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09 mai 2008

Jour sans fête!

596708822.jpgIl n' y manque qu'un petit homme vert venu d' un intersidéral ailleurs ! " L' Europe en France ", le dernier numéro du mensuel de "la représentation en France de la Commission Européenne", a au moins le mérite d' annoncer clairement la couleur !

Ce jour 9 mai, leur fête de "l' europe" est en réalité celle de la marche en avant vers la création d' un ensemble économique sans identité, sans frontières, sans racines et sans âme. Ce jour 9 mai, c'est la fête imposée de leur "europe" dont ils veulent faire le territoire extensible à merci des technocrates et des marchands, des inquisiteurs de la pensée unique et des fortunes anonymes et vagabondes règnant sur une population décérébrée de consommateurs sans âme et sans Histoire. Ce jour 9 mai, c' est la célébration obligatoire d' une mosaïque ouverte et accueillante à une libre immigration planétaire conçue comme une véritable entreprise de colonisation et de substitution de population.

Pour les commissaires "européens", les mondialistes qui les inspirent et les ploutocrates qui les manipulent, l' Europe charnelle doit disparaître et avec elle sa civilisation millénaire, ses peuples indigènes à l' immémoriel tronc commun, ses nations, ses provinces, ses pays et jusqu' à sa mémoire.

Pour les européens, ce jour 9 mai est décidément un jour sans fête.    

Marie-Paule Darchicourt

 

 

 

08 mai 2008

Orléans dédaigné !

61774423.jpgContrairement à l' usage qui voulait que tout nouveau Président de la République honore de sa présence les cérémonies commémorant la délivrance d' Orléans par Jeanne d'Arc, Sarközy a dédaigné l' invitation traditionnelle du maire de la ville et s' est fait remplacer par la très symbolique Rachida Dati.

Ayant sans doute beaucoup mieux à faire Sarközy aurait pu à la rigueur se faire représenter par son premier ministre, en faisant présider la journée culminante des fêtes johaniques par "sa" ministre franco-algéro-marocaine de la Justice, Sarközy entend sans doute illustrer ses conceptions de la "France d' après la France": une France plurielle et ouverte à tous vents que n' imaginaient probablement ni la sainte de la Patrie - dont on se souvient qu'elle a lancé à ses juges " j'aime les anglais, mais chez eux" - ni ses grands capitaines, les Dunois, La Hire, de Rais, d'Alençon et Xaintrailles dont le souvenir plane sur la ville depuis près de six siècles.

Il est vrai qu'il y a désormais des commémorations de moins en moins politiquement correctes !

Yves Darchicourt           ( illustration : la "Marianne" de la ville de Bobigny in http://moutons.rebelles.free.fr )

 

 

 

07 mai 2008

Clandestins toujours...

632229945.jpg Combien de clandestins seront finalement régularisés? Pas plus de "quelques centaines" a lâché Brice Hortefeux, le ministre de l' immigration ! Le problème est qu' il n'a pas précisé combien de centaines de centaines d' illégaux finiront par obtenir en catimini le sésame préfectoral qui, pour certains, transformera leurs faux-papiers en documents authentiques. Des faux documents leur ayant permis de se faire embaucher par des employeurs peu scrupuleux et avides de profit et qui ne permettent en rien de s' assurer de la vraie identité et de la provenance réelle de leurs détenteurs.

Mais après tout est-ce le premier souci de l' administration Sarközy? L' essentiel étant surtout de noyer le poisson en refilant le bébé aux Préfectures, de sorte que le citoyen français reste dans l' ignorance des chiffres réels des régularisations arrachées, finalement sans trop de peine, par l' action conjointe de la CGT, du Patronat et des associations immigrationnistes.

Et tant pis si les "régularisés" réclament illico leur droit au rapprochement familial avant de se rendre compte, étant devenus quasi inexpulsables et possibles assistés sociaux, que leur travail est décidément par trop harassant et trop mal payé et qu' il peut très bien être effectué par d' autres clandestins, qui à leur tour...

Brice Hortefeux est aussi, paraît-il, ministre de l' Identité Nationale !       

Yves Darchicourt       (photo Reuters)

 

06 mai 2008

Sourions quand même un peu !

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04 mai 2008

L' arroseur arrosé !

838469453.jpgEffet boomerang et juste retour des choses après tout : comme une vulgaire église, le siège parisien de la CGT est occupé par des clandestins !

Quelques 2 à 300 " faux papiers ", comme ils sont fort justement dénommés dans le dernier Rivarol, ont envahi les locaux du syndicat où ils campent désormais pour protester contre le zèle "restrictif" de celui-ci en faveur de "seulement" 900 illégaux soutenus par l' association immigrationniste "Droit Devant" avec laquelle il s'est acoquiné avec ferveur. Un des quatre collectifs regroupant les envahisseurs vient, à lui seul, de tenter de déposer en Préfecture plus d' un millier de demandes de régularisation, et tout ce beau monde, épaulé symboliquement par l' indécrottable Jacques Gaillot, ci-devant évèque d' Evreux, s' estimant laissé pour compte, entend bien aussi bénéficier de l' agitation orchestrée par la CGT à qui il est reproché de négocier des "cas par cas" en catimini avec les pouvoirs publics.

En déficit constant d' adhérents "gaulois", la confédération joue la carte du recrutement exotique à l' image du PC"F" dont elle est toujours l' émanation et apparaît de plus en plus comme le syndicat des étrangers, au risque certain de se couper définitivement de ses, de plus en plus maigres, bases populaires autochtones. D' autant que ses protégés occupent des postes de travail que nombre de chômeurs français seraient heureux d' obtenir pour peu qu' ils soient rémunérés à leur juste prix : une revendication légitime mais irréaliste, même avec la contre-partie d' allègements fiscaux, tant que le patronat - du bâtiment, de l' hôtellerie et de la restauration notamment - sera à même d' utiliser à loisir une main d' oeuvre tropicale à très bon marché et constamment renouvelée par les vagues successives de clandestins. 

Du travail revalorisé pour les Français d' abord, ce n'est manifestement pas l' objectif des camarades syndiqués désormais en front anti-national uni avec le Patronat.        

 Marie-Paule Darchicourt