Synthèse Nationale : le numéro 21 vient de sortir !

La revue politique, culturelle, nationale et identitaire Synthèse Nationale, dirigée par Roland Hélie, vient de publier son vingt et unième numéro ( janvier-février 2011 )  avec au sommaire :

■ L’Editorial de Roland Hélie, Directeur de Synthèse Nationale

 Synthèse nationale à la pointe du combat national et identitaire !

■ Robert Spieler : Succession au FN, qu’en penser ?

■ Patrick Parment : L’impasse démocratique…

■ Yves Darchicourt : La laïcité contre l’identité…

■ Marc Noé : Les Blancs sont-ils de race inférieure ?

■ Jean-Claude Rolinat : Une Justice le cul par dessus tête…

■ Arnaud Raffard de Brienne : En finir avec les égarements de M. Lecour-Grandmaison…

■ Guirec Sèvres : A propos du dernier livre d’Anne Kling, Le CRIF un lobby au cœur de la République…

■ Pieter Kerstens : Le crédo de l’Oncle Sam, My God is Money…

■ Marc Rousset : La Russie dit non à l’invasion migratoire…

■ Lionel Baland : La Longue route du nationalisme aux Pays-Bas…

■ David Veysseyre : Redécouvrir la Révolution conservatrice allemande…

■ Francis Bergeron : Von Salomon, mémorialiste de la Révolution conservatrice allemande…

Et de nombreux autres articles...

 

 

125 pages, 12,00 € (+2,00 € de port)

 Bulletin de commande et d'abonnement à imprimer : cliquez ici 

Commandez ce n°21 de Synthèse nationale.

 Abonnez-vous à la revue Synthèse nationale ! 

Louis-Ferdinand Céline frappé d'ostracisme !

Le prochain 1er juillet, Louis-Ferdinand Céline sera mort depuis cinquante ans; il devait, à fort juste titre, figurer dans le petit opuscule des " célébrations nationales " pour l'année 2011. Son nom n'y figurera pas ! L'immense écrivain français ne sera pas célébré parce qu'un lobby (qui paraît-il n'existe pas) l'a décidé ainsi au nom d'un devoir d'histoire sélectif et d'un devoir de mémoire à géométrie variable.

Certes, il n'est pas du tout certain - et même hautement improbable - que Céline aurait apprécié d'être célébré par une ripoublique que plus que sans aucun doute il continue à vomir dans l'au-delà, avec tout le talent qu'on lui connait.

Ce n'est pas une raison toutefois pour ne pas s'indigner de ce qu'un Ministre de la Culture du Gouvernement français s'agenouille devant l'avocaillon d'un groupe de pression, même si ce genre d'attitude est inhérente à la nature du personnage. Ce n'est pas une raison pour tolérer plus avant l'arrogance de certaines associations communautaristes dont l'influence politique et culturelle est inversement proportionnelle au nombre de personnes qu'elles représentent. Cette affaire est d'ailleurs l'occasion de recommander la lecture du livre remarquable que Anne Kling a consacré au " CRIF, un lobby au coeur de la République " ( ici )

Le ministre amateur de boxeurs thaïs vient - une fois de plus - de se déshonnorer, un lobby sectaire vient de montrer son arrogance au grand jour. Tout n'est pas négatif dans cette affaire qui en outre donnera sans doute à beaucoup l'envie de lire ou de relire Céline. Une chose est certaine de toute façon : de là où ils se trouvent à présent, Louis-Ferdinand et le chat Bébert, emmiellent tous ces gens là...et d'importance !

YD 

  

      

Rama Yade recasée à l'UNESCO !

Virée du gouvernement lors du dernier remaniement, Mame Ramatoulaye Yade devrait être très prochainement nommée déléguée permanente de la France auprès de l'Unesco.

La franco-sénégalaise, qui fut Secrétaire d'Etat aux droits de l'homme puis aux sports, avait jusqu'alors bien caché qu'elle brillait dans le domaine culturel et qu'elle était en quelque sorte prédestinée à représenter notre pays et notre identité culturelle au sein d'une organisation internationale.

La future Excellence est parait-il une des femmes politiques préférées des français, les citoyens ne verront donc pas d'un oeil critique la réaffectation de la dame vers la sinécure onusienne. Il n' y a guère que des aigri(es) - qui passent directement de leur poste de travail délocalisé à une file d'attente de l'ANPE - pour s'étonner de ce que la sémillante, par ailleurs toujours conseillère régionale d'Ile de France, ait pu ainsi être reclassée dans une fonction ( dont on peut douter de l'utilité) qui lui assure indemnités sur-confortables, voyages internationnaux, séjours luxueux et pince-fesses byzantins aux frais du contribuable.

Avec un Frédéric Mitterrand au ministère et une Ramatoulaye Yade à l'Unesco, c'est bien toute l'exception culturelle française qui resplendit aux yeux du monde !

YD     

  

Saint Nicolas : faire vivre nos traditions populaires pour préserver notre Identité

Souvenirs d'antan : pas trop loin du lit, bien en évidence, un bol de lait chaud et quelques carottes...longtemps les petits enfants de Flandre, d'Artois et du Hainaut ont mis beaucoup d'espoir dans ces modestes offrandes destinées à Saint Nicolas et à son âne : l'espoir de se faire pardonner les regrettables bêtises de l'année écoulée, l'espoir de trouver au réveil quelques cadeaux et non pas le martinet du Père Fouettard !

La tradition de fêter Saint Nicolas s'est hélas peu à peu perdue dans nos Provinces où le saint des enfants, le saint des cadeaux, le saint qui se mange en pain d'épices a été détrôné par le Père Noël qui n'est que sa version édulcorée et consumériste. Cette tradition qui perdure chez nos voisins flamands et wallons mériterait pourtant de retrouver toute sa place tant elle est belle, tout comme d'ailleurs, la Saint Martin - avatar de l'antique fête de Samain - se devrait de supplanter Halloween.

Saint Nicolas est venu, tel qu'il était annoncé depuis un mois, comme l'a fait chanter Alexandre Desrousseaux dans le Petit Quinquin : " L'mos qui vient, d'saint Nicolas ch'est l'fiête / Pour sûr au soir,i'viendra t'trouver / i't'f'ra un sermon et t'laich'ra mette / in d'zous du ballot, un grand painnier / l'l'rimplira, si t'es sache, / d'séquois qui t'rindront bénache / sans cha, sin baudet / t'ivoira un grand martinet "...faisons en sorte qu'il continue à venir émerveiller les petits enfants !

Défendons nos traditions, faisons les vivre ! C'est aussi cela défendre notre identité !

YD

 

     

Il était une fois...ou l'imaginaire enfantin que l'on doit protéger !

Il éait une fois...le plus célèbre des sésames pour l'imaginaire fait toujours recette auprès des enfants, si l'on en croit les reportages consacrés au Salon 2010 du "Livre et de la Presse Jeunesse" de Montreuil.

A leur corps défendant, les médias ont bien été obligés de constater que les fillettes s'identifient toujours à une princesse dont l'archétype reste la belle jeune fille aux longs cheveux blonds, que les garçonnets rêvent d'être un prince -charmant évidemment- pourfendeur de dragon et que nos deux héros se doivent de se marier et de vivre heureux avec beaucoup d'enfants.

Impensable comportement ringard qu'il importe de corriger. C'est pourquoi, au hasard des reportages, on constate la part belle faite aux princesses et princes désormais "politiquement racontables" . Des personnages hirsutes, mal attifés, la morve au nez, voire même des gros nuls à l'odeur forte immergés dans la réalité quotidienne ( ce qui est aux antipodes de l'univers du conte). Et puis surtout il est des princesses nouvelles gagnées par le féminisme militant et les moeurs ambigus...plutôt que le prince, la princesse préfère embrasser la fée ! Après l'héroïne aux pratiques saphiques parions que nous aurons bientôt le Prince séduit par le forgeron du village !

On constate ainsi que des idéologues ou des détraqués ( souvent les deux en un) s'attaquent à l'imaginaire enfantin pour le ridiculiser, le discréditer, le salir et le pervertir. Ce n'est qu'un des aspects d'une même politique d'éradication de notre identité culturelle européenne dont on sait la richesse et l'unicité du patrimoine imaginaire.

Il nous reste la résistance au sein de la cellule familiale traditionnelle où l'on se doit de continuer à faire connaître à nos enfants et petits-enfants cet ancestral monde du merveilleux où l'on n'entre qu'après avoir prononcé la phrase rituelle et magique: il était une fois..! 

MPD