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06 novembre 2013

Amiens : 16 novembre 2013 rassemblement contre l'islamisation !

Manif-Amiens-16-11-13.jpgCommuniqué du Parti de la France : réponse de Thomas Joly - secrétaire général du Parti de la France - au Préfet de la Somme

Monsieur le Préfet,

 J’ai bien pris connaissance de votre courrier qui m’a été remis par la gendarmerie jeudi 31 octobre et dans lequel vous exprimez vos craintes à l’égard du rassemblement que le Parti de la France entend organiser samedi 16 novembre à Amiens-Nord devant le terrain où doit s’ériger une gigantesque mosquée répondant au doux nom pacifique de « La Conquête (Al Fath) ».

 Vous reconnaissez vous-même que le quartier nord d’Amiens abrite un nombre important de musulmans et que des « violences urbaines importantes » s’y déroulent régulièrement. Vous mettez en avant que notre rassemblement visant à dénoncer l’islamisation, la colonisation et l’insécurité dans ce quartier « est de nature à provoquer des oppositions vives de groupes issus du quartier » [comprendre : des bandes ethniques de voyous] « voire des contre-rassemblements compte-tenu de son objet même » [comprendre : des groupes islamistes revendicatifs ou des contre-manifestants d’extrême-gauche].

Les Français attachés à leur identité doivent-ils comprendre qu’Amiens-Nord est une zone de non-droit que les pouvoirs publics ont abandonné et que la liberté d’expression politique et publique n’y est plus assurée afin de ne froisser ni la racaille, ni les islamistes, ni l’extrême-gauche xénophile et islamophile ?Enfin, vous rappelez qu’en octobre 2012, vous avez interdit, au mépris des règles élémentaires de libre circulation des personnes sur le territoire national, à Yvan Bénédetti, Alexandre Gabriac et moi-même de simplement nous rendre dans le quartier d’Amiens-Nord alors qu’aucun rassemblement n’était prévu et que seule une conférence de presse devait avoir lieu devant les ruines encore fumantes de l’école Voltaire suite aux émeutes estivales.

Le Parti de la France n’entend faire aucun compromis quant au lieu hautement symbolique du rassemblement du 16 novembre et nous déclinons votre proposition d’opter pour un autre endroit à Amiens où vous pensez encore pouvoir maintenir l’ordre. Il est absolument hors de question d’aller dénoncer l’islamisation et la colonisation migratoire dans les beaux quartiers de la capitale picarde parce qu’Amiens-Nord ferait partie de ces zones urbaines (près de 2.000 sur tout le territoire national) où l’ordre public n’est plus assuré en raison de la lâcheté de nos gouvernants.Je vous invite à tout mettre en œuvre pour assurer le bon déroulement de notre rassemblement afin de faire respecter notre liberté d’expression et à ne pas céder aux éventuelles pressions de groupes confessionnels, ethniques ou politiques et de garantir la pluralité politique à Amiens. Dans le cas où vous céderiez à ces pressions et décideriez d’interdire notre rassemblement, le Parti de la France en tirerait toutes les conclusions politiques qui s’imposent.

Restant à votre disposition, je vous adresse, Monsieur le Préfet, mes salutations distinguées.

 

 

 

 

03 novembre 2013

Affaire Léonarda : incroyable mais vrai !

Leonarda   ce n'est pas fini !1.jpg

02 novembre 2013

Union Européenne : les vécés de la Commission !

europe,eurocratie,union européenne,eurocrates,crise mondiale,immigrationLa Commission européenne vient de présenter un rapport dans un domaine dont l'importance n'échappera à personne et qui fait suite aux brillantes conclusions d'éminents spécialistes en vécés et urinoirs et selon lesquels " deux éléments-clefs apparaissent dans la consommation d’eau des toilettes et des urinoirs : leur conception et le comportement de l’utilisateur "

Comme il est sans doute très difficile de légiférer dans un domaine aussi intime que le comportement de l'européen moyen dans les lieux d'aisance, la Commission s'est contentée de prôner une normalisation de la contenance des réservoirs de chasses d'eau et des flux d'urinoir à l'échelle de l'Union Européenne. Ce n'est pas rien tout de même ! Pensons un instant au bouillonnement neuronique indispensable sur un sujet aussi pointu et du nombre de paramètres à estimer en la matière, ne serait-ce que le problème soulevé par la grande variété des étrons européens et notamment leur consistance variable selon les habitudes alimentaires des peuples concernés ! 

Il aura donc fallu trois ans de dur labeur pour que soit établi un rapport de 122 pages aboutissant à l'impérieuse nécessité de normaliser la contenance des réservoirs des chasses d'eau et des urinoirs de l'Union Européenne et de fixer celle-ci à 5 litres pour l'évacuation des vécés et 1 litre pour les isoloirs faïencés des dames-pipi : normes indispensables pour obtenir l'Eco-Label correspondant et que nos voisin britanniques ont déjà surnommé l'euroflush (euro chasse d'eau)

En plus des indemnités coquettes de chacun des dix eurocrates chargés de la besogne ( 4 à 5000€ par mois ) et ayant oeuvré à Bruxelles et à Séville pour varier les plaisirs, il faut ajouter un budget de 89300€ généreusement octroyé par les contribuables européens via la Commission. Cela fait un peu cher la page de rapport ! Mais ne chipotons pas, le problème est autrement plus impérieux que la crise, le chômage endémique, la misère grandissante et l'invasion migratoire exotique ! Il suffira pour s'en convaincre de se procurer l'opuscule eurocratique, un document de première importance que seuls des indignes jugeront tout juste bon à être parcouru d'un derrière distrait !

30 octobre 2013

Médecine: la France importe des diplômés étrangers et limite le nombre de ses étudiants!

france,santé,médecine,immigration,numerus clausus,identitéDepuis 1971 en France, la pratique du numerus clausus à la fin de la première année d'une filière de santé limite le nombre d'étudiants admis à poursuivre en 2e année et ce dans le but de réguler le nombre de professionnels en activité. A l'issue des épreuves terminales de l'année universitaire 2012/2013, seuls 7492 étudiants français en médecine pouvaient espérer être autorisés à poursuivre leur cursus.

Paradoxalement, le manque de praticiens commence à se faire sentir dans notre pays comme l'illustrent les "déserts médicaux", les urgences débordées, les consultations à la chaîne dans des cabinets surchargés ou les faramineux délais d'attente d'un rendez-vous auprès de plus en plus de spécialistes. Par ailleurs, on constate une augmentation croissante du nombre de médecins autorisés à exercer en France bien que n'étant titulaires que de diplômes étrangers : ils représenteraient aujourd'hui par exemple 30 à 40% des praticiens répertoriés par l'Ordre en Languedoc-Roussillon selon l'Union Régionale des Médecins Libéraux qui dénonce l'intégration d'un grand nombre de médecins à diplômes étrangers comme un facteur de risque de perte de la culture et des valeurs inhérentes à la médecine française, tant dans l'approche de la maladie, de la douleur et de la mort, que dans l'exercice professionnel.

Ce n'est bien évidemment pas l'avis du gouvernement écolo-socialiste qui facilite l'immigration médicale et délivre allègrement des autorisations à exercer la profession de médecins à des fournées entières de gens formés au Maghreb ou en Afrique noire - ou pourtant leurs compatriotes et congénères manquent si cruellement de soignants que la France y envoie des coopérants et des humanitaires -   comme l'atteste la "promotion" du 18 mars dernier. Une immigration de confort de diplômés étrangers dont on peut douter d'ailleurs qu'ils iront pratiquer dans les "quartiers" où aucun médecin français ne veut plus mettre les pieds sans escorte. Une immigration "choisie" non pour son utilité ou sa valeur mais pour ce qu'elle travaille à métisser la société française en habituant le gaulois à voir dans sa rue des plaques de cuivre gravées de noms exotiques tout comme on l'habitue à voir son horizon barré de minarets plutôt que de clochers et de beffrois.

 

25 octobre 2013

Garantie Jeune ou Prime Glandouille...c'est toujours le contribuable qui paie !

france,éducation,formation,emploi,aides publiques,immigrationL'hebdomadaire Valeurs Actuelles l'a baptisée fort justement " la prime glandouille ": c'est la "garantie jeunes", un énième allocation que le gouvernement écolo-socialiste expérimente depuis le 02 octobre dernier dans dix zones "sensibles" sélectionnées dans onze départements - dont les inévitables 9-3 (Seine St-Denis) et Bouches du Rhône fort riches en allocationalisés de tous poils.

Les bénéficiaires de cette nouvelle manne subventionnée par les contribuables gaulois sont des 18-25 ans "précarisés", c'est à dire sortis de l'éduc'nat' sans diplôme (ni connaissances d'ailleurs) sans aucune formation et le plus souvent non inscrits à Pôle Emploi et qui touchent 434€ par mois en contrepartie d'engagements aussi fumeux qu'illusoires: participer à des groupes de travail, suivre une formation (connaissant le profil des sujets quelles entreprises, quels artisans ou commerçants accepteront de bon gré de les prendre en charge même épisodiquement...à moins de bénéficier de contrats aidés), rechercher un logement (?), recevoir des soins médicaux (vive la CMU!) et déclarer toutes leurs autres ressources (fini la tune du business ?)

Il ressort que les bénéficiaires de cette prime sont des jeunes hommes à près de 50% totalement inactifs (professionnellement s'entend) originaires surtout d'Afrique noire et à un moindre degré d'Europe de l'Est (albanais, kosovars...) sans qu'il soit même nécessaire qu'ils soient titulaires d'un titre de séjour ! Il n'est pas venu à l'idée des idéologues qui nous gouvernent de plutôt soutenir les étudiants et les apprentis français en difficulté parce qu'issus de familles françaises confrontées à la dureté des temps, c'est à dire des jeunes gens ayant fait preuve d'une volonté réelle d'acquérir diplômes ou formation et de vivre de leur travail plutôt que des aides publiques...et de renvoyer les "décrocheurs" à leurs chères études dans leur pays d'origine. D'autant que les 10000 bénéficiaires de cette "prime glandouille" devraient être 100000 dans 3 ans selon l'objectif des écolo-socialistes généreux avec l'argent des autres et leur coût passera de 30 millions€ en 2014 à 600 millions€ en 2016 !