26 octobre 2012
Marion torturée et assassinée : la brute angolaise ne sera peut-être pas jugée!
Il y a sept mois, il a traîné une jeune fille de 15 ans dans des toilettes publiques, il l'a violée, torturée, longuement découpée vivante (à 50 coups de couteau) avant de l'acherver en lui fracassant la tête...il se nomme Yannick(?) Luende Botelho, il est angolais, il est délinquant récidiviste, on ne lui a même pas demandé s'il avait choisi sa victime parce qu'elle était blanche et blonde et il ne passera peut-être jamais en jugement !
La tête de la brute homicide aurait déjà dû rouler dans la sciure depuis longtemps mais non seulement il engraisse en prison-hôpital aux frais du contribuable mais un collège "d'experts" vient de décider qu'il était pénalement irresponsable parce qu'atteint de schrizophrénie paranoïde. Décision scandaleuse de charlatans du ciboulot - ignoble injure à la mémoire de la victime et crachat à la face de ses parents et amis - prise par des spécialistes d'une science incertaine aux diagnostics subjectifs et qui risque d'être entérinée par des robins englués d'un laxisme bon ton et politiquement correct !
Luende Botelho est fou paraît-il, on ne le jugera pas. Si au moins on l'envoyait se faire soigner dans un établissement spécialisé de Luanda...mais non, incomparable chance pour la France, il sera dorloté en France, à nos frais ! Il a 25 ans, dans quelque temps il sortira de l'asile, frais et dispos...pour recommencer ! On marche sur la tête, remettons vite les choses à l'endroit : Rassemblement Résistance Reconquête !
A lire: l'article de Thomas Joly
10:38 Publié dans On marche sur la tête | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : france, justice, criminalité, immigration, peine de mort, société
24 octobre 2012
Santé publique : les délires de la Marisol !
Ouverture de salles de shoot ! Et pourquoi pas des salles de tournantes ? par Thomas Joly
De manière paradoxale (mais finalement pas tant que ça), notre Ministre socialiste de la Santé est une partisane acharnée de la culture de mort. Outre l'encouragement et le remboursement intégral de la contraception et de l'IVG, la prochaine légalisation de l'euthanasie pour liquider nos anciens qui coûtent trop cher à la sécu et à leurs familles, Marisol Touraine a comme chantier prioritaire l'ouverture de salles de shoot (comprendre : de consommation de drogues) dans plusieurs villes françaises avant la fin de l'année 2012. Ces salles permettront aux toxicomanes de consommer leurs propres produits dans de bonnes conditions d'hygiène et sous supervision de personnels de santé. On ne sait pas encore qui sera responsable en cas d'overdose dans ces locaux publics ou bien des agressions commises par des camés qui en sortiront complètement défoncés mais bon, l'important est qu'ils puissent se piquer en toute dignité et en toute sécurité non ?
Mais pourquoi s'arrêter là Marisol (de l'hébreu : celle qui élève) ? A quand des salles de tournantes ? En effet, pourquoi les viols collectifs devraient se poursuivre dans des caves sordides aux conditions d'hygiène déplorables ? Les salles de tournantes permettraient aux participants de cette activité ludique de notre temps - quasiment tolérée par nos magistrats - de se dérouler dans un endroit propre avec du personnel de santé qui distribuerait des préservatifs aux garçons et informerait les filles des dangers de tomber enceinte ou d'attraper une MST pendant les rapports.
Cette comparaison peut prêter à sourire mais en sommes-nous vraiment loin ? A l'heure où des parodies de mariage entre invertis risquent de bientôt avoir lieu dans les mairies françaises, où ces mêmes individus aux moeurs contre-nature pourront sans doute adopter des enfants, où les drogués vont voir leur déchéance encadrée par l'État, serions-nous si étonnés que cela que nos gouvernants poursuivent leur surenchère dans leurs aberrations
10:49 Publié dans On marche sur la tête | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : france, société, santé, ps, drogue, résistance
26 septembre 2012
Mariage des paires homosexuelles : nouvelle initiative d'opposition!
Député-maire d’Orange, Jacques Bompard vient d' adresser une lettre-circulaire à tous les maires de France dans laquelle il regrette que le gouvernement n’organise pas de référendum relatif au mariage des invertis. Il demande aux édiles d'intervenir auprès de leurs députés et sénateurs, afin que soit inscrite dans la loi une clause de conscience permettant aux maires ou adjoints de ne pas être tenus de célébrer un tel mariage s'il est contraire à leurs profondes convictions morales. Jacques Bompard précise que cette loi touche à la structure même de notre société, en même temps qu’à la conscience de chacun et que de ce fait, il n’est pas admissible qu’un élu se trouve privé de cette liberté primordiale. ( source )
Pai ailleurs, Jacques Bompard lance une pétition nationale permettant aux signataires de manifester leur opposition au mariage homosexuel, d'exiger un référendum sur le sujet et au minimum l'introduction de la claude de conscience permettant le droit de retrait des élus municipaux confrontés à la chose. ( cliquez ici )
16:53 Publié dans Faits et gestes...chiffres et paroles | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : france, identité, société, famille, enfants, résistance
24 septembre 2012
Non à l'adoption d'enfants par les paires d'homosexuels!
12:02 Publié dans Actions militantes | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : france, famille, enfants, société, homos, mariage
13 septembre 2012
Poitiers: la prof, le cancre et la mère d'icelui !
Une fort insouciante ou trop téméraire enseignante d'Histoire-Géographie d'un collège poitevin avait osé mentionner des manquements style travail non fait ou oubli des livres et cahiers sur le carnet de correspondance d'un de ses élèves de 4e. Las ! Elle a ipso facto été agressée au sein même de l'Etablissement par la mère du nonchalent, une virago colérique qui n'a pas apprécié que son petit riri ait fait l'objet d'une note fort désobligenate à ses yeux et qui - plutôt que de fesser sa paresseuse progéniture - a jugé préférable d'assaillir la malheureuse enseignante à grand renfort de gifles et de coups de pied.
Signe des temps, les collègues de la victime en ont profité pour se mettre immédiatement en grève et réclamer des renforts de surveillants ! Qu'ils patientent, les cours de citoyenneté vont bientôt irradier l'angélisme jusqu' aux parents irrascibles par élèves interposés.
source: le blog des rivaroliens
12:12 Publié dans Faits et gestes...chiffres et paroles | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : france, société, éducation nationale, insécurité, famille, enseignement