20 octobre 2013
Valeurs Actuelles : un numéro spécial consacré à la Taubira !
A découvrir aussi cet article de Valeurs Actuelles sur la tentative faite par la Taubira pour faire annuler la condamnation d'un de ses fils pour complicité de vol au prétexte que celui-ci " à chaque fois qu’il subit un contrôle d’identité, la consultation du fichier provoque sa conduite au commissariat "...c'est à croire que son rejeton était régulièrement controlé par la police ! On se demande bien pourquoi... source
14:42 Publié dans Information Culture | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : france, justice, laxisme, criminalité, taubira, ps
08 octobre 2013
Sarkozy délesté de l'affaire Bettencourt : simple péripétie ripoublicaine !
Nicolas Sarközy vient d'être libéré d'un de ses boulets judiciaires par les deux juges d'instruction du Tribunal de Grande Instance de Bordeaux chargés du dossier "Liliane Bettencourt" Les deux robins ont estimés "ténus" (et donc pas inexistants) les éléments à charge retenus contre l'ancien président de la république dans cette navrante affaire d'abus de faiblesse.
On sait que le petit Nicolas était suspecté d'avoir profité de la "sénilité" de la richissime Liliane pour lui soutirer d'importants fonds destinés à financer sa campagne électorale de 2007 et que la Chambre de l'Instruction bordelaise a validé les premières conclusions des juges, une décision juridiquement contestée par Sarközy jusque devant la Cour de Cassation. C'est sans attendre l'arrêt de cette instance que les magistrats instructeurs ont cette fois décidés de ne pas envoyer le politicien sur les bancs de la correctionnelle aux côtés de dix autres mis en examen dont Eric Woerth, ancien ministre du budget puis du travail des gouvernements Fillion.
Nicolas Sarközy peut certes pérorer sur son innoncence enfin reconnue de façon éclatante et laisser entrevoir le prochain épisode de "Sarko ! Le Retour" prévu pour 2017; il n'en reste pas moins qu'il apparaît aussi dans plusieurs autres affaires ( Karachi, Tapie, les sondages de l'Elysée, Kadhafi ) Toutes autres péripéties politico-judiciaires aux relents nauséabonds qui - avec tant d'autres - illustrent bien l'état de décadence morale de la moribonde ripoublique en mettant en cause des politicards représentatifs de tous les partis du Système.
Nous allons bientôt célébrer le 80e anniversaire des évènements du 6 février 1934 et rendre hommage aux patriotes victimes de la répression ripoublicaine, à tous ces braves gens de français mitraillés et sabrés pour avoir crié " à bas les voleurs " aux portes du Palais Bourbon et dont les mânes nous appellent au rassemblement, à la résistance et à la reconquête. Achevons la ripoublique !
14:26 Publié dans France | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : france, justice, affaires, politiciens
23 juin 2013
Arras : le procureur Hugues Weremme dans le collimateur de la PJ ?
Dans son édition du 19 juin, l'Avenir de l'Artois reprend un article de Médiapart ( voir ici ) selon lequel Hugues Weremme, actuel procureur de la république près le TGI d'Arras, apparaît dans une enquête préliminaire dilligentée par la PJ de Lille pour malversations et recel de malversations mettant en cause un liquidateur judiciaire lillois et une avocate du barreau de Béthune.
Il semble que le robin, à l'époque juge d'instruction à Lille, se soit rendu acquéreur en 1990, dans des conditions pour le moins "troublantes" d'une propriété à Grancourt dans la Somme, à 30 km d'Arras. L'ensemble immobilier ( 5 hectares, deux étangs, une île, une maison et une dépendance d'été ) a été vendu dans le cadre d'une liquidation judiciaire pour 1,25 millionFF (280.000€) dont finalement à peine la moitié aurait été réellement payée. C'est en septembre 2012, à la clôture de la liquidation - qui a incroyablement duré (artificiellement ?) 22 ans - que les plaignants ont découvert que leurs biens avaient été vendus à vil prix, notamment sans motivation pour le non-recourt à une mise aux enchères, soit la propriété en question mais aussi une pharmacie, un restaurant, des appartements et des garages...d'où suspicion de malversations. Il est également fait état de l'évaporation d'une caution judiciaire de 122.000€ mais aussi de pressions exercées par des policiers du commissariat d'Arras sur les plaignants qui auraient été priés d'arrêter d'emmerder le procureur ! Alerté, le Procureur Général près la Cour d'Appel de Douai a quand même alors décidé de faire diligenter une enquête par la PJ.
Ce n'est ni la première ni la dernière fois que des charognards du petit monde judiciaire profitent de leur détresse pour spolier des citoyens amenés à la liquidation des biens et pour profiter - ou faire profiter leurs relations - de cette spoliation. L'intéressant ici est qu'apparaît dans l'affaire un procureur de la république ( ou de la ripoublique ) - bénéficiant bien évidemment de la présomption d'innocence - qui est aussi le même qui depuis une année persécute judiciairement un de nos amis rivaroliens arrageois pour des écrits estimés incorrects au regard des lois liberticides de la France plurielle. L'avenir dira si d'aucun ne devrait pas s'épouiller la tonsure avant de chercher la petite bête dans la toison des autres !
16:15 Publié dans Région | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : france, artois, arras, justice, police, corruption
22 juin 2013
Collectif pour la Défense des Libertés Publiques : conférence de presse !
Vendredi après-midi s'est tenue dans le salon d'un grand hôtel parisien une conférence de presse afin de lancer le Collectif pour la défense des libertés publiques. Richard Roudier, Président du Réseau Identités, Roland Hélie directeur de Synthèse nationale, et l'écrivain Eric Miné ont présenté les objectifs du collectif. Renaud Camus, auteur du livre Le grand remplacement, et Christian Vanneste, ancien député du Pas-de-Calais, et l'essayiste Guillaume Faye, ainsi que de nombreuses personnalités dont la liste sera publiée prochainement, ont d'ores et déjà apporté leur soutien à cette initiative.
Voici le texte du document distribué aux journalistes présents :
"Au moment où des opposants à la loi Taubira, tel le jeune Nicolas, sont interpelés par centaines, au moment où l'on emprisonne des jeunes nationalistes, tels Estéban et l'un de ses camarades, qui ont eu le courage de se défendre face à une agression gauchiste, au moment où on interdit des manifestations, telle que celle prévue samedi prochain pour demander la dissolution de l'Assemblée nationale à Paris, au moment où le Conseil de Paris cherche à faire fermer le bar associatif non-conformiste "Le Local", au moment où le gouvernement s'apprête à dissoudre des organisations patriotiques telles Troisième Voie ou les JNR, il est plus que temps de réagir. C’est pour cela que vient de se créer le Collectif pour la défense des libertés publiques.
Ce qu’il est convenu d’appeler « l’affaire Méric », à savoir l’agression par un groupe gauchiste de jeunes patriotes rue Caumartin à Paris le 6 juin dernier, risque d’avoir comme conséquence la dissolution de plusieurs mouvements nationalistes (en l’occurrence Troisième Voie, les JNR et l’association qui gère le bar associatif non-conformiste Le Local). Il s’agit là d’un véritable scandale dans la mesure où aucune de ces organisations n’est directement, ou indirectement, impliquée dans cette affaire.
Les reproches faits à ces organisations relèvent plus de la fantaisie et du fantasme que d’autre chose. D’ailleurs, Serge Ayoub, au nom de Troisième Voie (rappelons que les JNR n’ont aucune existence administrative) vient de répondre points par points à chacune des accusations portées contre son mouvement
En réalité, nous assistons à une dérive totalitaire du pouvoir qui cherche par n’importe quel moyen à sortir de la crise engendrée par son obstination à vouloir imposer la Loi Taubira sur la dénaturation du mariage. Cette « affaire Méric » est tombée à pic pour essayer de discréditer les forces d’opposition à sa politique désastreuse. Après avoir tenté plusieurs provocations et manipulations (démonstration des Femen lors du défilé antimondialiste du 12 mai à Paris, incidents violents volontairement provoqués au moment de la dispersion de la manif du 24 mai…) le pouvoir prétexte maintenant cette rixe qui a mal tourné pour tenter d’enrayer la contestation qui ne cesse de croitre. C’est inadmissible.
Le seul « hic » que le pouvoir n’avait pas prévu, c’est que les patriotes n’entendent pas se laisser réduire au silence sans réagir. Le Collectif pour la défense des libertés publiques qui vient de se créer à l’initiative de plusieurs personnalités et qui est animé par Richard Roudier, Président du Réseau identité et fondateur du CEPE (Comité d’entraide aux prisonniers européens) et Roland Hélie, directeur de la revue Synthèse nationale, coordonne toutes les ripostes qui seront nécessaires pour mettre à bas les prétentions liberticides du pouvoir.
En voulant détruire les organisations patriotiques le gouvernement ne fait que les renforcer. En jetant en prison des jeunes qui ne font que se défendre ou manifester, le gouvernement est en train de monter contre le Système qu’il est censé servir une partie de plus en plus importante de la jeunesse de France
16:25 Publié dans Actions militantes | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : france, justice, ps, dictature, résistance, synthèse nationale
2 poids 2 mesures : intolérable a-justice des robins taubiresques !
Nicolas, étudiant jamais condamné, se retrouve incarcéré à Fleury-Mérogis : il a été condamné à quatre mois d'emprisonnement dont deux avec sursis et 1000€ d'amende pour avoir résisté, seul, aux violences disproportionnées d'une bande de 5 à 6 "policiers" infiltrés au sein de la Manif'pour Tous. Les robins qui l'ont condamné doivent pourtant le savoir : depuis la loi pénitentiaire de 2009, pour une peine de prison ferme inférieure à 2 ans, le principe est l'aménagement de peine (bracelet électronique, travail d'intérêt général) et rares sont les condamnés qui partent directement en prison surtout pour des condamnations inférieures à 6 mois. La règle générale est d'ailleurs plutôt le laxisme le plus large avec la Taubira et son Syndicat du "murs des cons"
Quelques exemples relevés au cours des deux derniers mois par l'Institut pour la Justice : 8 mai 2013 Evreux : un individu a passé à tabac sa femme et sa fille, il prend 8 mois dont 2 ferme mais repart libre en attente d’un aménagement de peine; 24 mai 2013 à Laon : un récidiviste est condamné à 8 mois ferme pour car-jacking : il sort libre du tribunal;
5 juin 2013 : un récidiviste prend 6 mois ferme pour incendie volontaire : il n’est pas écroué; 11 juin 2013 : un homme coupable de mise en danger de la vie d’autrui et de violences sur des policiers à Trappes n'est condamné qu' à 8 mois de prison avec sursis;
12 juin 2013 : pour l’attaque du RER D et de ses passagers, aucune peine de prison ferme n’est prononcée pour les auteurs de vols avec violences et relaxe pour nombre de participants; 12 juin 2013 encore: un pédophile coupable d'agression sexuelle sur une fillette de 11 ans dans les Ardennes s'en sort avec 18 mois avec sursis; le 14 juin 2013, un homme qui terrorisait et violait régulièrement sa voisine a été condamné à 18 mois ferme, sans mandat de dépôt à l’audience etc..!
Des brutes caractérisées, des néfastes, des nuisibles même récidivistes bénéficient de la mansuétude de l'a-justice taubiresque qui en revanche s'acharne sur les citoyens honnêtes qui ont le front de protester contre des lois qu'ils ont le droit de considérer iniques et de résister à des racailles à qui on a conféré inconsidérément le statut de fonctionnaire de police. Cela ne doit pas durer et ne durera pas : Rassemblement Résistance Reconquête !
16:08 Publié dans Faits et gestes...chiffres et paroles | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : france, justice, laxisme, répression, dictature, résistance