02 mai 2014
Peine de mort: Lockett a mis 43 minutes pour mourir, sa victime beaucoup plus!
Admirable consensus médiatique autour de l'exécution en Oklahoma de Clayton Lockett, la brute homicide qui a mis 43 minutes à mourir après avoir reçu les trois injections létales règlementaires. Trémulations lacrymales et hoquets d'indignation généralisés destinés à émouvoir dans les chaumières sur le sort de ce pauvre afro-américain "torturé à mort"...mais rien ou presque sur sa victime.
Car elle a un nom cette victime: elle se nommait Stephanie Neiman,, elle avait 19 ans, elle était blanche et a eu le malheur en ce 1er juin 1999 de se trouver à son domicile quand Lockett et deux complices y ont pénétré pour le cambrioler. Témoin à charge possible, Stephanie a été enlevée, chargée dans un pick-up, emmenée dans une route de campagne où c'est Lockett -le seul à avoir été armé- qui a mené la danse finale: Stephanie a dû s'agenouiller et regarder creuser sa tombe pendant 20 minutes, puis l'ignoble a pointé son shotgun, le premier coup a foiré, le deuxième est parti mais son calvaire n'était pas terminé...elle était encore bien vivante quand les deux complice de Lockett ont dû l'enterrer! Le martyre de Stephanie a duré bien plus de 43 minutes!
Clayton Lockett ( à gauche sur la photo ) a été jugé régulièrement, il a été défendu, il a été reconnu coupable et condamné pour enlèvement et meurtre, il a mis 15 ans à épuiser toutes les voies de recours possibles. Quant à sa longue agonie, elle est due à un incident (qui n'aurait pas eu lieu avec les méthodes traditionnelles style balle dans la nuque ou corde chanvre); la morte lente de la malheureuse Stephanie a été sciemment programmée par le nuisible. Dans le couloir de la mort de la même prison McAllister, Charles Warner (à droite sur la photo) attend son tour: ce sympathique quadragénaire a été condamné à mort pour avoir violé puis tué une toute petite fille de 18 mois...il y aura sans doute des sans-coeur pour lui souhaiter aussi 43 minutes de bonheur !
source le Tulsa World ( tous les faits et un intéressant sondage après le "ratage" de l'exécution de Lockett prouvant que la très grande majorité des lecteurs restent partisans de la peine capitale)
14:14 Publié dans Ici et là dans le monde | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : usa, oklahoma, justice, peine de mort, criminalité, récidive
24 avril 2014
Marseille, les racailles diminuent encore leurs effectifs: une embellie dans la morosité ambiante!
Encore un règlement de compte à Marseille! Pourquoi s'en plaindre ? Assez d'angélisme, ce sont des racailles qui s'entretuent. Et les éliminations sont parfaitement ciblées. Des pros de la truanderie plombent des concurrents et sans dégât collatéraux. En règle générale, l'épuration se passe dans le cadre de l'économie souterraine liée au trafic de stupéfiants, quant aux victimes, ce sont le plus souvent des allogènes "connus des services de police", des truands notoires, des apprentis gangsters ou des taulards en voie de réhabilitation dans leur activité favorite. Ce ne sont certainement pas les honnêtes gens ou les policiers de terrain qui vont regretter leur mise hors d'état de nuire définitive. Dans un pays où il n'y a plus ni peine de mort ni réclusion perpétuelle effective, il n'est pas dommage que les nuisibles s'acharnent à limiter leurs propres effectifs à la kalachnikov.
Depuis le début de l'année, il y a eu 8 canailles envoyées ad patres dans les Bouches du Rhône (dont 6 à Marseille). Il y en avait eu 10 en 2010, 20 en 2011 (dont 13 à Marseille), 24 en 2012 (18 à Marseille) et 20 en 2013. Et ce malgré les sommes considérables investies à fonds perdus dans ces "quartiers" massaliotes qui sont de véritables couveuses à racailles de tous poils, malgré les renforts énormes en hommes et en matériels pour la police et la gendarmerie et surtout malgré les rodomontades ou les coups de menton des politiciens.
Soyons réalistes, le seul moyen vraiment efficace contre la truanderie est le nettoyage par le vide style opérations de police dans les favelas brésiliennes les plus criminogènes. Il ne faut guère y penser dans une France où par choix idéologique les dirigeants n'osent pas s'en prendre aux "droits de l'homme" des criminels désormais menacés du martinet ou chouchoutés prisons trois étoiles, sursis, semi-liberté et remises de peines automatiques. Alors il reste à se réjouir de l'auto-destruction des racailles en Paca ou ailleurs dans l'attente ici ou là d'une "Saint-Valentin" marseillaise genre Chicago 1929 ou même - pourquoi espérer petit - d'une grande "Saint-Barthélémy du mitan" selon la formulation de Michel Audiard.
16:47 Publié dans Faits et gestes...chiffres et paroles | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : france, sécurité, criminalité, marseille, racailles, peine de mort
05 juin 2013
Tony Meilhon condamné à la pseudo-perpétuité !
Tony Meilhon vient d'être condamné à la réclusion criminelle à perpétuité par la Cour d'Assises de Loire- Atlantique qui a suivi le procureur général plutôt que Fathi Benbrahim l'avocat du tortionnaire de Laetitia. Perpétuité, un grand mot propre à rassurer le citoyen épouvanté par l'horreur des actes de la brute homicide qui a étranglé, poignardé et coupé en morceaux une jeune fille de 18 ans avant de noyer les restes séparément dans deux étangs, ce qui d'ailleurs empêchera de déterminer l'éventualité probable d'un viol préalable.
Perpétuité ? En réalité, la brute multi-récidiviste de 33 ans n'a écopé que des 22 ans de la période de sûreté au terme de laquelle il pourra retrouver la liberté sauf si alors une commission de psychiatres n'optent pour une rétention de sûreté en établissement spécialisé...pour peu que les psys soient désignés par une Administration à la botte d'un ministre de la justice style Taubira ou par des robins syndicalisés adeptes du "mur des cons", c'est l'air libre assuré pour le prédateur. Et la récidive possible ! L'ignoble n'aura que 55 ans et il ne sera sans doute pas éprouvé par le régime de sa détention : une place probable en "single", la télévision, une bibliothèque, une salle de sport, des causettes avec le psy de service, une restauration copieuse et variée, des visites, peut-être même des impromptus avec une assistante sexuelle ( ou un assistant évidemment), il pourra même se lancer dans les études ou baguenauder dans un atelier. Et tout cela aux frais du contribuable.
Sa jeune victime n'aura connu la vie que durant 18 ans, la malheureuse Laetitia a curellement souffert et a péri simplement pour avoir croisé la route d'une canaille que la justice n'avait pas su ou pas voulu mettre hors d'état de nuire ou simplement surveiller. La société a t-elle le moindre intérêt à garder en vie un tel individu ? Aucun ! La justice préserve t-elle la société du risque de récidive du monstre ? Non ! On a aboli la seule et imparable certitude garantie contre la récidive : la peine de mort que désormais ne risquent que les honnêtes gens. Il faudra bien que revienne dans notre Code Pénal ce bon vieil article 12 : tout condamné à mort aura la tête tranchée !
17:08 Publié dans France | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : france, justice, criminalité, peine de mort, récidive, société
19 janvier 2013
Mahmoud El Shennawy : le braqueur d'habitude doit rester en prison !
Incroyable ! Le boboesque quotidien (l'im)Monde s'est fait le relayeur zélé d'une pétition abracadabrantesque visant à obtenir la gràce présidentielle et la libération conditionnelle de Mahmoud "Philippe" El-Shennawy, 58 ans, un multi-récidiviste du braquage, de la prise d'otage et de l'évasion !
S'il sort un jour régulièrement de prison, il aura 78 ans, ce qui trouble profondément quelques émotifs, une poignée de "consciences" au lacrymal orienté qui plaident pour l'individu dont le palmarès est pourtant éloquent : un début de "carrière" à 17 ans (vol avec violence), à 22 ans il écope de la perpétuité pour attaque à main armée et prise d'otage; sa peine est réduite à 20 ans et il sort en conditionnelle au bout de seulement 13 années de prison; à peine dehors, il reprend ses habitudes de bracos, se fait prendre et retourne à la case prison. Au cours d'une permission de sortie (!), il s'évade, attaque une banque et se fait reprendre; en 2004 il parvient à s'évader en prenant des otages puis braque cinq fois...en 2005 il est arrêté alors qu'il est en repérage pour une nouvelle attaque à main armée. Depuis le malfaisant engraisse aux frais du contribuable; faute d'avoir pu s'organiser une nouvelle cavale, il a déposé dernièrement un recours en gràce appuyé par une pseudo grève de la faim qui lui a valu le regard mouillant et le soutien moral d'un quarteron d'humanistoïdes.
Ce Mahmoud est un exemple vivant du malhonnête irrécupérable, du violent indécrottable, du danger public permanent qui doit rester hors d'état de nuire et dont la libération constituerait tout simplement une mise en danger de la vie d'autrui. Qui peut penser que l'El-Shennawy pourrait se mettre à travailler pour vivre ? Ce Mahmoud est un dangereux définitif, un féroce dont on regrettera qu'il n'ait pas été abattu au cours d'une de ses "prestations", il est au trou, qu'il y reste ! Pour ce faire, l'association "Institut pour la Justice" met en ligne une contre-pétition demandant le maintien en détention de Mahmoud El Shennawy jusqu'à expiration de sa peine ( cliquez ici )
14:49 Publié dans On marche sur la tête | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : france, société, justice, criminalité, laxisme, peine de mort
24 novembre 2012
Chloé : victime de Kamel, du laxisme judiaire et de l'incurie administrative !
La brute qui a enlevé, séquestré et violé la jeune Chloé est donc bien un récidiviste chevronné. Emblématique chance pour la France, Kamel Bousselat - le maghrébin à qui une législation aussi imbécile que criminelle permet de se dire français et que les journaleux présentent comme un gardois- a un palmarès éblouissant : à 32 ans il cumule 13 condamnations pour vol aggravé, port d'armes, violence avec préméditation, menace de mort, exhibition sexuelle, agressions sexuelles avec tentative d'enlèvement à la suite desquelles il écope de...5 ans dont 3 ans fermes d'emprisonnement seulement, alors que le Code prévoit 15 ans pour la seule tentative de viol ! Merci les robins ! Cerise sur le gâteau, les services (in)compétents du petit monde judiciaire n'ont pas renseigné le FIJAIS (fichier des auteurs d'infractions sexuelles) lors de sa libération en septembre dernier, ce qui a permis au nuisible de ne pas respecter de suivi judiciaire ni même de contacter son contrôleur attitré et de disparaître dans la nature sans que police ou gendarmerie ne soit au courant de cette évaporation.
On sait quelles ont été les conséquences de cette chaîne de laxisme, d'incurie et de jmenfoutisme : Chloé (15ans) marquée à vie par la violence de son enlèvement, l'angoisse de sa séquestration et les brutalités sexuelles auxquelles l'ignoble s'est livré sur elle pendant une semaine. Il est vrai que ce n'est qu'une souchienne et qu'après tout qu'est-ce qu'une souchienne pour un Kamel qui descend peut-être en droite ligne de ces barbaresques qui durant des siècles ont enlevé femmes, fillettes et garçonnets de Provence pour les livrer aux turpitudes de poussahs libidineux.
Le calvaire de la malheureuse adolescente n'est pas terminé, après les psys il lui faudra affronter le procès et les sous-entendus aussi graveleux que nauséabonds des défenseurs du salopard : ce n'est pas un peu de sa faute ? elle a essayé de s'enfuir ? elle n'y aurait pas trouvé un peu de plaisir ? Les ronds de cuir de l'a-justice eux n'ont pas à s'en faire : rien de ce qui est arrivé n'est de leur faute et puis la Taubira va pondre une circulaire pour faciliter les communications entre les service, ce qui ne les empêchera pas de somnoler pendant les longues journées de travail. Quant à Kamel, sa maman (qui a eu droit à un entretien dans Le Parisien) espère qu'il va enfin faire un effort pour s'en sortir et son avocat le présente déjà une victime de la traditionnelle madame pulsion.
Bref tout va bien dans le meilleur des mondes ! Une jeune fille française n'oubliera jamais le martyre qu'elle a subi, son tortionnaire maghrébin va être engraissé un temps aux frais du contribuable gaulois avant de retrouver la liberté et de recommencer. La décollation de l'immonde ne consolerait sans doute pas sa victime, elle aurait au moins le mérite de rendre impossible toute récidive. La bascule à charlot avait du bon !
17:04 Publié dans Faits et gestes...chiffres et paroles | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : france, criminalité, immigration, justice, peine de mort, résistance