avant d'être libéré sur intervention personnelle de Napoléon III en 1852 et d'être envoyé en exil à Damas. Farouche adversaire des Ottomans puis des Français, Abd el Kader fut un combattant déterminé et dans l'ensemble fort correct, si l'on excepte quelques facéties comme la mise à mort par égorgement du Commandant Raffet et de ses 200 hommes en 1839. On objectera qu'après tout l'émir ne faisait que s'opposer à une invasion; exactement comme le fit Charles-Martel dont aucune rue ne porte le nom en Algérie...ni probablement en France d'ailleurs! Repentance, quand tu nous tiens! MPD
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