27 mai 2014
Europe de Bruxelles: les Français doivent pouvoir choisir d'y reste ou non!
Communiqué de presse de Carl Lang président du Parti de la France
Le fantôme du Non du peuple français au référendum de 2005 sur le projet de Constitution européenne vient de sortir de sa boîte. En mai 2005, 54,7 % des Français refusaient la ratification d’une Constitution européenne et pourtant cette Constitution transformée pour l’occasion en Traité européen de Lisbonne se trouvait validée par le Parlement réuni en Congrès. Près de dix ans plus tard, la politique du mépris des peuples menée par la caste de Bruxelles et par les partis euro-fédéralistes vient d’être lourdement sanctionnée lors du scrutin européen d’hier.
Les dirigeants et fonctionnaires de l’Union européenne et la classe politique des partis de gouvernement en Europe n’ont pas vu venir le vote de colère et de rejet qui s’est exprimé hier dans les urnes.
En France, le ras-le-bol cumulé des échecs lamentables de la gauche, des divisions et des affaires de l’UMP ajoutés à l’inefficacité ou à la nocivité des politiques européennes ont fini par provoquer un immense écœurement de l’opinion, puis le rejet et la colère.
Le vote de rejet de l’Europe de Bruxelles et de ses politiques ainsi que le vote de colère contre les partis de gouvernement viennent de s’exprimer clairement, d’une part avec une abstention massive de près de 57% et d’autre part avec un cumul des voix anti européennes à près de 30% des suffrages exprimés.
Et maintenant, après le rejet, quel projet ?
Les Français souhaitent-ils jeter le bébé de l’idée européenne avec l’eau du bain de cette Union européenne là ? Personne, parmi les partis médiatiquement autorisés n’a défendu durant cette campagne le projet d’une grande Europe européenne des patries, des nations souveraines et des peuples libres, fière de son héritage historique, de ses frontières, de ses valeurs de civilisation, de ses racines chrétiennes, d’une Europe indépendante refusant la soumission au nouvel ordre mondial et refusant la destruction de ses identités culturelles et historiques par la politique criminelle de colonisation migratoire et islamiste. Une Europe matérialiste et nihiliste, sans identité et sans âme n’a en effet pas plus d’avenir que les nations et les peuples qui n’ont plus eux même ni mémoire, ni identité, ni fierté. Ajouter le néant historique au néant des valeurs ne constituera jamais une force.
Si le choix ne se résume plus qu’à un non choix entre l’Europe de Bruxelles et l’Europe de Bruxelles, alors, après le désastre électoral de son camp, le Président de la République se doit d’interroger le peuple français par référendum sur la question de savoir si la France doit ou non rester membre de l’Union Européenne. Les partis politiques et les citoyens assumeront ainsi clairement leurs choix et leurs responsabilités.
14:26 Publié dans Europe | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : europé, élections européenne, eurocratie, france, mondialisme, europe des patries
15 mai 2014
25 mai: laissons pourrir l'eurocratie!
15:54 Publié dans Europe | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : europe, élections européennes, eurocratie, immigration, islamisation, identité
13 mai 2014
Elections Européennes: je suis européen, je vote blanc!
Un communiqué d'Alsace d'Abord :
Pour qui faut-il voter le 25 mai prochain ? Il est terriblement difficile pour ceux qui, comme nous, rêvent d’une Europe unie et puissante, sûre d’elle-même, de son identité et de son avenir, de choisir pour qui voter.
Le mode de scrutin, le périmètre des circonscriptions, l’articulation avec la désignation du président de la Commission européenne, tout cela est d’une telle complexité que les citoyens vont une fois de plus s’éloigner des urnes. Le Traité de Lisbonne n’a pratiquement rien changé à l’opacité des mécanismes.
Les groupes politiques du Parlement européen ont proposé leurs candidats à la succession de Barroso à la présidence de la Commission de Bruxelles. Il est attristant de constater que les cinq candidats sont tous, sans exception, favorables à l’entrée de la Turquie dans l’Union européenne. Jean-Claude Juncker, soutenu par l’UMP, Martin Schultz, candidat des socialistes, et Guy Verhofstadt, soutenu par l’UDI et le Modem, oeuvrent depuis des décennies au sein des institutions européennes en faveur de l’intégration de la Turquie. Nul ne pourra se déclarer surpris ou trompé. L’hypocrisie de l’UMP est à cet égard sans limite.
La question turque n’est certes pas la seule qui détermine l’avenir européen, mais elle est fondamentale car elle fonde la nature même de ce que sera l’Union demain. Le projet de traité de libre-échange transatlantique est un autre sujet d’inquiétude. Des négociations non transparentes se déroulent en ce moment au mépris des droits des citoyens et des élus, parce que les chefs d’État et de gouvernement européens en ont ainsi donné mandat à la Commission.
Les listes UMP, PS, centristes et écologistes auront en face d’elles les listes souverainistes du FN et de Debout la République qui prônent la sortie de la zone euro et de l’Union européenne.
Le choix qui s’offre aux partisans sincères de la construction européenne est dramatiquement étriqué : d’un côté, les nationalistes qui veulent revenir au franc et tourner le dos à l’Union ; de l’autre, les boutiquiers qui ne voient dans l’Europe qu’un grand marché et veulent l’étendre à la Turquie.
Parce que nous nous faisons de l’Europe une plus haute idée, parce que nous nourrissons pour notre continent de plus grandes ambitions, parce que les partis politiques nationaux français sont incapables d’offrir des perspectives nouvelles, nous choisissons de voter Blanc.
11:00 Publié dans Europe | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : europe, élections européennes, eurocratie, identité, immigration, résistance
24 février 2014
Ukraine: réflexion sur une tragédie !
Article publié sur l'excellent blog de nos amis et camarades wallons de Nation
Les tragiques évènements qui se passent en Ukraine sont une parfaite illustration de ce qui se passe lorsque des patriotes et des nationalistes se laissent guider par des ressentis plutôt que par une conscience politique.
Bien sûr, le président ukrainien est loin d’être un exemple. Bien sûr, les Ukrainiens sont un peuple fier qui a longtemps subi le joug de la Russie Soviétique.
Mais les patriotes et nationalistes ukrainiens sont en train de donner leur sang pour qu’au final, l’Ukraine subisse un autre joug, le pire qui soit : celui du mondialisme destructeur des identités et des peuples.
Car lorsqu’on voit le degré d’organisation et les moyens dont disposent l’opposition (matériel de communication, logistique, tentes, cuisines, matériel médical, militants formés aux techniques de guérilla urbaine, armes, etc…), même les plus naïfs sont bien obligés de constater que l’opposition ukrainienne est massivement soutenue par des forces extérieures, en l’occurrence des fondations occidentales dont on sait qu’elles sont des antennes des services américains…
En fait, ces patriotes ukrainiens fiers de leur identité et de leurs valeurs et qui meurent en chantant leur hymne national, le font au profit de forces qui demain détruiront leur identité, nieront leurs valeurs et feront disparaître leur hymne national dans le chaos du mondialisme.
Cette tragédie nous rappelle que le combat politique doit toujours commencer par une analyse politique, par une vision globale de la situation et par la définition claire de qui est l’ennemi. A défaut de cela, le combat finit toujours par être manipulé et récupéré. SOURCE
11:16 Publié dans Europe | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : europe, ukraine, eurocratie, identité, liberté, résistance
02 novembre 2013
Union Européenne : les vécés de la Commission !
La Commission européenne vient de présenter un rapport dans un domaine dont l'importance n'échappera à personne et qui fait suite aux brillantes conclusions d'éminents spécialistes en vécés et urinoirs et selon lesquels " deux éléments-clefs apparaissent dans la consommation d’eau des toilettes et des urinoirs : leur conception et le comportement de l’utilisateur "
Comme il est sans doute très difficile de légiférer dans un domaine aussi intime que le comportement de l'européen moyen dans les lieux d'aisance, la Commission s'est contentée de prôner une normalisation de la contenance des réservoirs de chasses d'eau et des flux d'urinoir à l'échelle de l'Union Européenne. Ce n'est pas rien tout de même ! Pensons un instant au bouillonnement neuronique indispensable sur un sujet aussi pointu et du nombre de paramètres à estimer en la matière, ne serait-ce que le problème soulevé par la grande variété des étrons européens et notamment leur consistance variable selon les habitudes alimentaires des peuples concernés !
Il aura donc fallu trois ans de dur labeur pour que soit établi un rapport de 122 pages aboutissant à l'impérieuse nécessité de normaliser la contenance des réservoirs des chasses d'eau et des urinoirs de l'Union Européenne et de fixer celle-ci à 5 litres pour l'évacuation des vécés et 1 litre pour les isoloirs faïencés des dames-pipi : normes indispensables pour obtenir l'Eco-Label correspondant et que nos voisin britanniques ont déjà surnommé l'euroflush (euro chasse d'eau)
En plus des indemnités coquettes de chacun des dix eurocrates chargés de la besogne ( 4 à 5000€ par mois ) et ayant oeuvré à Bruxelles et à Séville pour varier les plaisirs, il faut ajouter un budget de 89300€ généreusement octroyé par les contribuables européens via la Commission. Cela fait un peu cher la page de rapport ! Mais ne chipotons pas, le problème est autrement plus impérieux que la crise, le chômage endémique, la misère grandissante et l'invasion migratoire exotique ! Il suffira pour s'en convaincre de se procurer l'opuscule eurocratique, un document de première importance que seuls des indignes jugeront tout juste bon à être parcouru d'un derrière distrait !
17:13 Publié dans On marche sur la tête | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : europe, eurocratie, union européenne, eurocrates, crise mondiale, immigration