09 janvier 2009
Nacéri : chassez le naturel...
Saïd dit Samy Naceri est de nouveau en garde à vue ! Le médiocre acteur, starisé par des médias avides de figures emblèmatiques de "chances pour la France", a franchi un nouveau pas dans la délinquance en portant un coup de couteau à la gorge d' un ami de son ex-compagne; des faits pour lesquels le franco-algérien devrait logiquement avoir bien du mal à éviter une qualification de tentative d' homicide.
L' énergumène a déjà été condamné pour braquage (1984), injures (2002), voies de fait (2003), violences volontaires en état de récidive légale (2005), outrages et injures racistes (2006), agression à l' arme blanche (2007) et tout dernièrement pour avoir renversé une gardienne de la paix en tentant de fuir avec le véhicule qu' il conduisait sans permis.
On attend probablement que l' irrécupérable tue quelqu' un pour se décider à le mettre hors d' état de nuire. Et dire que l' on abat les chiens dangereux !
Yves Darchicourt
11:24 Publié dans Faits et gestes...chiffres et paroles | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : france, justice, immigration, nacéri, délinquance, médias
30 novembre 2008
Dura Lex !
Déférer à la convocation d' un juge d' instruction est une obligation, et s' y soustraire délibérément expose à faire l' objet d' un mandat d' amener comme le prévoit le Code de Procédure Pénale : c' est simple, clair, net et précis, et le fait d' émarger à Libération n' en dispense pas. De même, journaliste ou pas, le contrevenant se doit d' être, au besoin, amené de vive force devant le magistrat, ce qui nécessite qu' il soit dûment menotté, par précaution... ne serait-ce que pour éviter qu' un pervers ne s'auto-mutile pour ensuite hurler aux "violences policières".
L' interpellation du sieur de Filippis aux fins d' exécution d' un mandat d' amener le concernant n'a donc rien d' exceptionnelle, ni sur le fond, ni sur la forme. On n' interpelle pas un récalcitrant, qu' il soit loubard, politicard ou scribouillard, en se présentant chez lui au petit matin le sourire gêné aux lèvres et les croissants à la main.
Dura lex sed lex...même pour les salonnards douillets de la presse bobo !
Yves Darchicourt
12:18 Publié dans On marche sur la tête | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : france, justice, médias, libération
20 novembre 2008
Ainsi va l' Amérique
Obama peaufine son entourage et devrait désigner un Noir pour diriger le Département de la Justice dans sa prochaine Administration; une nomination emblématique autant que plurielle saluée comme il se doit avec émotion dans les médias français. Mais une nomination somme toute logique puisque les afro-américains, qui représentent seulement 13% de la population des USA, fournissent 49% des détenus dans les pénitenciers fédéraux et les prisons d' Etat : cette proportion est par exemple de 6 pour 48 au Wisconsin, 7 pour 32 en Californie, 8 pour 42 en Indiana, 11 pour 44 au Texas, 14 pour 44 en Floride, 28 pour 74 au Maryland*...Il n' est donc pas étonnant que le messie nomme comme Attorney General un congénère qu'il estime mieux placé pour lutter contre une surreprésentation carcérale à ses yeux scandaleuse parce que résultant surtout du "racisme" des Blancs.
Si l' on en juge par les propos et allusions du candidat Barack Husseyn, l' Administration obamesque de la Justice devrait se lancer dans un vaste programme de désengorgement des prisons, c' est à dire de remise en liberté d' une pègre en général fort peu soucieuse de réinsertion par le travail. Rien d' étonnant dès lors à ce que, selon le FBI, les ventes d' armes aux particuliers, et notamment les armes automatiques d' épaule, aient augmenté brutalement de 15%...en prévision des lendemains qui déchantent! Ainsi va aller l' Amérique où les honnêtes gens ont au moins (encore) le droit de rendre coup pour coup et où les gangsters font un métier à risque.
Yves Darchicourt
* source Rivarol du 14/11/08
10:03 Publié dans Ici et là dans le monde | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : usa, obama, justice, criminalité
31 octobre 2008
Hystérie !
Une employée de la Mairie du Ve arrondissement de Paris vient d' être littéralement clouée au pilori par les médias et se trouve confrontée à une vengeresse hystéries des "zassos" immigrationnistes qui n' hésitent pas à réclamer des " sanctions exemplaires " à son encontre : son crime serait d' avoir respecté les obligations légales qui lui sont faites en signalant une clandestine aux autorités.
L' article 40 du Code de Procédure Pénale est formel : " Toute autorité constituée, tout officier public ou fonctionnaire qui, dans l' exercice de ses fonctions, acquiert la connaissance d' un crime ou d' un délit est tenu d' en donner avis sans délai au Procureur de la République et de transmettre à ce magistrat tous les renseignements et actes qui y sont relatifs " Or, au regard de notre législation, tout immigré clandestin est un délinquant puisqu' il est en contravention permanente avec nos lois sur l' entrée et le séjour des étrangers sur notre territoire. Où est la scandaleuse délation " qui n'est pas sans en rappeller d' autres en d' autres temps " comme s' est époumonnée à le clamer une échevelée de l' inévitable "comité de soutien" devant micros et caméras.
L' employée de Mairie a tout simplement agi comme elle avait obligation légale de le faire...ce qui n' est pas le cas de certaines officines aux traditions de provocation et de délation bien ancrées !
Yves Darchicourt ( illustration in http://club-acacia.over-blog.com )
15:33 Publié dans On marche sur la tête | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : france, paris, immigration, clandestins, justice, associations
14 octobre 2008
Cirque Petrella : la clémence de l' Auguste
Si les toutes dernières paroles de l' anarchiste Ravachol, parti en chantant vers la guillotine, ont été " vive la ré... " (coupez), c' est " en tremblant et en pleurant " que la Petrella a appris qu' elle ne serait pas extradée vers son Italie natale où l' attendent les murs perpétuels pour sa complicité dans l' assassinat d' un policier.
Les révolutionnaires ne sont plus ce qu' ils étaient. Paraît-il en pleine "nervousse brékedaoune"* et toute honte bue, la rouge brigadiste n' a pas craché sur la compassion bourgeoise et le soutien "people" des deux Tedeschi, irrésistibles en "soeurs Etienne" de la cause humanitaire arrivant à point nommé. Ce fut beau comme de l' antique d' ailleurs : les dames au chevet de la grabataire, implorant la clémence improbable de l' Auguste rivé à la raison d' Etat et arrachant le geste magnanime du Prince ému par tant de féminine pitié sous les applaudissement de la Cour. Tellement beau que l' on ne peut s' empêcher de se demander si l' affaire n'a pas été orchestrée par un Sarközy soucieux de ne pas contrarier outre mesure l' intelligentzia gauchisante toujours influente dans les médias et qui ne lui aurait pas pardonné la livraison de la symbolique souffreteuse à ses geôliers transalpins...
Il y a fort à parier que l' agonisante va très vite retrouver santé et joie de vivre en France...çà n' a pas de prix sans doute, même si cela nous met toute l' Italie à dos!
Yves Darchicourt ( * clin d' oeil à Michel Audiard)
16:49 Publié dans Faits et gestes...chiffres et paroles | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : france, justice, marina petrella, sarkozy, brigades rouges, italie