25 février 2013
Cisjordanie occupée : un palestinien torturé à mort par les services israëliens!
Des cailloux sur des casques lourds...c'est ce qui avait motivé l'interpellation à Hébron le 18 février de Arafat Jaradat, un jeune père de famille, mis en cause dans des jets de pierres - survenus lors d' une marche de protestation contre l'implantation en Cisjordanie occupée de la colonie juive de Kiryat Arba - sur les soldats de Tsahal et les miliciens coloniaux.
Des cailloux sur des casques lourds...c'est ce qui a amené le Shin Bet - le service de la sécurité intérieure du si exemplaire et courageux petit Etat - à enlever et à transférer le jeune patriote palestinien de la prison cisjordanienne d'Al-Jamala au sinistre centre de rétention de Modigo en Israël.
Des cailloux sur des casques lourds... c'est ce qui a justifié l'interrogatoire du malheureux, peut-être sur le nombre et la grosseur des pierres qu'il était censé avoir lancées sur les aimables occupants, un questionnement si cruel - et sans doute comme à l'habitude accompagné de privation de sommeil - qu'il en est mort samedi dernier 23 février.
Après avoir prétendu que leur prisonnier était décédé d'un malaise après un repas (trop copieux?), les autorités israëliennes ont bien été contraintes de reconnaître que le jeune homme avait fait l'objet de lourds sévices durant plusieurs jours : Arafat Jaradat a bien été torturé à mort pour avoir lancé des cailloux ! On sait bien qu'il n'est ni le premier ni le dernier patriote palestinien a être ainsi martyrisé pour avoir osé défier l'envahisseur hébreu qui colonise la terre de ses aïeux, qui spolie ses congénères , qui les prive de liberté, les réduit à la misère et entreprend d'éradiquer leur identité. Cela ne semble guère déranger certaines grandes consciences pourtant surexcitées au moindre soupçon de crimes de guerre ou de crimes contre l'humanité. Mais il est vrai qu'Israël est par définition absout de toute condamnation de ce genre... un peuple qui a tant souffert !
14:40 Publié dans Ici et là dans le monde | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : israël, palestine, identité, résistance, colonisation, torture
24 février 2013
Boulogne sur Mer, une réunion identitaire et le pas de dance des bobos!
Boulogne sur Mer : dans la cité de Mariette et de la Grande Armée, l'annonce de la tenue hier samedi 23 février d'une réunion de militants du mouvement Génération Identitaire à fortement interpellé quelque part une poignée de socialos-écolos-bobos regroupés en un collectif d'occasion pompeusement nommé "Boulogne en action pour l'égalité".
Avec une audace inouie et un courage exemplaire dans le combat contre la bête immonde, les zozos et zozettes ( 50 ou 60 selon la très sympathisante presse locale mais disons une petite trentaine ) ont entrepris de se dandiner main dans la main au centre-ville en portant au cou une pancarte frappée d'expressions comme "je suis noir", "je suis métisse", "je suis juif", "je suis musulmane", "je suis homo"...du second degré - inaccessible aux QI riberyens - pour paraît-il de faire réfléchir sur les dangers de "l'extrémisme", la mauvaiseté de l'exclusion et l'harmonie d'un creuset universel où tout le monde est beau et gentil. Il ne manquait à la déambulation humaniste qu'un tirailleur sénégalais arborant "je suis blanc", une rombière mamelles à l'air décorée d'un "je suis catho", des porteurs de clochettes et des séants emplumés pour avoir l'air encore plus grotesque. Pas sûr que les passants goguenards ne les aient pas en pensée affublés d'un panonceau revendiquant "je suis con" ! Mais cette fois au premier degré !
13:58 Publié dans Région | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : france, flandre, artois, identité, boulogne sur mer, résistance
23 février 2013
Pédophilie dans une école juive parisienne : le directeur-rabbin mis en examen !
Un rabbin arrêté par la police parisienne ! Epouvantable remake de l'innommable ? Il y avait là de quoi remuer tripes et boyaux des grandes consciences, pétrifier d'horreur les sourcilleux gardiens de l'inaltérable mémoire des heures les plus sombres et déchaîner scribouillards et animateurs en infos de toute la médiacrassie. Pourtant quasi silence radio, défaut d'image et papiers fort discrets !
Il faut dire que le rabbin en question est aussi le directeur de l'école juive orthodoxe Beth Hanna, un établissement pour garçons du 20e arrondissement de Paris et qu'il a été alpagué par la brigade de protection des mineurs avant d'être mis en examen pour "non dénonciation d'atteintes sexuelles sur mineurs de 15 ans"...autrement dit le religieux a couvert des agissements aussi pédérastiques que pédophiles. Pourtant alerté dès l'été dernier par des parents de jeunes élèves victimes d'attouchements de la part d'un surveillant, l'éminent membre de la communauté Loubavitch n'a non seulement pas répercuté les faits à la police comme il en avait l'obligation, mais a fait pression sur les familles pour que celles-ci gardent le silence pour préserver l'honneur de la communauté.
Il aura fallu qu'un couple de parents passe outre les injonctions d'omerta pour que l'affaire soit révélée et - tardivement- condamnée par le Grand Rabbin de France. Cela dit, un semblable fait divers se déroulant dans un établissement chrétien et mettant en cause un prêtre catholique aurait été largement "couvert" par les médias et monté en épingle, on aurait évoqué une enquête approfondie ou une possible fermeture de l'école et on aurait peut-être même vu se pointer quelques femen, deux ou trois jeunes communistes, un Mélenchon et un raton-laveur pour une gesticulation bachique unitaire. Selon que vous serez...
12:07 Publié dans Faits et gestes...chiffres et paroles | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : france, paris, enseignement, pédophiles, rabbins, école juive
21 février 2013
Ségolène à la BPI : déjà un train de retard !
Pour un début, c'est un bon début ! Par distractude, Ségolène Royale a manqué le train qui devait l'emmener de Paris à Dijon pour sa première réunion au conseil d'administration de la Banque Publique d'Investissement...tristes augures pour l'évaporée et un peu de ridiculation aussi, d'autant que la dame est probablement seule à croire que le décret gouvernemental la nommant à ce poste n'a pas été "conseillé" par son ex installé à l'Elysée et à être persuadée que sa fulgurante ascension au rang de vice-présidente et logothète de la BPI ne doit rien au fait que président de l'organisme soit un pote de promotion énarchique du beau couple qu'elle formait avec son Roudoudou. ( voir ici )
Il est vrai que la malheureuse s'est faite étendre aux dernières législatives et qu'elle n'est plus que présidente de la région Poitou-Charente où elle n'a sans doute rien d'utile et de palpitant à faire au milieu des bouseux et des crémiers, tandis que vice-présidente de la BPI - institution financière de l'Etat - çà vous fait planer dans les hautes sphères, parler avec des gens qui causent bien, fréquenter des ministres, et surtout travailler à redorer le blason de François...juste pour faire s'étrangler de rage la mégère élyséenne ! On n'a peut-être pas fini de rigoler !
16:03 Publié dans Faits et gestes...chiffres et paroles | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : france, politique, ségolène royal, françois hollande, favoritisme, népotisme
20 février 2013
ARTE : l'odieuvisuel de la semaine !
Une bonne semaine sur ARTE toujours si excellente dans la programmation de fictions éducatives à connotation sociétale destinées à interpeller quelque part les téléspectateurs encore intellectuellement sclérosés et dont certains regimbent encore à se délecter en famille des particulières pratiques d'une certaine frange de la population dont le poids politico-médiatique est inversement proporionnel au nombre de ses adeptes.
Et un, lundi 18 février, la comédie US "I love you" permet à Steven, après un accident de la route, d'assumer son homesexualité latente et de quitter sa femme pour s'adonner à l'arnaque à l'assurance avec son giton; et deux, mercredi 20 dans "la folle histoire d'amour de Simon Eskenazy" le héros, divorcé et clarinettiste en musique yiddish, bouleverse sa vie pour Naïm, un travesti musulman et trois enfin, ce prochain vendredi les amateurs pourront avoir la larme à l'oeil en visionnant un drame canadien "Maman est chez le coiffeur" où la jeune Elise surprend son papa s'adonnant aux joies de l' intimité avec un partenaire de golf.
Trois à zéro donc pour les partisans patentés de l'anormalité érigée en style de vie et les contempteurs subventionnés de la famille naturelle. Du bon, du beau, de l'édifiant...une semaine où ARTE mérite bien du politiquement correct le plus vomitif !
17:17 Publié dans On marche sur la tête | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : france, société, télévision, bourrage de crâne, homos, arte