Homofolie : on marche sur la tête !

 

...et ces gens là veulent pouvoir adopter et élever des enfants !      Minute : cliquez ici

Solidarité-Kosovo : aidons les enfants serbes victimes de ségrégation raciale et religieuse !

L'association "Solidarité-Kosovo"  a organisé ce dernier Noël son 16e convoi humanitaire en direction des familles serbes du Kosovo qui s'accrochent à leurs lopins de terres ancestrales, isolées au milieu de territoires concédés de vive force par leur mère patrie aux musulmans albanais épaulés par l'OTAN et ses valets de l'Union "Européenne". En mars dernier, 30000 repas d'urgence ont été convoyés aux familles serbes les plus isolées et en avril ce fut le premier convoi humanitaire de l'antenne espagnole.

Deux autres convois sont prévus cette année 2012 pour apporter aux petits serbes des vêtements, du matériel scolaire et sportif, des jouets et des friandises et surtout un peu de réconfort et de chaleur humaine pour, un temps, leur faire oublier leur quotidien d'humiliations, de menaces et de sévices. En outre, Solidarité-Kosovo va organiser une "classe de mer", en liaison avec Mgr Théodose évèque du Kosovo-Metochie, qui permettra à 40 écoliers serbes d'échapper quelque temps à l'atmosphère étouffante de leur enclave. 

N'oublions pas que ces petits enfants serbes sont nos congénères et qu'au nom du droidlhommisme à géométrie variable des partisans du mondialisme, ils sont victimes de la ségrégation raciale et religieuse organisée - au coeur de l'Europe - par l'Albanie musulmane et ses collabos mafieux du Kosovo occupé et que ces petits enfants serbes, comme l'enfant grec de Victor Hugo, nous demanderons un jour sans doute de la poudre et des balles.

En attendant que se fasse l'Europe des peuples et des nations qui leur permettra de reconquérir les terres de leurs aïeux, il est nécessaire de leur faire savoir concrètement qu'il est des européens qui ne les oublient pas. Aidons les en aidant Solidarité-Kosovo : cliquez ici

Encore un pédophile libéré qui remet çà !

Vendredi, vers 18h30, une fillette de 5 ans qui jouait sur une aire de jeux au pied de son immeuble, a été enlevée par un automobiliste. Ce dernier est revenu dans le quartier, samedi, vers 1h30 du matin, pour déposer la fillette dans la rue.  La fillette a été violée.

Son agresseur a été interpellé, une heure après, à Muret, au sud de Toulouse, grâce aux témoignages de plusieurs jeunes du quartier. Lundi, il a été mis en examen  et écroué pour "enlèvement, séquestration et viol en récidive légale."  Le suspect, âgé de 40 ans, aurait reconnu les faits durant sa garde à vue, selon La Dépêche. En 1996, il a été condamné par la cour d’assises de l’Essonne à 15 ans de réclusion criminelle, pour douze viols sur mineur de moins de 15 ans et séquestration commis en 1993 et 1994. En 2006, soit dix ans seulement après les faits, il a bénéficié d’une libération conditionnelle.

Il a été condamné, en 2009 (trois ans plus tard) à deux ans de prison, par la cour d’assises de Rennes, pour agression sexuelle sur mineur de moins de 15 ans. Une condamnation assortie d’une obligation de suivi médical pendant cinq ans. Le quadragénaire est sorti de prison en juin 2010. Encore une fois, il n'a pas effectué sa peine. Michel Valet, le procureur de la République de Toulouse a précisé que le suspect, qui travaillait depuis dans une entreprise de fabrication de gilets pare-balles, "suivait régulièrement des consultations psychologiques et psychiatriques" liées à son suivi sociojudiciaire. Vendredi, quelques heures avant qu’il n'agresse la fillette, il s’était rendu à l’une de ces consultations, rapporte La Dépêche. Voilà qui est fort rassurant.

Au vu des condamnations précédentes, les juges estiment que le viol d'un enfant vaut plus ou moins deux ans de prison, le pédophile devrait donc être libéré d'ici un an. Il ne reste plus qu'à souhaiter qu'il s'en prenne à la progéniture d'un avocat ou d'un juge, qui cesseraient peut-être de se moquer du sort de ces petites victimes.

source: Le Post via le blog non officiel de Rivarol cliquez ici

 

 

Marche pour la Vie !

Dimanche 23 janvier à Paris se déroulera la 7e Marche pour la Vie organisée par un collectif qui regroupe une quinzaine d'associations militant pour la défense de la vie, de la conception à la fin naturelle, et pour l'aide aux mères en détresse.

L' an dernier, la Marche pour la Vie avait réuni plus de 15.000 personnes, devenant ainsi la plus grande marche annuelle d'Europe en faveur du respect de la vie.

Renseignements : ICI 

Il était une fois...ou l'imaginaire enfantin que l'on doit protéger !

Il éait une fois...le plus célèbre des sésames pour l'imaginaire fait toujours recette auprès des enfants, si l'on en croit les reportages consacrés au Salon 2010 du "Livre et de la Presse Jeunesse" de Montreuil.

A leur corps défendant, les médias ont bien été obligés de constater que les fillettes s'identifient toujours à une princesse dont l'archétype reste la belle jeune fille aux longs cheveux blonds, que les garçonnets rêvent d'être un prince -charmant évidemment- pourfendeur de dragon et que nos deux héros se doivent de se marier et de vivre heureux avec beaucoup d'enfants.

Impensable comportement ringard qu'il importe de corriger. C'est pourquoi, au hasard des reportages, on constate la part belle faite aux princesses et princes désormais "politiquement racontables" . Des personnages hirsutes, mal attifés, la morve au nez, voire même des gros nuls à l'odeur forte immergés dans la réalité quotidienne ( ce qui est aux antipodes de l'univers du conte). Et puis surtout il est des princesses nouvelles gagnées par le féminisme militant et les moeurs ambigus...plutôt que le prince, la princesse préfère embrasser la fée ! Après l'héroïne aux pratiques saphiques parions que nous aurons bientôt le Prince séduit par le forgeron du village !

On constate ainsi que des idéologues ou des détraqués ( souvent les deux en un) s'attaquent à l'imaginaire enfantin pour le ridiculiser, le discréditer, le salir et le pervertir. Ce n'est qu'un des aspects d'une même politique d'éradication de notre identité culturelle européenne dont on sait la richesse et l'unicité du patrimoine imaginaire.

Il nous reste la résistance au sein de la cellule familiale traditionnelle où l'on se doit de continuer à faire connaître à nos enfants et petits-enfants cet ancestral monde du merveilleux où l'on n'entre qu'après avoir prononcé la phrase rituelle et magique: il était une fois..! 

MPD