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05 juin 2013

Tony Meilhon condamné à la pseudo-perpétuité !

france,justice,criminalité,peine de mort,récidive,sociétéTony Meilhon vient d'être condamné à la réclusion criminelle à perpétuité par la Cour d'Assises de Loire- Atlantique qui a suivi le procureur général plutôt que Fathi Benbrahim l'avocat du tortionnaire de Laetitia. Perpétuité, un grand mot propre à rassurer le citoyen épouvanté par l'horreur des actes de la brute homicide qui a étranglé, poignardé et coupé en morceaux une jeune fille de 18 ans avant de noyer les restes séparément dans deux étangs, ce qui d'ailleurs empêchera de déterminer l'éventualité probable d'un viol préalable.

Perpétuité ? En réalité, la brute multi-récidiviste de 33 ans n'a écopé que des 22 ans de la période de sûreté au terme de laquelle il pourra retrouver la liberté sauf si alors une commission de psychiatres n'optent pour une rétention de sûreté en établissement spécialisé...pour peu que les psys soient désignés par une Administration à la botte d'un ministre de la justice style Taubira ou par des robins syndicalisés adeptes du "mur des cons", c'est l'air libre assuré pour le prédateur. Et la récidive possible ! L'ignoble n'aura que 55 ans et il ne sera sans doute pas éprouvé par le régime de sa détention : une place probable en "single", la télévision, une bibliothèque, une salle de sport, des causettes avec le psy de service, une restauration copieuse et variée, des visites, peut-être même des impromptus avec une assistante sexuelle ( ou un assistant évidemment), il pourra même se lancer dans les études ou baguenauder dans un atelier. Et tout cela aux frais du contribuable.

Sa jeune victime n'aura connu la vie que durant 18 ans, la malheureuse Laetitia a curellement souffert et a péri simplement pour avoir croisé la route d'une canaille que la justice n'avait pas su ou pas voulu mettre hors d'état de nuire ou simplement surveiller. La société a t-elle le moindre intérêt à garder en vie un tel individu ? Aucun ! La justice préserve t-elle la société du risque de récidive du monstre ? Non ! On a aboli la seule et imparable certitude garantie contre la récidive : la peine de mort que désormais ne risquent que les honnêtes gens. Il faudra bien que revienne dans notre Code Pénal ce bon vieil article 12 : tout condamné à mort aura la tête tranchée !  

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