01 novembre 2013
7e Journée de Synthèse Nationale : 11 novembre 2013!
16:33 Publié dans Actions militantes | Lien permanent | Commentaires (0)
Amiens 16 novembre 2013 : manifestation contre l'islamisation de la Picardie !
Communiqué de la Nouvelle Droite Populaire
La Nouvelle Droite Populaire apporte son soutien total à la manifestation organisée samedi 16 novembre à Amiens par le Parti de la France.
En s'opposant publiquement à la construction d'une nouvelle mosquée dans la capitale picarde, le Parti de la France et les organisations qui le soutiennent entendent crier haut et fort leur refus de l'islamisation de notre pays et de notre continent.
L'Europe est une terre de beffrois et de cathédrales, elle n'est pas et n'entend pas le devenir une terre de mosquées et de minarets.
12:58 Publié dans Actions militantes | Lien permanent | Commentaires (0)
31 octobre 2013
Rivarol : le numéro spécial 16 pages du jeudi 31 octobre !
Rivarol tiendra un stand lundi 11 novembre à Rungis
à la 7e Journée de Synthèse nationale.
16:18 Publié dans Information Culture | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : europe, france, rivarol, synthèse nationale, identité, résistance
Amiens : le juge Raymond Lévy et le train de 20h34 !
C’est l’histoire d’un juge, Raymond Lévy, qui siège depuis 2003 à Amiens.
Ancien juge international au Kosovo et ancien président de cour d’assises, il est venu finir sa carrière en Picardie. Comment et pourquoi ? Mystère. Peut-être un rien casse-bonbon, le juge, allez savoir…
Contrairement à l’obligation qui lui est faite, monsieur le juge Lévy ne réside pas à Amiens. Il habite Albert, au Pays du Coquelicot, à 31 kilomètres d’Amiens par la D929. Mais Raymond Lévy ne prend pas sa voiture. Il lui préfère le train. Qui quitte Amiens à 20 h 34. Et vous avez deviné : les procès finissent rarement à heures fixes, alors Raymond Lévy râle. Il tempête, s’en prend aux avocats qui font traîner les questions alors que s’achève déjà sur France 3 son feuilleton Plus belle la vie en Picardie.
Le 25 septembre dernier, l’incident éclate à l’audience lors d’un procès en appel sur la maltraitance des animaux. C’est le juge Lévy qui s’estime maltraité : il va rater son train, engueule le président. L’assistance médusée regarde la justice du siège s’entredéchirer. Le président parle de conseil disciplinaire, Raymond Lévy répond « arrêt-maladie ». Dont acte. Et voilà l’ancien juge du Kosovo, le monsieur qui sans doute eut entre les mains la vie de criminels de guerre et de paix, arrêté pendant 15 jours pour « dépression réactionnelle ». On ne rigole pas.
Au passage, on ne saurait néanmoins trop suggérer à la Sécurité sociale de se renseigner sur le médecin complaisant qui a prescrit l’arrêt. Peut-être avait-il un divorce litigieux ou une histoire de corne-cul l’opposant à un voisin à faire trancher par le tribunal…
Mais le juge Lévy n’entend pas s’arrêter là. À peine remis de sa dépression réactionnelle, il a déposé une plainte le 17 octobre à la brigade de gendarmerie d’Albert, pour « harcèlement moral ». La raison ? Il a été convoqué à deux reprises devant le premier président de la cour d’appel d’Amiens. Intolérable. « C’est un problème d’organisation des audiences ! Comment je fais si je n’ai pas mon train, les hôtels sont pleins à cette heure, je reste dans les rues d’Amiens ? », dit le magistrat au Courrier picard.
Ben, Monsieur le juge, comment dire : vos émoluments vous permettent peut-être de prendre une chambre en ville ? Ou un mobil-home au camping du Parc des Cygnes ? Ou une tente Quechua dans le Jardin des Plantes ? Ou un billet de logement chez les Kosovars en attente de papiers ?
Quant aux justiciables dont le procès s’est trouvé reporté de plusieurs mois pour cause d’engueulade entre le conseiller près la cour d’appel et le président, ils n’ont, eux, que leurs yeux pour pleurer. Ainsi va la justice en France… source: Marie Delarue sur Boulevard Voltaire
10:01 Publié dans On marche sur la tête | Lien permanent | Commentaires (0)
30 octobre 2013
Médecine: la France importe des diplômés étrangers et limite le nombre de ses étudiants!
Depuis 1971 en France, la pratique du numerus clausus à la fin de la première année d'une filière de santé limite le nombre d'étudiants admis à poursuivre en 2e année et ce dans le but de réguler le nombre de professionnels en activité. A l'issue des épreuves terminales de l'année universitaire 2012/2013, seuls 7492 étudiants français en médecine pouvaient espérer être autorisés à poursuivre leur cursus.
Paradoxalement, le manque de praticiens commence à se faire sentir dans notre pays comme l'illustrent les "déserts médicaux", les urgences débordées, les consultations à la chaîne dans des cabinets surchargés ou les faramineux délais d'attente d'un rendez-vous auprès de plus en plus de spécialistes. Par ailleurs, on constate une augmentation croissante du nombre de médecins autorisés à exercer en France bien que n'étant titulaires que de diplômes étrangers : ils représenteraient aujourd'hui par exemple 30 à 40% des praticiens répertoriés par l'Ordre en Languedoc-Roussillon selon l'Union Régionale des Médecins Libéraux qui dénonce l'intégration d'un grand nombre de médecins à diplômes étrangers comme un facteur de risque de perte de la culture et des valeurs inhérentes à la médecine française, tant dans l'approche de la maladie, de la douleur et de la mort, que dans l'exercice professionnel.
Ce n'est bien évidemment pas l'avis du gouvernement écolo-socialiste qui facilite l'immigration médicale et délivre allègrement des autorisations à exercer la profession de médecins à des fournées entières de gens formés au Maghreb ou en Afrique noire - ou pourtant leurs compatriotes et congénères manquent si cruellement de soignants que la France y envoie des coopérants et des humanitaires - comme l'atteste la "promotion" du 18 mars dernier. Une immigration de confort de diplômés étrangers dont on peut douter d'ailleurs qu'ils iront pratiquer dans les "quartiers" où aucun médecin français ne veut plus mettre les pieds sans escorte. Une immigration "choisie" non pour son utilité ou sa valeur mais pour ce qu'elle travaille à métisser la société française en habituant le gaulois à voir dans sa rue des plaques de cuivre gravées de noms exotiques tout comme on l'habitue à voir son horizon barré de minarets plutôt que de clochers et de beffrois.
16:07 Publié dans Faits et gestes...chiffres et paroles | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : france, santé, médecine, immigration, numerus clausus, identité